Chapitre 2
Je partie m'assoir dans les estrades au premier rang à côté de la rangée où les canadiens rentraient sur la patinoire avec mon carnet pour noter mes observations. J'avais bien évidemment ma feuille avec les noms des joueurs des deux équipes. J'allais pas me priver de noter se qu'il n'allait pas pour eux aussi. C'est toujours bon pour les futures match contre cette équipe où juste pour la période d'après.
Les joueurs rentrèrent sur la glace et les partisans se mirent à crier alors que ce n'était que l'échauffement. Allen allait commencer sur la glace alors que Montembault va être le remplaçant. Je l'es regarda faire en me pratiquant à mémoriser les noms de chaque joueurs sans exception sur la glace. Vasilevskiy que je connais juste de nom pour ses exploits était là comme gardien partant. Allen allait devoir être à la hauteur. Kucherov fit une mise en échec dans la vitre protectrice juste devant moi et me fit un clin d'œil. Qu'est-ce qu'il vient de faire là c'était bizarre. On se connais? Je crois pas, mais peut-être qu'on sait déjà croisé.
...
Ils venaient de faire les hymnes national des deux pays et la game commença. Ils mirent le trio de Pitlick, Evans et Hoffman en premier avec comme défenseur Romanov et Savard. On va bien voir se que ce match va donner. J'ai des grandes attentes alors j'espère qu'ils ne vont pas me décevoir. J'espère presque voir Caufield recevoir une mise en échec. Ça devrait être facile comme il est petit. Evans gagna la mise en jeu se qui emmena les canadiens à se diriger dans le territoire du Lightning. C'est là que mes notes commence. Hoffman passa à Savard en arrière qui passa à Romanov vers Evans qui tira, mais ne conta pas. Il aurait pu faire une passe à Hoffman il était bien placé.
Je continua à noter les erreurs faite sur la glace. Wideman vola la rondelle à Point et fit une passe à Caufield qui s'emmena rapidement au filets et tira haut et il compta. Il fit exprès de rentrer dans la vitre vitrée devant moi pour célébrer son buts. Les gens à côté cognèrent contre celle-ci. Ça me fait presque penser à Kucherov tout à l'heure, mais je peux dire que je préfère lui de tampa. J'essaya de penser à qu'est-ce qu'il a mal fait dans son jeu, mais je ne trouvais pas donc sa me frustrait.
La période se fini 1-1 suite à un but de Hedman en supériorité numérique. Martin me fit signe de venir avec eux se que je fis. En nombre de tirs on se faisait démolir. 15 contre 6 tir.
Hoffman: Fait moi la passe!
Pitlick: Je te l'a fait, mais tu manque chaque chance.
Moi: Le problème est vous deux.
Ils me regardèrent de haut, mais je ne fit que faire un sourire.
Moi: Hoffman tu joue pas en équipe passe ou tire dans le but pas à côté. Pitlick tu fais des belles passes, mais crois en toi et tirs. Plusieurs fois tu aurais pu compléter des jeux que tu n'as pas fait.
Pitlick: Je vois je vais essayer de tirer plus au filet.
Hoffman: Tu dis que je sais pas jouer en équipe!
Moi: Tout à fait.
Il voulait s'approcher de moi, mais Suzuki se mit entre lui et moi.
Suzuki: Prend le pas mal on trouve tous que tu essaies trop d'aller au filet tout seul. On va t'alimenter s'il le faut.
On rentra dans les vestiaires et Martin me passa le crayon à tableau. Ils comprenaient parfaitement que j'en avait de besoin.
Je fis la patinoire et fit des x et des o au milieu sur le bord de la bande c'était l'endroit que j'allais parler.
Moi: Le Lightning est une équipe forte en attaque comme en défense c'est pour ça qu'il on gagner la coupe deux ans d'affilé. Ici est leurs point faible. C'est quand ils sont là que je veux vous voir leurs voler la rondelle. S'ils sont là et vous faites rien je vous fait faire 50 suicides.
Je redonna le crayon à Martin qui continua à leurs expliquer se qu'il devait faire.
