Pdv omniscient.

Virael se posa sur le Porsche de sa maison en regardant le soleil se couché, maison ignorant que dans un coin cacher obscur il y avait une personne qui l'observait on la contemplant, et au moment où il voulait sortir pour se faire savoir, son mari sortie du salon et s'installa a côté d'elle, il décida d'écouter leurs conversations.

* Alors ma puce, comment tu trouves le ciel, on se début de soirée.

_ il est magnifique mon amour, mais il aurait était mieux si on se trouvait a la maison du lac rien que nous deux.

* Effectivement, tu as raison ma colombe, t'inquiètes on ira une prochaine fois. Mais dis moi et ton affaire comment sa va, est ce que tu as eu assez de commande ses derniers temps du moins avant que je ne revienne.

_ disant que pour l'instant tout va au ralenti, je n'est pas assez de commande, vue la situation actuelle tout est devenu compliqué a ce niveau et je ne sais pas exactement ce qui s'est passé mais les commandes ont complètement baisser.

* T'inquiètes tout va revenir à la normale d'ici quelques temps.

_ ok! Je te fais confiance mon amour et surtout que je suis certaine que avec toi tout ira bien.

* Parfait dans ce cas, ils nous restent une longue et belle nuit a rattraper.

_ oh! Sa c'est sur.

Les deux s'embrassèrent a bout de souffle pendant deux bonnes et  longues minutes et ils se séparèrent car ils étaient a bout de souffle tous les deux et ils s'enlacère tout en regardant le soleil se couché.

Pendant ce temps dans l'ombre ce personnage ce fâcha et s'en alla chez lui tout en faisant attention à ce que personne ne l'entend arrivé chez lui il entra dans son bureau verrouilla la porte et cassa tout dans son bureau en hurlant de rage tout en prononçant des phrases incohérente :

- elle est a moi, pas a ce hijo de puta, elle est ma femme, ma propriété. Il n'a pas le droit de l'embrasser ou de la toucher, la c'est sûr je vais le tuer pour oser toucher ce qui est a moi

Il était tellement en colère qu'il n'entendit pas son téléphone sonner, ce n'est que a la troisième sonnerie qu'il entendit. Il le regarda et vit que ce fut sont frère et décida de répondre :

Appel téléphonique.

:  Oui! J'écoute, qu'est ce qu'il y a ?

Dis moi ce qu'il ya pour que tu ne réponde que maintenant.

: Excuse moi frangin j'étais sur les nerfs, vas-y je t'écoute.

    Je t'appelle pour avoir de tes nouvelles et savoir si tes plans vont au beau fixe.

: Sa va comme sur des rail, mais j'ai besoin d'un petit service frérot.

   Je suis tout ouïe, balance la sauce.

: Je veux que tu m'envoies tout ce qui concerne sa petite affaire, c'est à dire tout.

    T'inquiètes je te les envoie au plus vite, mais n'oublie pas fais gaffe a ce que personne ne se doute de rien.

  : Sois sans craintes je ferai attention et n'oublie pas tu me tiens au courant de tout.

   Oui compte la dessus, et voilà je te les ai envoyé, bon ok s'appelle.

: Ok! Bye frangin.

   Bye.

Fin de l'appel téléphonique.

Il raccrocha et lu les documents que son frère la envoyé et l'étudia minutieusement, tout en ayant déjà une idée bien précise de ce qu'il voulait faire pour ce faire rapprocher d'elle.

Pdv de Dereck