Chapitre 3

Caufield

Journaliste 1: Bonjour Cole, selon les rumeur tu connaisserais Marie Smith est-ce vrai?

Moi: Tout a fait nous allions à la même école primaire jusqu'à ce qu'elle parte à Montréal.

Journaliste 1: Étiez vous proche?

Moi: On ne se parlait presque jamais donc non pas vraiment.

Ils continuèrent leurs questions en commentant comment mon jeu était bon. C'est pas comme si je savais pas. Je laissa ma place à Romanov ensuite pour rejoindre Nick. Il m'attendais un peu plus loin en parlant avec Marie. Celle-là qui a osé me frapper quand j'avais rien fait. Intimité? Pff si c'est rendu de l'intimidation je sais pas où on est. Je lui est juste dit de grandir et de prendre du poids comme on voyait ses cotes. Je m'approcha pour savoir de quoi ils parlaient.

Marie: N'es pas peur de faire des mises en échec. Tu n'es pas le plus grand serte, mais t'es pas Caufield.

Moi: On parle de moi.

Suzuki: Ahh Cole! Marie me donnait des conseils.

Elle me regarda de haut en bas et je claqua ma langue contre mon palet. L'arrogance qu'elle a.

Martin: Sa vous dit un escape games pour votre victoire comme on a une pause de 4 jours?

Byron: Ba ouais!

Martin: Je vais faire les équipes se soir donc vous avez pas votre mots à dire sur ceux-ci. Préparez vous à demain.

PDV Marie

Je regarda le message que Martin venait d'envoyer je suis pogner avec Cole Caufield. J'aimerais tellement échangé. En plus il nous à mit dans un expert en disant je site. « Vous êtes deux personnes très intelligentes vous allez réussir. » Moi réussir, oui. Lui? Non. J'ai essayer de demander à toute les joueurs presque d'échanger, mais aucun ne voulait. Je vais mourir.

...

On était là dans la salle à se regarder. La télévision en haut nous expliquait le défi, mais on écoutait pas.

Caufield: J'espère que tu sais faire de quoi.

Moi: Je suis pas analyste pour rien.

Caufield: Au primaire c'était pas génial par contre.

Moi: Et toi quand tu es tomber devant toute l'école avec un ballon de soccer.

Caufield: Quand la prof en 4 t'a mit dehors, car elle pensait que t'avais cassé la fenêtre, mais que c'était moi.

Moi: C'était toi?! J'avais tellement pleurer après.

Tv: Vous avez une heure!

Moi: Allez on doit commencer.

Je regarda la pièce du regard. Je trouva un triangle placer trop haut pour moi. Je sauta pour essayer de l'atteindre et au final se fut Cole qui le prit.

Il me le tendit et je le remercia en ne le regardant aucunement.

Moi: Essaye d'en trouvé d'autre comme ça.

J'essayais de comprendre les indices au mur. Le vent, la terre et l'eau. Il manque pas le feu? Il n'a pas l'ère d'être là. Je trouva des carrés avec des formes dessus.

Caufield: Ton métier n'a pas l'ère de te servir.

Moi: Tait toi tu veux?

On essaya plein de truc pendant un long moment, mais rien fonctionnait. Il me gueulait de demander un indice, mais je ne peux pas faire ça mon estime va prendre un coup.

Il me vola le talkie-walkie et j'essaya de le reprendre.

Moi: Passe moi le.

Je m'accroche à son bras et il recula jusqu'à tombé sur une genre de roche m'emmenant dans sa chute. J'étais maintenant par dessus lui en califourchon. Je le poussa rapidement et prit la roche.

Je sais où elle va. Je la mit à sa place en suivant la logique de l'eau bat le feu et le feu bat le vent ect...

Une petite porte s'ouvrît ensuite.

Moi: Première étape terminer.

Il sortir la plaque de la boîte qui venait de s'ouvrir. Je regarda le plafond et vue les constellations.

Moi: Tu connais tes constellations avec la grande ours et toute?

Caufield: Ouais ma mère me les as appris.

Moi: Celle qui est encerclé est?

Caufield: Le chaudron.

Moi: Au moins tu sers à quelque chose.

Caufield: Tu penses pas qu'on devrait régler ça?

Moi: Non j'en sens pas le besoin. Je sais se que tu as dit et rien ne changera ça. Trouve des indices et réussi les. Il nous reste seulement vingt minutes.

On se mit en vitesse grand A pour finir la pièce. À une minute de la fin on réussi. Je souffla en me lançant tomber contre le sol.

Tv: Bien jouer vous avez réussi.

Cole me tendit son poing et colla le mien contre. On sortie de la pièce en attendant que les autres qui était pas encore sortie sorte. Suzuki était déjà là avec Anderson. Je partie vers eux suivie de Cole.

Moi: Vous avez réussi?

Anderson: Oui et vous?

Moi: Oui grâce à moi.

Caufield: Si j'étais pas là tu n'aurais jamais réussi.

