Thème 7 : Lucy
Bon par où commencer ? Je m'appelais Phoebe, j'avais vingt cinq ans. J'habitais dans une petite maison en pleine campagne. J'étais marié, mais je n'avait pas d'enfant. Il n'y avait pas si longtemps, le 20 janvier 2019. J'avais fait un malaise et j'ai perdu mon bébé. Après ça les médecins m'ont dit que je ne pourrais plus jamais avoir d'enfant.J'avais eu le cœur brisé en apprenant la nouvelle, j'avais mit du temps à m'en remettre. Depuis quelques jours Stephan et moi, nouscommencions à parler sérieusement d'adoption, car nous allionsadopter en fin de mois, il ne nous rester plus qu'à remplir les derniers papiers. En ce matin de 16 Février, la neige tombait,encore et encore. Il fessait trop froid pour sortir par un temps pareil. Je m'étais assise sur le canapé et j'ai prit mon roman préférer Twilight. J'étais plongée dans ma lecture, Stephan s'était réveillé vers neuf heure du matin. Il ne pouvait pas aller au travail à cause de la neige. Il ouvrit le frigo, prit une canette de coca, la décapsula et but une gorgée. Il posa sa canette sur le comptoir et m'a dit :
« J'ai reçu un appel de l'orphelinat Wilicot . Me dit-il .
— Vraiment ?
— Oui ! Ils m'ont dit qu'on pouvait venir demain matin. Me répondit-il.
— C'est merveilleux ! On va enfin avoir un enfant à nous ! Répondis je enthousiaste. »
Le lendemain, nous nous étions réveillés à sept heure du matin. La neige avait presque fondu et on pouvait à nouveau circuler en voiture. J'ai prit mon manteau, ouvrit la porte, puis j'ai refermé à clés derrière moi.Je suis ensuite entrée dans la voiture. Stephan a commencé à démarrer le moteur. Il m'a regardé et m'a dit :
« Tu verras, l'orphelinat Wilicot est l'un des meilleurs orphelinat de la région. Me dit-il .
— Je n'en doute pas,mais ...
— Mais quoi ?
— J'ai peur de ne pas être une bonne mère ... Répondis je.
— Mais enfin Phoebe c'est ridicule ! Tu feras une très bonne maman !
— Tu crois ? Lui dis je.
— J'en suis sure !
— Merci beaucoup. Lui répondit je en souriant. »
La trajet ne m'a pas paru long, à peine une demie heure. Je crois que j'étais tellement impatiente, que je n'ai pas vu le temps passé. Nous étions finalement arrivé devant un grand bâtiment. Il y avait pleins d'enfants qui jouaient dans la cour. Stéphan et moi nous sommes descendus de la voiture. Nous nous sommes dirigés vers le bâtiment et nous avons frappé à la porte. Une jeune femme était venue nous ouvrir. Elle était plutôt grande et mince, elle était coiffé d'un chignon et elle portait des lunettes. Ses cheveux étaient blonds et elle avait des yeux vert, elle abordait un sourire angélique. Elle nous a serré la main et nous a dit :
« Bonjour, vous devez être monsieur et madame Jones ?
— Oui c'est bien nous, je suis Phoebe et lui c'est mon mari Stéphan.
— Ravie de faire votre connaissance. Nous dit-elle.
— Tout le plaisir est pour nous. Lui répondis je.
— Vous êtes ici pour adopter un enfant, n'est ce pas ?
— Tout a fait, quand pouvons nous voir les enfants ? Lui dis-je.
— Vous pouvez aller les voir maintenant, si vous voulez. Quand vous aurez prit votre décision, venez me voir dans mon bureau. Me dit-elle.
— D'accord très bien, merci. Lui répondis je. »
Elle était partie, Stéphan et moi nous sommes rentrés à l'intérieur du bâtiment. J'ai tourné ma tête et je vis une petite fille dans une pièce entrain de jouer avec un ours en peluche. Nous sommes rentrés dans la pièce et nous nous étions approchés de la petite fille, je lui ai dit :
« Bonjour, je m'appelle Phoebe et lui son mari Stéphan. Lui dis je.
Elle a relevé la tête,elle avait d'un cheveux très noirs et un teint claire. Ses yeux était de couleur bleu clair, elle portait une robe de couleur bleu roi.
— Bonjour moi je m'appelle Lucy, vous êtes ici pour adopter un enfant ? Nous répondit-elle.
— Oui c'est bien ça, pourquoi tu ne joues pas dehors avec les autres enfants ?
