Pdv deidara :

Après quelques heures de sommeil j'entendis quelqu'un toqué à ma porte je grogne un oui camouflé je vue pain entré c'était très rare qu'il viennes me voir seul étant le plus calme et le plus réservé surtout le plus civilisé de tout mes amants en chaleur.

Deidara : qu'est-ce qui a mal ?

Pain : juste que je veux qu'on le fasse.

Deidara : tu es d'humeur aujourd'hui ?

Pain : nan. Je suis énervé à vrai dire

Je fredonne à ce que me disais l'homme aux cheveux roux en face de moi n'étant pas sur de quoi dire il souffla d'un aire mécontent commencant à ce déshabiller étant moi même en boxer je le regardais juste je m'étais laver j'avais eu la flemme denfile de nouveaux vêtements

Pain : je voudrais être dominant.

Deidara : comme tu es de mauvaise humeur, je l'accepte.

Pain : commençons maintenant

Lemon♥️💅🏻attention un peu plus hard que d'habitude.

Pain me griffa le torse jusqu'à sang tout en me pénétrant sans même m'avoir préparer il poussait sauvagement , il me fait d'énormes suçons qui viré au violet dans mon cou ainsi que sur ma tempe
Il me faisait pas l'amour il me baissait clairement et c'est bien ainsi, il me souleva avec violence ma jambe qui passa au dessus de son épaule tout en l'écartant putain mais ça fais mal j'avais accepté qu'il prenne le contrôle.

Il martèlait encore mon trou qui était devenu un vide coquilles d'après lui sous l'effet de la colère jusqu'à sang , son pré-spermes ce mélangeant au Sang me dégoûté un peu , je pouvais entendre le bruit des éclaboussures de ses deux mélange à chaque fois qu'il rentre à nouveau en moi
Ça serais mentir si je disais ne pas aimé ça... J'étais clairement maso, j'aimer déjà dans mon "autre vie" quand j'étais encore en Europe le bdsm mais jamais j'étais en dessous
Bien que ça me dégouté par moment ça m'exciter beaucoup plus que je ne l'avouerais

Deidara : Han ~ plus.

Pain : t'aime ça p'tite Salope ~

Deidara : hn ~ ouais pain j'aime ~

Pain : tu adore ça hn ~

Deidara : Haaan ~ oui encore.

Il me défonçait littéralement le cul putain je finis par venir pour je ne sais combien de fois sur son torse, je me sentais à nouveau remplir de cette chaleur dégoulinante je me mis à soupirer d'un bonheur et d'un ralentissement

Pain : c'est pas fini

Il se retira, me retournant , tout en me redressant , j'étais vidé de mes forces je me suis laissé complément faire par l'homme au cheveux roux
Il me mit sur ses genoux massent d'une main mes fesses rougis par les fessées du premier tour
Tandis que l'autre main poussa ma tête vers l'avant qui claqua contre le matelas, toujours la main sur ma tête me força à rester immobile j'étais vraiment en extase par temps de violence je voulais qu'il continue
L'autre main écarta mes deux fesses glissant deux de ses doigts à l'intérieur

Deidara : ah ~

Pain : magnifique dit-il en me montrant ses doigts enduits de sperme et de sang.

Il glissa ses doigts sale sur ma colonne vertébrale qui me fit ressentir un frisson incroyables
Puis il me pénétra à nouveau avec force jusqu'à qu'il soit satisfait une main toujours sur ma tête et l'autre me masturbant qui m'as fait venir 2 fois

Sa langue lécha mon épaule retraçant un suçon qui fait la taille d'un poignet ça aurait été une sensation agréable si il n'avait pas autant de percing à la dites langue et aux lèvres
Il gémit comme un animal au creux de mon oreille, il finit par ce de versait en moi , il lâcha ma tête me redressant vers lui tirant sur mes cheveux et me forçant à me tordre le cou pour l'embrasser toujours brutal, à Sang et vendre
Puis il s'enlève de mon entrer

Fin du citron

Je regarde l'homme en cheveux roux qui essaya de reprendre son souffle alors que moi-même j'étais encore tout émoustillé de ce débats je le regardais s'assoir au bord du lit une cigarette entre ses lèvres il semblait beaucoup plus détendu après ce que nous avons fais

Pain : désolé, deidara.

Il avait une manière si rauque et sexy quand il fessait glissé mon nom entre ses lèvres un peu comme il le disait avec un soupire dissimulé "deidaraaa~" c'est comme ça que cela sonné

Deidara : c'est bon j'aime aussi le sexe brutal.

Pain : mais ce n'était pas une raison-

Deidara : viens me voir n'importe est ton humeur

Il fredonna puis jeta sa cigarette dans les cendriers avant de ce couché avec moi

À suivre