Chapitre 3.
Bonne lecture.
^***^
CALIFORNIE, Benicia.
//LIVIA.//
07h05.
Moi: Sebastìan, je te jure que si tu ne laisses pas ma sonnette tranquille, je vais te couper la queue-"Râlé-je en ouvrant brusquement la porte et en lui lançant mon plus beau regard noir".
Sebastìan: Dès le matin tu es agressive. Faut savoir être de bonne humeur des fois, connasse!
Moi: Excuse moi de ne pas être comme toi.
Sebastìan: Bref, laisse moi passer.
Il ne me laisse même pas le temps de me pousser pour lui céder la place qu'il me bouscule avant de rentrer dans la maison, sans gène.
Moi: Vas-y, fais comme chez toi!-"dis-je sarcastiquement en lui donnant une tape sur le bras".
Sebastìan: Ne t'inquiète même pas pour ça. Il est où, Noah?
Moi: Entrain de dormir, comme tout être normal a cette heure ci-"il lève les yeux au ciel, regardant ensuite l'heure sur sa montre".
Sebastìan: Ça va, il est déjà sept heures sept. Et tu vois, j'ai un emploi hyper chargé aujourd'hui, raison pour laquelle je suis venu plus tôt que prévu et a-Oh mon Dieu, Putain!
Je le regarde en arquant un sourcil, ne comprenant pas pourquoi il crie d'un coup.
Moi: Quoi?
Sebastìan: Tu pourrais au moins t'habiller convenablement, petite pute!?
Moi: Ils ont quoi mes vêtements ?-"demandé-je en rigolant face à son insulte a mon égard".
Sebastìan: Vêtements ? Donc pour toi, être habillé en sous vêtements transparent c'est porter des "vêtements "? Waouh.
Moi: Oh ça va, il faisait chaud hier. Donc, j'ai finalement enlever mon pyjama et...en plus, je suis seule chez moi wesh!
Sebastìan: Et Noah? C'est pas une personne peut être ?
Moi: Ta gueule,c'est encore un enfant.
Sebastìan: Comme quoi, maintenant tu insultes tout le temps.
Moi: C'est toi qui m'oblige à t'insulter. Car tu es un incroyable enfoiré qui comprends qu'avec des insultes.
Il pose dramatiquement sa main sur son cœur en me regardant avec des gros yeux, alors que je souris de toutes mes dents.
Sebastìan: Comment oses-tu ? Je t'emmerde!
Moi: Avoues que tu m'aimes bien, Sebastichou...
Sebastìan: Stronza di merda.
Je le regarde en riant à gorge déployé, même si je ne comprend pas l'Italien, je suis sûre que c'était une insulte.
Moi: Ça commence a parler sa langue d'origine, dis donc.
Sebastìan: Haha, très drôle. Je vais aller me faire un café et un truc a manger, pendant ce temps, va réveiller Noah pour moi.
Et il se lève et se dirige vers la cuisine comme si c'était sa maison.
Vu le temps qu'il passe ici, c'est carrément sa deuxième maison.
Moi: Tu me fais aussi du café s'il te plaît, Sebas ?
Sebastìan: Non!
Je lui fait un doigt d'honneur avant de partir en direction de la chambre pour réveiller Noah.
Sebastìan: Et pense aussi a t'habiller, hein. Parce que ta platitude me fait vraiment mal au yeux!-"cria Sebas pour que je puisse entendre".
Moi: Je vous encule, toi et tes yeux! !-"hurlé-je a mon tour tout en ouvrant la porte de la chambre".
Je rentre tout doucement, refermant la porte derrière moi et je marche jusqu'à être devant Noah, coucher sur le ventre, entrain de dormir paisiblement. Je commence par lui faire des petites caresses par ci par là, pour le réveiller, mais sans succès.
Moi: Bébé, réveille toi.
Noah: Mmh-"miaula t'il en émergeant petit à petit de son sommeil."
Moi: Ton professeur est là.
Noah: Encore quelques minutes, ma'.