— Je vois pas trop l'intérêt de jouer avec eux, ils disent que je suis différente.
— Il n'y a rien de mal à être différente. Lui dit Stéphan.
— Merci beaucoup, je vous trouve très gentils. Nous dit-elle. »
Nous étions dans le bureau de madame Willicot, elle a sortit un dossier sur lequel il était écrit, Lucy Lewin. J'ai ouvert le dossier. Lucy venait d'une famille en Pologne, son père avait abandonné sa mère avant sa naissance. Et cette dernière a élevé Lucy seule pendant sept ans. Malheureusement il y a quelques mois, sa mère était décédée dans un accident de voiture. Lucy a d'abord été dans un orphelinat en Pologne avant d'arriver en France, madame Willicot nous a regardé et nous a dit :
— Adopter un enfant d'un âge avancer est une décision parfois difficile pour un couple, mais je dois avouer que vous avez fait un très bon choix. Lucy est une petite fille tout a fait charmante. Nous dit-elle.
— Nous avons vraiment accrocher avec cette petite fille. Répondit Stéphan.
— Et bien il m'a semblé qu'elle vous apprécie également. Lui dit-elle.
— Tant mieux alors, nous ferons tout pour devenir de bons parents. Lui répondit-il. »
Nous nous étions garés devant notre maison, Lucy l'a regardé d'un œil admirative.
« C'est votre maison ? Nous dit-elle.
— Maintenant c'est aussi la tienne. Lui dit Stéphan.
— Bienvenue dans la famille. Ajoutais je. »
J'étais dans le salon, assise sur le canapé entrain de lire un livre. Après tout rien de tel qu'un bon livre pour s'occuper pendant un week-end en pleine hiver. J'étais donc en train de lire, quand soudain, j'entendis plusieurs bruits sourds venant de la chambre de Lucy. Je suis montée en courant dans sa chambre. J'ai ouvert brusquement la porte, Lucy était assise sur son lit. Sa chambre était dans un immense bazars, sa commande était tombée, ses vêtements étaient éparpillés par terre, ses jouets se trouvaient un peu partout dans la pièce.
« Lucy mais qu'est ce qui c'est passé ici ?
— C'est pas moi. Me dit-elle.
— Ce n'est pas le moment de faire une blague, je veux que tu ranges tout ça avant que ton père rentre, d'accord ?
— Oui maman, mais je te jure que c'était pas moi. »
Je n'ai pas répondu et je suis sortie de sa chambre. Le soir venu, j'étais dans mon lit, Stéphan s'était couché à côté de moi. Il m'a regardé et m'a dit :
« Phoebe tu vas bien ?
— Oui tout va bien, ne t'inquiète pas. Répondis je.
— Si tu le dis, je t'aime, bonne nuit. Me dit-il.
— Oui bonne nuit, je t'aime aussi. »
J'avais mit plusieurs minutes avant de m'endormir, je n'ai pas arrêté de penser à ce qui c'était passé cette après-midi avec Lucy. Je ne savais pas si elle mentait ou si elle disait la vérité, mais ce qui s'était passé, était très étrange.
J'étais entrain de dormir, quand j'entendis des rires, des rires d'enfants. Stéphan les avez entendus lui aussi, il m'a regardé. Je me suis levée et je suis sortie de la chambre, j'ai scruté le couloir du regard. Puis soudain, les rires se sont arrêtés, Stéphan est arrivé derrièremoi et m'a dit :
« C'était quoi ces rires?
— Je n'en sais rien, c'était sûrement notre imagination. Répondis je.
— Tu as probablement raison, retournons nous coucher. Me dit-il. »
Nous nous étions recouchés encore secouer, par ce qui venait d'arriver. Les semaines avaient passé, des événements étranges ont continués à ce passer dans notre maison. Stéphan et moi, nous entendions des bruits de pas la nuit, alors que Lucy dormait dans son lit, on entendais des voix, des rires. Nous ne savions pas ce qui se passer, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser que Lucy était lié à tous ça.
J'étais dans mon bureauen train de travailler sur mes derniers dossiers, quand soudainj'entendis un bruit sourd provenant de la chambre de Lucy. Je me suis précipitée dans sa chambre et je la vis sans dessus dessous. Les meubles étaient par terre, ses jouets étaient éparpillés, ses vêtements étaient aux quatre coins de sa chambre. Je leva ma tête et je fûs choquer de voir que Lucy flottait dans les airs, je n'ai pas prit longtemps pour la faire descendre de là. Je l'ai regardéet lui a dit :
« Lucy, mais qu'est ce qui ce passe ici ?
