On avait fini par gagner contre les Rangers de façon très serrer par contre. Contre les Islanders je ne savais pas ce qui c'était passé par contre on s'était fait démolir 6-1. Ni moi ni Martin n'était fière de ça. Est-ce que c'était parce que les gars revoyaient Romanov ou qu'ils étaient mieux préparés. Je ne savais pas, mais une chose est sûr c'est qu'on retournait à Montréal et je n'accepterais pas une défaite contre les coyotes. Cole chialait de plus en plus sur ceux qui osait me regarder et sa jalousie commençais à me taper sérieusement sur les nerfs.

Caufield: Tu veux aller dîner avec moi au resto?

Moi: Pas aujourd'hui j'ai beaucoup de travail.

Je lui montra la pile de feuille que j'avais sur les jambes dans l'avion. Je devais remplir une feuille par membre de l'équipe pour les améliorer un à un. Et Dieu c'est que ça n'allait pas être facile. Pour leurs égaux surtouts. Ils n'allaient sûrement pas être prêt à ce que je leurs crache au visage leurs défauts de jeu. Quand je passa à la feuille de Cole je le vue froncer les sourcils.

Moi: Ne regarde pas je vais faire un exercice spécial pour vous.

Je lui cacha la feuille en répondant au question posé. Trouver un défaut n'a pas été si dure. Sa grandeur en était un, mais on ne pouvais pas travailler cela. J'allais bien finir par trouver en regardant les matchs en reprise. Celle à Nick a été plus difficile par contre.

Caufield: C'est pas au coach de faire ça de base?

Moi: Ouais, mais on me l'oblige. Je suis analyste donc je regarde et essaye de trouver des solutions. Martin lui vous cris dessus quand c'est nécessaire et fait les grosses décisions.

Hoffman: Tu nous cris dessus aussi je te rappelle.

Je le regarda alors qui c'était lever pour me répondre.

Moi: C'était nécessaire.

Hoffman: Bien sûr.

Moi: Laissez moi travailler sinon j'aurais pas fini d'ici demain.

Je pu enfin me concentrer jusqu'à se qu'on arrive a Montréal. Une fois débarqué de l'avion on fit une petite réunion vite fait pour rappeler au gars se qu'il devait pratiquer pour leurs deux jours de pause. Je monta ensuite dans la voiture suivis par Cole. On était arrivé ensemble donc je devais aller le déposer chez lui.

Moi: Il faudra qu'on parle plus tard.

Caufield: J'ai fait quelque chose de mal?

Moi: Non y'a juste une petite chose qui me gosse, mais sinon t'es un vrai amour.

Caufield: On peut en parler maintenant si tu veux.

Moi: Comme tu veux.

Je détacha ma ceinture et me tourna vers lui.

Moi: T'es extrêmement jaloux.

Caufield: Je ne dirais pas le contraire. C'est juste que tu es tellement populaire.

Moi: Je ne peux même plus parler ou être regarder par quelqu'un d'autre que tu te mets entre nous deux. Fait moi juste confiance. J'ai l'impression que tu ne le fais pas.

Caufield: Désolé.

Moi: C'est pas grave fait moi juste plus confiance.

Je le pris dans mes bras avant de démarrer et de le reconduire chez lui. Je m'arrêta devant son appart qui n'avait pas l'ère petit d'ici.

Moi: Passe une bonne nuit.

Caufield: Toi aussi à demain.

Je lui fis un petit sourire et il rentra chez lui.

De retour chez moi je fis le travail que j'avais à faire. Je n'allais pas le finir d'aussitôt. Je faisait rejouer des partie des matchs pour voir se qui avait moins bien fonctionner. Je nota la défensive bien évidemment. Les bons joueurs n'y manquait pas, mais ils n'étaient jamais placé à la bonne place.

Vers 21h je pris une pause pour manger. Je me fis livrer comme je n'avais pas le temps de cuisiner. Ensuite le travail recommença. C'était long et pénible. Ça devait être l'une des choses que je détestait le plus faire autre que aller à l'agence.

