Chapitre 19.





Bonsoir et bonne lecture.



















^***^














BENICIA, Hôtel Sevetorià.

















//LIVIA.//












18h57.






Les jambes flageolantes et le cœur affligeant la chamade, je me lève du sofa, entamant de le suivre. Quelques pas avant d'atteindre ma destination, je trébuche et tombe lourdement par terre, renversant au passage une table remplie de verres.

Je savais que j'allais faire une connerie. Ma maladresse est sans limite.

Je me redresse hâtivement, regardant autour de moi pour voir si personne n'a vu cette action enquiquinante. Et heureusement qu'ils sont tous occupés.

Merci mon Dieu.

J'époussette mes vêtements, déambulant calmement. Je m'arrête devant la porte noire. Sur celle-ci, trois initiales sont présentes: R.A.K.

Une chambre personnelle juste pour monsieur. Et bah.

Je reste là, ne sachant plus quoi faire.

Dois-je toquer ou entrer juste comme ça ?

J'incline pour la seconde option. J'ouvre donc la porte et pénètre à l'intérieur. Les yeux baissés sur le sol, je referme la porte à l'aveugle.
Je relève ensuite la tête, doucement. Ryder est assis sur le lit, un grand lit avec des couvertures noires fraîches et bien faites. Il est entrain d'enlever son holster. Chose faite, il le balance sur le canapé en velours noir présent dans la pièce.
En fait dans cette chambre, toute la décoration est noire. Absolument tout.

L'absence de couleur. Partout.

Même dans sa vie.

Ryder: Tu ne comptes pas t'assoir?

Je reporte mon attention sur lui, le corps indécis. Je secoue alors vainement la tête, n'arrivant pas à articuler.

Ryder: Non?

Je hoche cette fois-ci positivement la tête.

Ryder: Bien.

Il se passe une main dans ses cheveux volumineux et parfait, les démêlant.

Ryder: Je ne vais pas te manger. Viens plus près.

Je n'en suis pas sûre.

Comme une soumise, je me mis à avancer, un pas après l'autre jusqu'à être à quelques mètres de son corps. Je m'arrête.

Ryder: Plus près.

J'avance encore. De deux pas.

Ryder: Encore.

Un pas. Un seul pas pour que mon genou touche le sien. Il soulève sa tête, conciliant mon regard. Dans un mouvement torride, il emprisonne sa lèvre inférieure entre ses jolies dents. Mes yeux descendent sur elles. Encore une fois.

Ryder: Tu me fais confiance?

Il l'a dit dans un marmonnement à peine audible, m'envoyant des décharges électriques dans tout le corps.

Mon Dieu.

Est-ce que je lui fais confiance ?

Tu ne le connais même pas, Liv.

Il y'a à peine une heure de cela, il agissait comme si il allait te tuer à tout moment.

Et maintenant il te demande si tu as confiance en lui?

Bien sur que non!

Moi: Je pense ?

C'est l'alcool. C'est l'alcool. C'est l'alcool.

Ryder: Tu penses?-"maugréa t'il avec une teinte d'amusement".

Moi: Oui.

Ryder fredonne d'approbation. Je me contente donc de triturer mes doigts, ne sachant plus où me mettre.

Ryder: Déshabille toi.

De faire quoi? Comment?

Attendez...ai-je bien entendue?

Moi: Je te demande pardon?

Je n'ai pas bien entendue.

Ryder: Je déteste me répéter.

Parce que c'est de ma faute si j'ai des problèmes d'auditions?

Moi: Non, c'est pas...je ne suis pas sûre d'avoir bien-

Je pousse un cri d'ahurissement quand Ryder tire sur ma main, me faisant atterrir sur lui. Il inverse ensuite nos positions, de sorte à ce qu'il soit au dessus de moi et moi en dessous de lui, les yeux et la bouche ouverts de terreur.

Comment on en est arrivé là?

Son regard hors norme se pose sur mon visage alors que sa main se dirige vers mon front, dégageant mes cheveux dans une cajolerie qui me fît presque fermer les yeux.

Ryder: Je te le demande une dernière fois. Est-ce que tu me fais confiance?

Okay, Livia. C'est maintenant ou jamais.

Pousse le, relève toi, insulte le et casse toi.
Même si tu ne connais pas la maison, tu peux toute fois appelé Caleb. A l'heure là il a sûrement fini ce qu'il a à faire.

