Danger
Rebonjour!
J'espère que votre vie va bien et que votre hamster est toujours vivant, car c'est l'heure du chapitre...Euh...Je sais pas le numéro...
...
8! Enfin, bonne lecture!
_______________________
Moïra descendait le long couloir qui allait jusqu'à la salle ou se trouvait habituellement Sylvanas, entouré de ses chefs de guerre et autres lieutenant haut-placés. Quelques gardes au visage aigris patrouillaient , dague à la mains, mais sachant pertinemment que rien ni personne ne pourra porter une attaque à la Dame Noire dans ce lieu si bien gardé.
Signa la suivait rapidement, slalomant entre les cafards géants et les rats des égout. Lorsqu'elle arriva au bout, elle constata avec surprise que les portes était fermés, et garder par deux gardes... Orcs.
-Tram'ka, réprouvé. La Dame Noire est occupé. Déclara l'un des Orcs.
-Je ne peux pas attendre, c'est urgent! S'exclama Moïra.
-Il n'y a pas de choses plus urgente que la Guerre, réprouvé. Rétorqua le garde.
Moïra ravala un commentaire désobligeant, et s'avança.
-Ecoutez, Fossoyeuse est en danger! J'ai vu un groupe d'humain dans la forêt, mais du Glas, il prépare la reconquête de Lordaeron!
-Combien étaient t'il? Demanda l'autre garde.
Moïra hésita à répondre. Ils n'étaient pas si nombreux lorsqu'elle les avait aperçus.
-...Quatre.
-Bien. Alors vous allez retourner chez vous, prendre du bouillon et lire un bon livre, tandis que nous autres allons nous occupez de choses plus importante que quatre pauvres humains sans doute déjà mort à l'heure qu'il est! Aka magosh, vous nous avez fait perdre du temps.
-Mais écoutez-moi! S'énerva la morte-vivante.
Mais les gardes ne répondirent plus. Ils faisaient comme si elle était partie. Dépité, Moïra tourna les talons en injuriant dans sa tête. Ses Orcs prenait beaucoup trop de libertés. Ils se croyaient chez eux, à donner des ordres aux autres. Et ça mettait la chasseresse sérieusement en rogne. Les Orcs avait bien mérité leurs réputation de brute épaisse.
Elle sortie de la ville pour se changer les idées en passant par les égouts. Elle arriva dans la forêt.
-Signa, on va se dérouiller un peu. Fit t'elle en dégainant son arbalète.
Elle la chargea et se mit en courir en direction des bois plus épais, puis s'arrêta face à un arbre. Elle l'escalada, et se percha sur une branche. Pendant ce temps, Signa sauta dans un buisson et attendit sagement que sa maîtresse lui donne l'ordre t'attaquer.
Puis, au bout de quelques minutes d'attente, alors que Moïra se décidait à changer d'endroit, elle perçu un mouvement, à quelques mètres.
Les humains.
-Ne bouge pas, Signa. Attend. Murmura t'elle à l'attention de son familier, qui siffla.
-Merzan! Merzan, attend nous!
C'était les même humains. Diego, Boris, Saïma... Et le chef qui s'appelait donc Merzan.
Le-dit Merzan s'arrêta et se tourna.
-Vous allez trop lentement. En tout cas, d'après la carte que l'Assassin nous à ramener, Fossoyeuse est par ici.
-C'est bien beau tout ça, soupira Saïma, mais qu'est ce qu'on viens faire ici?... On va pas jouer les négociations, quand même?
-Ils ne vont pas avoir le choix, je te signale. Du renfort arrive par la mer.
Cette fois, Moïra en était sûre: Ils n'étaient plus seuls. Il fallait agir. Maintenant.
Elle siffla un coup sec, ce qui fit lever la tête brusquement au soldats, et ce qui permit en même temps à Signa de leurs sauter dessus. Elle bloqua l'un des hommes au sol et persifla en direction de l'autre. Saïma et le chef sortirent leurs épées, et se mirent en garde. Moïra ne leurs laissa cependant pas le temps de se remettre en état de se battre: Elle bondit de la branche, Sortit l'une de ses dagues et tomba sur la femme,qui étouffa un cri de douleur et de surprise. La lame sous la gorge, elle cessa tout mouvement, mais fixait Moïra d'un oeil meurtrier.
-Qui êtes-vous? Cria la réprouvé.
Merzan leva son épée dans sa direction, mais fut stoppé par Signa qui sauta à sa gorge, et planta ses mandibules dans sa chair, ce qui le paralysa sur-le-champ. Ce qui était le cas de Boris et de Diego.
-Que venez-vous faire ici?! Répéta Moïra, plus fort.
-Nous venons reprendre ce qui nous appartient, monstre! Cracha Saïma.
L'humaine lui asséna un violent coup de genou dans le ventre, Et un coup de coude dans la mâchoire. Elle parvint à se libérez de l'emprise de la réprouvé et à se remettre debout.
Elle semblait coriace. Enfin un peu d'action pour Moïra.
____________________________________________________
REEEEEEEEEEEEE
Je vous avait promis des chapitres plus régulier! J'ai pas menti. Je vous aime bien. :3
Bref.
A la prochaine! :D
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top