Moi: Non, il a des choses a faire après. Si tu veux, quand vous aurez fini, tu peux venir continuer ton sommeil.
Noah: Promis ?
Moi: Promis.
Il ouvre ainsi les yeux et se lève en position assise. Il s'étire ensuite de tout son long. Quand il revient à lui, il me regarde quelques maigres secondes, dévoilant ses petites dents de lapins lorsqu'il me sourit. Il sort complètement du lit.
Noah: Je vais aller me brosser les dents d'abord.
Je hoche la tête en m'approchant de lui et en lui faisant un bisous sur le front. Je lâche et décide de partir voir ce que l'autre con est entrain de foutre dans ma cuisine.
Mais avant de quitter la chambre, j'ai pris la peine d'enfiler mon pyjama d'hier.
Je le retrouve assis sur une chaise de la table à manger, une tasse de café devant lui et deux assiettes contenant trois crêpes chacune.
Moi: Ooh, merci, mon amour,tu m'as préparer à manger !-"lui dis-je,les yeux pleins de cœurs en regardant les crêpes et en m'approchant pour m'assoir et pouvoir manger".
Sebastìan: Mais, tu es folle? C'est pas pour toi! C'est pour Noah.
Moi: Genre, et moi?
Sebastìan: Bah, euh, débrouilles toi!
Moi: pourvu que tu t'étouffes avec, pauvre connard!
Il rigole face à ma réplique et me fait un baiser volant, ce qui équivaut à un regard assassin de ma part.
Je décide d'aller me préparer un truc a manger parce que, je sais que cet enfoiré ne me donnera point les crêpes. Je me prépare ainsi un bol de céréales avant de partir m'assoir a table avec Sebas, et Noah qui vient de nous rejoindre.
Sebastìan: Bonjour mon grand, bien dormi?
Noah: Bonjour tonton Sebastián. Oui, très bien, et toi?
Sebastìan: Mhh on peut dire ça comme ça. Aller, viens t'asseoir je t'ai fait des crêpes.
Noah: Vraiment!? Merci, Tonton.
Il s'approche de son assiette et commence directement a manger.
Noah: Ma'? Tu n'en veux pas ?
Moi: Non merci bébé, j'ai pas envie de manger des crêpes ce matin-"mentis-je pour qu'il puisse manger à sa faim".
Noah: Tu es sûre ?
Je hoche la tête en lui faisant un sourire. Mon regard croisa ensuite celui de Sebastìan qui me regardait en mode "je m'en fou, tu mangeras pas ces crêpes ".
Sebastìan: Livi, tu viens? J'ai à te parler!-"affirme t'il en se levant pour se diriger vers le salon".
Moi: Ça tombe bien, moi aussi-"dis-je en le suivant-"Bébé ? Finît de manger avant qu'on ne revienne, d'accord ?-"il hoche la tête tout en mettant une autre part de crêpes dans sa bouche".
Je suis Sebastìan de près et m'assois sur le canapé à côté de lui.
Sebastìan: Écoute Livia, Noah n'a vraiment pas atteint l'âge d'étudier. Tu es entrain de le fatiguer pour rien. Là, quand il va atteindre les niveaux supérieurs, ça sera difficile pour lui de comprendre car son cerveau sera déjà fatiguer. Alors, laisse le profiter de son enfance et si tu veux, à partir de ses cinq ans, je pourrais venir l'enseigner?
Moi: Je pense que tu as raison en fin de compte. J'avais vraiment pas réfléchie à ça quand je t'avais appelé. Je crois que, on va procéder ainsi.
Sebastìan: Dieu merci, pour une fois que tu comprends quelque chose. Fin, bref, tu voulais me dire quoi?
Moi: Ta gueule. Tu seras libre vers vingt heure voire vingt et une heure ?
Sebastìan: Ouais, pourquoi ?
Moi: Tu pourras s'il te plaît, venir garder Noah ? Je dois sortir.
Sebastìan: Tu vas ou? Non, pardon, tu iras où?