Ryder est un homme sinistre, toxique et un connard. Il veut juste te baiser, finir ce qu'il avait commencé avec l'autre et faire comme si de rien était après.

Même si tu es une prostituée, tu n'es pas une chienne, Liv.

C'est ta dernière chance.

Dis non.

Moi: Oui.

C'est l'alcool. C'est l'alcool. C'est l'alcool.

Ses lèvres s'incurvent en un petit sourire en coin. Ce même sourire qui me donne si chaud. Sa main descend mollement sur mon nez, retraçant celui-ci de son index, sur ma pommette droite qu'il caresse avec son pouce et sur mes lèvres où il tire ma lèvre inférieure vers le bas toujours avec son pouce.

Le souffle court et la lèvre oscillante,  j'empoigne férocement la couverture quand ses croissants de chair s'approchent des miens.
Plus tard, je ne vois plus son visage. Seuls ses cheveux gris-noirs doux et soyeux sont dans mon champ de vision.

Je ferme donc les yeux, attendant qu'il dépose enfin ses putain de lèvres si tentatrices sur les miennes.

J'attends.

Encore.

Et encore.

Mais ça ne vient pas.

Désappointée, j'ouvre les yeux et tombe sur son regad égayé.

Quel Salaud.

Que je le déteste.

Pourtant, tu ne chancèleras pas une seule seconde a écarter les jambes pour lui s'il te le demande. Mais oui. Bien sûr que tu le détestes.

Je détourne le regard en sentant mes joues picoter, signe que je suis entrain de rougir de gêne.

Ryder: Pourquoi je le ferai? Quelques minutes avant tu me provoquais, pas vrai?

Son pouce lâcha ma lèvre pour que ses dents puissent prendre le relais. Ma lèvre fut ainsi emprisonnée entre ses dents, m'arrachant un braillement plaintif. Il ne s'en préoccupe même pas et entreprit de suçoter cette dernière. Ne sachant plus ou donner la tête, je pose mes mains sur ses épaules pour avoir un point d'appui. Très vite, sa main droite attrape les miennes qu'il stabilise au dessus de ma tête. Au même moment, il m'inflige une violente morsure qui me fît gémir de façon incoercible.

Putain de merde.

Je ne suis pas sensée aimé ça.

Je n'ai jamais été une fanatique de la véhémence au lit. Jamais.

Meme avec mes clients.

Alors pourquoi ça m'excite maintenant? Et pourquoi diable ça me procure tant plaisir?

Je n'avais jamais ressentie ça.

En aucun cas.

Pourquoi tout semble si disproportionné avec lui? 

Ryder tire excessivement sur ma lèvre, me ramenant sur terre et déformant mon visage de douleur-ou d'agrément- avant de l'amnistier sensuellement.

Ryder: Je t'interdis catégoriquement de me toucher.

Je papillonne des yeux, cherchant à comprendre le sens de sa phrase.

Il a dit quoi?

Sa main continue posément son incursion, arrivant entre nos deux corps. Comme si ma poitrine est invisible à ses yeux, il l'ignore totalement, poursuivant son trajet. Dès lors où sa main touche ma hanche, sa tête s'apatride dans mon cou qu'il commence à érafler fielleusement.

Je me retrouve à gigoter dans tous les sens, ne pouvant plus rester en place. Mes mains serrent instinctivement la sienne qui me maintient pour ne pas que je le touche. Une morsure particulière me fait soulever les hanches spontanément. Lorsque que mon acte mécanique rencontre son membre dur, Ryder se statufie aussitôt , lâchant un grognement des plus profond et sexy. Il resserre inhumainement sa prise sur ma pauvre hanche, me clouant sur place.

Ryder: Reste tranquille.

Un énième ordre auquel j'exécute encore sans rechigner.

Il desserre petit à petit sa prise sur ma hanche avant de la lâcher complètement. Sa main se dirige vers la poche de son pantalon. En un éclair, elle revient dans mon champ de vision et c'est là que je remarque son téléphone.

Un téléphone ? Pourquoi faire ?

Mes questions furent interrompues quand il relève la tête, regardant l'écran pour déverrouiller. Il libère ensuite mes mains.

Ryder: Prends-le.