— C'est pas moi, maman, je n'ai rien fait. Me dit-elle.
— Mais alors qui a fait ça ?
— Je ne sais pas, mais c'est pas moi.
J'étais dans mon bureau en train de chercher dans le dossier de Lucy, une quelconque information à son sujet. Mais je me suis rapidement rendu compte que l'orphelinat Wilicot n'avait pas la moindre trace d'elle, ignorant même sa date de naissance. Stéphan était rentré dans mon bureau et vit que j'avais sortit le dossier de Lucy.
« Pourquoi as tu sortit le dossier de la petite ?
— Stéphan tu vois toutes ces choses étranges qui se produisent dans la maison depuis quelques semaines ? Lui dis je.
— Oui, oui bien sûr, pourquoi ?
— Je suis sûre que Lucy est liée à tout ça !
— Mais elle n'a rien avoir avec ça !
— L'orphelinat n'a pas la moindre trace d'elle !
— Il y a sûrement une autre explication. Me dit-il.
— Ces événements ont commencé quand Lucy est arrivée dans notre maison.
— Maintenant que tu le dis, c'est vrai que c'est étrange. Me répondit-il. »
Je lui avait raconter ce qui c'était passé dans la chambre de Lucy. J'étais maintenant persuadés qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas avec elle.
« Tu penses vraiment que Lucy est hantée ? Me dit-il.
— Oui j'en suis sûr, c'est même évident.
— C'est vrai que ça expliquerait beaucoup de chose. Me répondit-il.
— J'ai retrouvé la trace de l'ancien orphelinat de Lucy, je vais y aller avec elle, le week-end prochain.
— Tu dois vraiment y aller ? Me dit-il.
— On n'a pas le choix Stéphan, il faut qu'on découvre ce qui ce passe.
— Oui c'est vrai, tu as raison et puis c'est pour protéger Lucy. Me répondit-il. »
Il était maintenant évident pour moi et pour Stéphan que Lucy était hantée.J'avais en effet retrouvé la trace de l'ancien orphelinat de Lucy en Pologne.Et j'avais décider d'y aller avec Lucy, je m'étais garés devant lebâtiment , c'était un bâtiment qui datait probablement de la fin du dix-neuvième siècle. J'ai demandé à Lucy de m'attendre dans la voiture.
<< Maman tu en as pour longtemps ? Me dit-elle.
— Non ma puce, je n'en ai pas pour longtemps, attends moi dans la voiture, d'accord.
— D'accord, mais fais vite s'il te plaît.
— Oui je me dépêche, ne t'inquiète pas. Lui répondis je.
J'étais dans un bureau,un veille homme s'est assit en face de moi, il avait des cheveuxblancs et était plutôt costaud. Il posa ses mains sur la table, m'aregardé et m'a dit :
« Je suis désolé de vous le dire madame, mais vous n'êtes pas dans un orphelinat.
— Comment ça, mais je ne suis pas à l'orphelinat Williams ? Répondis je.
— Cette orphelinat a fermé depuis 1889 madame, vous êtes dans le bâtiment qui a accueillit cette orphelinat. Me dit-il.
— Comment ça cette orphelinat a fermé ? C'est impossible, mon mari et moi avons adopter une petite fille à l'orphelinat Wilicot et son dossier nous disait qu'elle avait été dans cette orphelinat.
— Il y a du avoir une erreur, parce que je vous jure que cette orphelinat est fermée. Me répondit-il.
Je ne comprenais plus rien, si cette orphelinat avait fermé depuis plus de cent ans.Comment ce fessait-il que le dossier de Lucy mentionnait cette orphelinat ? Avait-il fait une erreur ? J'ai regardé par la fenêtreet je vis que Lucy n'était pas dans la voiture. Alors que j'étais sur le point de dire au monsieur que je devais y aller. Je vis une photo qui était postée sur le bureau, une photo d'une petite fille en noir et blanc. Cette photo datait sûrement de la fin du dix-neuvième siècle. Cette photo m'avait intrigué, j'ai regardé le monsieur dans les yeux et lui a dit :
« Monsieur cette photo dequand date-t-elle ?
— Elle date de 1887, il s'agit d'une petite fille qui est morte dans l'orphelinat deux ans avant sa fermeture. Me répondit-il.
— Comment s'appelait ce petite fille ?
Mon cœur s'est serré, mon rythme cardiaque c'est accéléré, j'ai commencé à transpirer. Un frisson m'a parcouru le corps, il m'a regardé droit dans les yeux et il m'a dit :
— Elle s'appelait Lucy...
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