Méduse
Être violemment prise au temple d'Athéna
Sentir ce corps souillé, dont la beauté peina
Autrefois Aphrodite amena leur émoi
Le dieu ne risquant rien ils me punirent moi !
Mais je suis Médusa ! Les écailles en ma peau
La vie dans mes cheveux et ce regard acerbe
Que nul ne voit jamais sinon figé dans l'herbe
Et le sang remplacé par la pierre en dépôt
Mes yeux couleur des cieux imposés par les dieux
Figeront les chevaliers, figeront les rois !
C'est tout ce qui me reste, car ô grand désarroi !
Autrefois loué, mon corps paraît odieux !
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