Les sourcils froncés d'incompréhension, j'attrape son téléphone.

Je vais faire quoi avec son téléphone moi?

Peut être qu'il va te demander de filmer vos ébats pour qu'il puisse mettre ça en ligne.

Tu passeras donc de prostituée à actrice porno.

Quelle évolution.

Une fois que l'objet n'est plus dans sa main, Ryder se repositionne correctement sur moi, ses jambes de part et d'autre de mon corps. Ses bras qui se contractent au rythme de ses mouvement le maintient au dessus, l'empêchant de s'écrouler sur mon corps.

Je suis prisonnière de son corps céleste.

C'est pas comme si ça te plaisait pas.

Un effleurement me fait trembler doucement quand il toucha la peau de mon ventre nu. Sa main est tellement froide. Il continue jusqu'à arriver sur les boutons de mon pantalon.

Il bloque ses pupilles dans les miennes.

Ce putain de regard si hypnotique.

Le premier bouton fut enlever.

Ryder: Entre dans mon répertoire.

La main trépidante, je détourne mon regard pour le poser sur l'écran bleu. Je fais ce qu'il demande.

Le deuxième est sur le point d'être sauter.

Ryder: Cherche le nom de Samuel John.

Mes lèvres s'entrouvrent, priant intérieurement pour que ça ne soit pas ce que je pense.
Malgré ma réticence, je le fais quand même.

Et le troisième bouton subît le même sort que les deux autres.

Ryder: Appelle-le.

Phrase dite, sa main se fraye un chemin dans mon pantalon. J'eus un hoquet de surprise lorsque ses doigts touchent mon intimité escamoter dans ma culotte en dentelle.

Ryder ne bougea pas, préférant se délecter de mes expressions faciales.

Ryder: Lance l'appel-"émet-il plus durement".

Non.

Pitié dites-moi qu'il n'est pas sérieux là.

Non.

Il veut que...

Non, mon Dieu.

Ryder: Tu sais que je n'aime pas récidiver.

Son jappement et son regard furieux eurent raison de moi. J'appuie lentement sur le bouton vert au milieu, lançant l'appel.

Ryder: Donne.

Je lui rend son téléphone qu'il récupère de sa main libre. Il active le haut parleur et le dépose ensuite sur mon ventre.

Tout ça c'est...je-

Bordel.

Ryder: Prohibition de gesticuler. Prohibition d'émettre du bruit.

Comment?

Moi: Ryder, je ne-

Ryder: Tu ne parviendras pas à te maîtriser ?

Je hoche timidement la tête, embarrassée. Ryder acquiesce, et son souffle se mélange au mien quand il jacasse contre mes lèvres.

Ryder: J'exige que ça soit ainsi.

Parce que tu penses que je vais obéir à tes ordres ? Sale prétentieux de merde.

Je voulais riposter mais il m'en empêche en reprenant ma lèvre qu'il avait torturée récemment en détenue. Je ferme les yeux dû à la douleur qui se propage dans tout mon corps. Il libère ma lèvre avec un sourire quelques secondes après, lui valant mon plus beau regard noir.

Ryder: Chut.

La sonnerie du téléphone me rappela la situation dans laquelle Ryder est sur le point de nous mettre.

Qu'est ce qui ne tourne pas rond chez lui?

La vraie question c'est plutôt: qu'est ce qui ne tourne pas rond chez moi?

Ça n'avait sonné que deux fois, deux pauvres fois avant que Samuel ne décroche.

Samuel: Monsieur Khein, bonsoir.

Et ,c'est à ce moment là que, le prince des ténèbres qu'est Ryder commence à asticoter mon clitoris à travers ma culotte. Je retiens brusquement mon souffle, faisant de tout mon possible pour n'émettre aucun bruit.

Ryder: Bonsoir, John.

Sa voix est remplie de sarcasme. Il est entrain de se moquer de mon état.

Abruti.

Samuel: Que me vaut votre appel? D'habitude c'est moi qui le fais-"déclare Samuel en rigolant".

Si tu savais.

Ryder: Je veux que tu révoques une de tes employées pendant un mois.

Un mois? Mais-

J'ouvre les yeux pour les braquer sur lui. Cependant, je n'arrive même à capter son regard que je les referme aussitôt.