...

Le lendemain j'étais crevé j'avais dormis deux heures de temps. Ce travail c'était avéré plus long que je le pensais. Je me rendit à l'aréna les cernes atroce en dessous des yeux. Je n'étais pas l'un des joueurs n'ont plus donc se n'était pas la fin du monde. Je salua les gars et partie voir Martin qui voulait qu'on regarde pour les prochains match la façon de faire.

Moi: Salut Martin.

Il était entrain de parler avec Allen avant qu'il rentre sur la glace.

Martin: Ta fini tes fiches?

Moi: Ouais.

Je lui passa la copie pour les exercice personnalisé. Les gars étaient entrain de faire des tours de patinoire. Il les regarda pendant un long moment avant de dire au gars de s'approcher.

Martin: Aujourd'hui on va séparer la glace en trois. Une partie va être Sam et Jake qui vont s'entraîner dans les buts à arrêter nos tirs. Les attaquants vont me faire des beaux petit parcours pour améliorer leurs agilités et leurs vitesses. Les défenseurs la défense! Vous allez suivre un autre défenseur à tout de rôle et jamais le laisser vous dépasser. Compris?

Les gars répondit positivement et je partis mettre des cônes sur la glace pour les attaquants. Dach venait tout juste d'arriver à Montréal donc Martin prit un temps à lui expliquer comment il fonctionnait. Après avoir placer les cônes je me présenta donc à se dernier. Il avait l'ère d'un gars avec qui on s'entendrais bien en général.

Je regardait les gars faire se qu'ils avaient comme exercices. Martin et les entraineurs de chaque groupes tirait sur les gardiens pour les faire pratiquer. Donc je m'ennuyais un peu toute seule sur le banc. Ça durait depuis un moment et j'avais fini de prendre mes notes. Je portais donc surtout attention à Cole comme il était magnifique. Ses mouvements étaient fluides c'est ce que je voulais voir. Son regard rencontra le mien et il sourit. Je lui fit signe d'approcher se qu'il fit.

Caufield: Tu ne t'ennuies pas trop?

Son regard se porta sur mon carnet qui était plus loin sur le banc.

Moi: Si tu savais. Je voulais juste te dire que tu es le meilleur pour le parcours. 

Il souria et enleva son casque avant d'attraper mon menton pour avancer mon visage vers lui. Je dévisagea ses lèvres qui me tentais. Je voulais poser mes lèvres sur les siennes, mais ne pouvait pas. On était en plein travail.

Moi: Retourne faire tes obstacles Cole. 

Caufield: La pratique fini dans 30 minutes je vais rester plus longtemps sur la glace après si jamais ça te tente.

Il me fit un clin d'œil et repartit sur la glace. Après le trente minutes tout le monde était partie sauf Cole qui était rester sur la glace. Je fis donc pareil et fis signe à Cole que j'étais là. Il patina jusqu'à moi et me prit la main pour que j'embarque sur la glace. Je n'avais que mes souliers donc ça glissait mal. Il me fit tourner sur moi même et me cola à son corps ensuite.

Moi: Mmh que fais tu?

Caufield: Je ne fais rien de particulier.

Je me mit sur la pointe des pieds et posa mes mains sur ses joues avant de l'embrasser. Cole posa ses mains sur mes hanches en les pressant légèrement. Le baiser était doux et chaleureux. 

Suzuki: Je veux pas briser votre moment, mais Martin veut te voir au plus vite Cole.

Il souffla désespérément et partit de la glace. Nick était rester pour m'attendre. 

Suzuki: Ta pas beaucoup dormis cette nuit toi.

Moi: Pas vraiment j'avais du travail.

Suzuki: Repose toi aujourd'hui on a pas de match.

Moi: C'est ce que je pensais faire. 

Suzuki: Cole devrait être occupé une bonne partis de la journée donc pas de problème de ce côté.

Je rigola légèrement et on sortie de la patinoire. Je dis aurevoir au gars et partit chez moi faire une sieste.