Je le regarda droit dans les yeux. Je lui frappa l'épaule au mon poing. Il bougea pas d'un poil.

Suzuki: Je vais aller parler avec Cole un moment on revient.

Ils partirent je ne sais où. Sûrement dehors pour parler.

Anderson: Tu t'entends pas avec Cole.

Moi: Non je me suis jamais attendu avec.

Anderson: C'est un bon gars.

Moi: Chacun son avis.

Anderson: Il t'a fait quoi?

Moi: Intimidé au primaire.

Anderson: Les gens changent. Vous aviez 8-9 ans?

Moi: Ouais.

Anderson: Vous en avez 21 maintenant ça fait 12 ans. Crois moi il a changer. Mais c'est sûr que si tu le fais chier en partie il sera pas délicat avec toi comme n'importe qui de l'équipe.

Il peut avoir changer? Il est plus patient qu'avant c'est vrai, mais je sais pas trop.

Evans: On a échoué un facile.

Je me mis à rire en lui disant que ce n'était pas grave. Il était avec Hoffman donc je me dit que celui-ci voulait peut-être tout faire. Mais je commencerais pas à dire ça à tout le monde quand je ne sais pas.

Suzuki et Caufield revenue et on attendit le reste de l'équipe pour nous faire un resto. Quand ils arrivèrent toutes on s'y rendit. On dû demander plusieurs tables, car on rentrait pas toute sur une. Je me demande encore pourquoi je suis sur elle avec Cole. Suzuki fut celui qui nous tira à la même table avec lui et Anderson sans oublier Evans et Romanov.

Serveuse: Puis-je vous demander se que vous voulez boire?

Moi: Un pichet pour moi.

Suzuki: On va t'en prendre 3 au total.

Elle partie et me revenue avec ceux ci. Je me fit rapidement un verre. On commanda ensuite comme on avait faim. Ils prient tous un steak alors que je pris une Poutine comme on est au Québec.

Caufield: C'est pas avec ça que tu vas prendre des muscles.

Moi: Qui a dit que je voulais en prendre aussi.

Je le fusilla du regard et bu mon verre d'une traite.

Anderson: C'est pas de l'eau.

Moi: Je le sais très bien.

Je me cala plein de verre d'affilée et je commençait à avoir chaud.

PDV Caufield

Marie: Salaud rend moi mon verre!

Je lui avait enlevé comme elle était soûl raide. Elle s'endormit finalement pour le plaisir de mes oreilles.

Anderson: Quelqu'un sait où elle habite?

Suzuki: Non. On va devoir l'emmener chez un de nous. Je peux pas moi ma blonde va être jalouse.

Anderson: Cole c'est à toi de le faire.

Moi: Pourquoi moi?

Suzuki: Tait toi et fait le.

Je souffla et me leva pour la soulever.

Caufield: Vous allez devoir me payer un verre.

Je la sortie dehors et la posa au sol avant de souffler. Je la regarda et remarqua qu'elle était assez belle. Je n'y avait pas fait attention avant.

Je sortie mes clés et la souleva de nouveau pour la mettre sur mon épaule. Je la déposa dans ma voiture et je me mit à conduire jusqu'à chez moi. Une fois arrivé je la monta jusqu'à ma chambre et la garocha sur le lit. Je partie dans mon dressing pour trouver un chandail trop petit pour moi. Je m'en foutait de la cour en sous-vêtements. Il avait sûrement rien à voir.

Je lui enleva son top en regardant autre part comme c'était quand même priver. Je lui enfila le chandail et voulu partir de la chambre ensuite, mais là soûl juste à côté me prit le bras.

Marie: J'ai froid reste.

Je souffla et l'abrilla dans les couvertures. Je lui plaça les cheveux derrière son oreille en la regardant. J'approcha mon visage du sien, mais arrêta assez rapidement. Cole non! Tu ne l'aimes même pas!

Je sortie de la chambre en fermant la porte. Mieux vaut ne pas la voir. Je partie dans la salle de bain me laver le visage à l'eau froide. Je me rappela de ma conversation avec Nick tout à l'heure.

Flashback

Moi: Tu voulais me parler de quoi?

Suzuki: Tu as fait quoi à Marie pour qu'elle te déteste autant?

Moi: Je sais pas moi. Au primaire je l'aurais sois disant intimidé.

Suzuki: Pourquoi tu empires ça alors? Excuse toi et fait des efforts pour lui faire comprendre que tu n'es plus de Cole là. Mais plutôt se Cole souriant qui est gentil avec tout le monde et qui adore s'amuser.

Moi: Je vais essayer, mais compte pas trop sur moi.

Suzuki: Je crois en toi.

Fin flashback

Je partie dans la douche pour me changer les idées et arrêter de penser à se que j'ai presque fait.

Quand je sortie de la douche et mit un bas j'attendis un bruit sourd venant de ma chambre alors je m'y rendit.

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