Samuel: Je suppose que c'est Livia?-"sa voix vient de changer et je l'imagine entrain de froncés les sourcils".

Ryder décale un peu ma culotte. Son pouce froid commence alors à me titiller. Je ne pus m'empêcher de sortir un couinement. Ce petit raffut me valut un regard menaçant que je disimule à peine, tellement mon corps reçoit tant de sensations.

Ryder: Tu supposes bien.

Samuel: Écoutez Ryder, avec tout le respect que je vous dois, Livia est avant tout mon employée. Donc, je ne peux pas me permettre de lui offrir un congé sans savoir la cause et sous vos demandes en plus.

Ryder augmente la cadence en fixant le téléphone, les traits de son visage se déformant d'irritation. Il ricane, un rire hautain et cruel.

Son rire est si redoutable.

Pourtant moi, à en croire la façon dont j'ai rejetée la tête en arrière et serrer les dents, je dirais que ça m'excite plus qu'autre chose.

Ryder aussi l'a vu.

C'est l'alcool. C'est l'alcool. C'est l'alcool.

Ryder: Je ne te demande pas de me raconter ta vie. Tu fais juste ce que j'adjuge.

Il est tellement impoli.

J'essaye de respirer comme je le peux, manquant vivement d'oxygène à chaque fois. Je suis partagé entre ma jouissance face à ce que je subis où leur appel. Je ne sais plus ou donner la tête.

Hâtivement, je prends le coussin sur lequel ma tête se repose et l'utilise comme un antibruit quand un long et bruyant gémissement quitte mes lèvres. Ryder vient d'insérer son index en moi, entreprenant des vas et vient sans attendre.

Samuel: Je suis désolée mais, je ne peux pas lui accorder cela.

Sans prendre la peine de répondre à Samuel, il vient dégager le coussin de mon visage, le balançant sur le sol.

Ryder: Dernière fois que je t'entends.

Parce que tu crois que je peux me retenir? Imbécile.

Samuel: Pardon?

Je l'avais même oublié celui-là.

Ryder: Je m'adressais à mon poussin-"son regard s'ancre dans le mien, une risette aux lèvres".

Il vient...il a dit quoi ? "Mon poussin"? Quoi?

"Son"?

Il vient de m'appeler sienne ?

Hein?

Samuel: Ah. Bref, je disais-

Ryder: Elle ne travaillera plus pour toi.

Que comment?

Samuel: Quoi?

Ouais. Quoi?

Dans un chuchotement, je lui balance un "qu'est ce que tu fais?" auquel il me répond par une intense pénétration.

Ryder: Livia ne viendra plus travailler pour toi. Dis-toi juste qu'elle...a démissionné?

Il est vraiment sérieux ?

Yeux dans les yeux, il ajoute un deuxième doigt en moi, entrouvrant au passage ses lèvres, en souriant. Son pouce malmène mon clitoris tandis que ses doigts font des mouvements brutaux en moi.

Donc, en gros, l'homme qui est entrain de me doigter vient de me faire perdre le seul travail que j'ai ?

Et en plus je reste calme?

Mon avenir est vraiment sombre.

Samuel: Tu es qui toi pour décider à sa place ?

Plus de vouvoiement?

Son ton est hostile et féroce . 

Ryder: Plus de vouvoiement entre nous, John?

Il se délecte de l'état dans lequel Samuel se retrouve par sa faute.

Un putain de diable.

Samuel: Si c'est à cause de notre collaboration que tu te crois tout permis sur mon employée et sur moi, qu'on y mette fin et tout de suite!

Il est entrain de péter un câble. Carrément.

Ton employée est déjà à sa merci.

Ma main sur ma bouche, je camoufle un autre cri quand Ryder trouve mon point sensible. Il s'acharne ainsi dessus, son regard ne quittant pas mon visage.

Ryder: Quelle collaboration? Je ne m'en souviens plus-"dit-il d'une mine faussement attristée".

Toujours en gardant le même rythme, il écoute Samuel l'insulter de tous les noms. Ryder rejette la tête en arrière pour se craquer la nuque. Sa mâchoire saillante m'offre un spectacle des plus exquis.

J'aimerai tant le toucher.

De partout.

Sa peau pâle a l'air si douce.

Sa pomme d'Adam qui bouge à chaque mouvement de son visage parfait.