Moi: Tu sais, pour le travail.
Sebastìan: Livia...
Moi: Sebas...
Sebastìan: Sérieusement ça ne me plaît pas ce que tu fais! S'il te plaît, laisse moi t'aider financièrement. J'ai les moy-
Moi: Sebas, j'ai dit non!
Sebastìan: Mais-...
Moi: Je te jure que je sortirai de ce merdier dans pas longtemps !
Sebastìan: Je l'espère bien! Bon,-"il regarde sa montre tout ne se levant"-je crois que, je vais partir là. Vingt heure trente, ça te va?
Je le regarde un instant avant de lui sauter au cou pour le serrer dans mes bras.
Moi: Merci, Sebas ! Merci, merci.
^***^
21h02.
BENICIA, Hôtel Sevetorià.
Chauffeur: On est arrivés, madame.
Je regarde a travers la fenêtre pour voir et remarque qu'effectivement c'est là car c'était écrit en grand caractère en haut.
Moi: Merci-"je sors un billet de cent que je lui tends"-gardez la monnaie et merci encore.
Chauffeur: Oh, merci infiniment, madame. Passez une bonne soirée.
Je sors de ce fait du taxi avant d'arranger ma robe et de prendre mon téléphone pour appeler Diego.
Appel entrant: Diego.
Diego: Allo?
Moi: Ouais? Demande à ton patron le numéro de la chambre du monsieur.
Diego: C'est aussi ton patron à ce que je sache ?
Moi: T'ai-je demander d'ouvrir ta grosse gueule ? Va demander le numéro de la chambre pour moi, tu veux ?
Diego: Mais, va te faire enculer.
Et il me raccroche au nez.
Bon bah,je vais me débrouiller seule car j'ai pas envie d'appeler le patron.
Je me dirige vers l'entrée, en faisant attention à ne pas tomber tellement mes talons sont trop haut. Je rentre à l'intérieur et remarque que c'est vraiment un hôtel cinq étoiles.
Je pars ainsi vers l'accueil pour pouvoir trouver plus d'information sur le monsieur.
Moi: Bonsoir, señorita-"salué-je, avec un sourire poli.
La réceptionniste: Buenas tardes, Señora. En qué puedo serle útil?
Je savais qu'elle était espagnole.
Moi: Euh, je cherche un certain monsieur là-"je décide de poursuivre en français, car je ne comprends pas bien l'espagnol-"
La réceptionniste: Son nom s'il vous plaît?
Dieu merci, elle comprend le français.
Moi: Le problème est que, je ne connais pas son nom. Mais, l'heure du rendez vous c'était a vingt-et-une heure pile.
La réceptionniste: Attendez-"elle regarde sur la feuille qui était devant elle, les yeux plissés de concentration"-Vous avez de la chance. Il y'a qu'un seul monsieur qui réserve à chaque fois une chambre spéciale. La seule différence est que là, il l'avait réservé pour un rendez-vous à vingt-et-une heure pile.
Il doit être fidèle à cet hôtel le monsieur.
Moi: Oh mon Dieu! Merci beaucoup! Le numéro de la chambre, s'il vous plaît ?
La réceptionniste: La chambre se trouve au cinquième étage. Elle est la seule là-bas.
Moi: Muchas gracias, señorita, vous venez de me sauvez la vie!
La réceptionniste: Avec plaisir, Madame-
Moi: Mademoiselle.
La dame: Oh, désolée ! Mademoiselle. Que tangas una buena tarde.
Moi: C'est rien, Bella...igualmente a usted.
Je la quitte ainsi sur ses dernières paroles marchant vers l'ascenseur qui se trouve en face de moi. Une fois arrivée, Je rentre à l'intérieur de celui ci et l'actionne.
^***^
Bonsoir les amiiiis. Ça va dans l'ensemble? Moi aussi ça va.
Bon, le troisième chapitre est disponible. A vous de jouer. J'espère aussi qu'il vous a plu.
À bientôt...
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top