Que j'aimerai mordre dedans.

Ryder: Crois-tu que je ne suis pas au courant du fait que tu es la taupe de Yushiko?

Cette information eut le pouvoir de faire taire Samuel pendant plusieurs secondes.

Je suis proche.

Je suis si proche.

Samuel: Ryder, je n'ai-

Ryder: Je ne veux rien savoir. À partir du moment où tu t'allies avec l'ennemi, considère toi comme tel.

Samuel: Je te jure que-

Ryder: Livia ne travaille plus pour toi. Elle n'est plus dans ton clean. La partie peut commencer.

Samuel: T-tu me déclares la guerre?-"demanda t'il d'une voix horrifiée".

Ryder: Oui. Et contrairement à toi, je te l'affirme notoirement.

Samuel: Je m'en fou. Laisse moi juste Livia. Elle m'appartient !

J'ouvre difficilement les yeux après la phrase de Samuel.

Comme toujours. Connard

Ryder ralenti la cadence.

Ryder: Elle t'appartient ? Dans mes connaissances, Livia est une personne et non un produit.

Mon cœur rate un battement. Il l'a dit de manière si disjoins que s'en est excitant.

C'est fou comme tout m'excite chez lui. 

C'est l'alcool. C'est l'alcool. C'est l'alcool.

Samuel: Arrête de dire des énormités pareilles. Livia n'est pas dans le sien non plus.

Ryder: Tu penses?

Samuel: J'en suis même sûr. Elle est peut être une prostituée mais pas conne à ce point.

Les mouvements de Ryder cessent. La mâchoire contractée et les orbes voilées d'une rage noire, il reprend le téléphone dans sa main.

Ryder: Appelle-la encore comme ça et je te promets de te trancher la gorge.

Une mine surprise et choquée se dessine sur mon visage. Je n'arrive pas à croire que Ryder est entrain de me défendre.

Que se passe-t-il vraiment?

Rien ne va aujourd'hui.

Peut être même que le soleil va se coucher à l'est.

Ryder: Et aussi-"il dépose le téléphone à sa place, sur mon ventre , qui se soulève à chaque bouffée d'air que je prends. Il poursuit ensuite ses mouvements brutaux, m'approchant dangereusement de la fin"-dans quel clean es-tu, poussin?

Avec une respiration saccadée, je chuchote un "le tien" à peine discernable.

Ryder: Plus fort.

Moi: L-le tien, anh!

Ryder: Mhh-"il immobilise ses doigts contre ma boule de nerf, se concentrant juste sur mon clitoris"-et comment je m'appelle ?

Moi: Ryder-mh...putain!

Ryder: Parfait, poussin-"un sourire victorieux sur les lèvres, il reporte son attention sur le téléphone"-c'est suffisant comme preuve ?

Samuel: Va brûler en enfer, putain!

C'est pas comme si toi tu iras au paradis.

Ryder: Je te défie de me dire tout ça la prochaine fois qu'on se verra. Maintenant, excuse moi mais je dois m'occuper de mon poussin.

Samuel commence à parler mais Ryder raccroche l'appel. Il balance ensuite le téléphone à l'autre bout du lit.

Ryder: Proche?

Je ne fis que secouer vivement la tête. Je vais m'évanouir putain.

Ryder approche son visage et colle son front au mien.

Ryder: Tu veux venir pour moi?

Encore une fois, je remue la tête.

Ryder: Alors, fais le.

Aussitôt dit, il entame ses mouvements. Ayant son autorisation, je ne me fais pas prier. À l'instant où un orgasme violent me frappe, Ryder pose férocement ses lèvres sur les miennes, entrechoquant nos dents au passage. Sa main libre passe en dessous de moi et il empoigne ma hanche, collant mon corps au sien. Il enfonce ses doigts en moi alors que mon cri fît travesti par notre baiser bestial.


Bordel de putain de merde.


















^***^

























Hum.

Hum.

Hum.

Coucou?

Euh...Ça va ? 

Vous allez bien ?

On est toujours ensemble?

Booooooonnnnnn, moi même j'ai pas les mots. Mais vraiment pas. Donc, tout ce que je peux dire, c'est,  j'espère que le dix-neuvième chapitre a été euh...au top? Oui, je pense que c'est le mot.





























A bientôt...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top