Je me mit proche de Suzuki contre le mur et il me frappa légèrement la jambe se qui ne faisait pas mal, pour me parler. Je me baissa à son niveau et il se pencha à mon oreille.
Suzuki: Devenir entraîneur ça ne te tente pas?
Moi: Trop une grosse job pour moi. Je préfère utiliser mes yeux et analyser.
Suzuki: Tu explique bien avec tes dessins.
Moi: Merci, si je peux te donner un conseil avec ton jeu en désavantage numérique sa serait de te reculer plus, tu ne défend pas vraiment d'où tu es. C'est se qui a emmener au but de Hedman
Suzuki: C'est se que je pensais merci ça va me servir.
On rejoignit nos poings et je me releva. Cole écoutait attentivement le coach. Je l'espère bien, car il ne va pas toujours faire des beaux buts. Quand il resta cinq minutes à la pause on sortie du vestiaire et je me rendit à ma place. On va bien voir s'ils vont devoir faire des suicides.
...
Ils avaient établi mes conseils. Hoffman passait quand il n'avais pas de chance de marquer, Pitlick tirait plus au but et Suzuki lors des désavantages numériques se reculaient plus. On laissait plus de chance proche de la barre. On avait maintenant un avance de deux buts. Un d'Evans avec l'aide de Pitlick et un autre de Pezzetta sans aide. Le Lightning n'avait eu aucune chance se qu'il ne faisait sourire. Je voyait toujours plusieurs petites erreurs, mais elles n'étaient pas critiques pour le moment. On verra ça une autre fois. Lors de la deuxième entracte je resta dans les gradins et sortie mon téléphone pour voir les buts de nouveau sur le compte des canadiens. Le plus beau même si j'aimerais que ça soit un autre était celui de Caufield. Droit au fond du but.
J'attendis que la 3ème période pour bien observer l'autre équipe. Toute l'équipe tombait sans arrêt qui laissait beaucoup de choix de jeu au Lightning. C'est se qui aida Kucherov à en conter un. L'équipe avait l'ère décourager et juste voir ça me titiait. On à toujours un avance de un but, mais ils ont l'ère épuisé et de ne pas vouloir être sur la glace. Je peux bien comprendre que le fait de recevoir plusieurs mise en échec violente de la part du Lightning n'aide pas, mais s'ils veulent gagner ils doivent se bouger le cul. Le Lightning attendra pas après eux loin de là et on le comprit quand Point conta le but égalisateur. Je me leva mécontente et frappa contre la vitre. Savard s'approcha et je lui gueula de dire à l'équipe de se bouger le cul s'ils veulent pas perdre. Il repartit ensuite au banc avec cette information. Il restait cinq minutes à la période c'est leurs chance. Cole qui rentrait sur la glace me lança un regard et je lui fit signe de se bouger le cul. Le match continuait d'avancer et il n'y avait pas d'autre but. Il restait vingt secondes, Suzuki et Cole s'élançait vers le but de Vasselevski Nick passa à Cole qui repassa au centre qui compta. Je me leva de joua. On avait gagner! Les dernières secondes s'écoula et tout le monde sortie de la glace. Je fis pareil et quand Suzuki passa je lui sauta sur le dos.
Moi: Magnifique but rien à redire.
Suzuki: C'est grâce à la passe de Caufield.
Je regarda se dernier et lui répondit.
Moi: Non je crois pas.
Ils se rendirent dans les vestiaires et je leurs laissa faire sans les suivre comme ils allaient se changer. Je m'assis sur un banc un regarda mes notes. Défensivement on a de la difficulté. Je dirais pas que c'est se que j'ai vue le plus pire de ma vie, mais c'est pas génial. L'attaque est bonne dépendant du trio. Celui de Cole, Suzuki et Anderson est certainement le meilleur.
Je regarda à les regarder pendant encore un moment avant que les premiers gars sortie en linge de sport. Ils devaient aller parler au journaliste.
Martin: Marie t'es la première à passer tu dois y aller.
Moi: Hein c'était pas dans le contrat.
Il dut me traîner jusqu'à là bas, car de un je savais pas c'était où et de deux je voulais pas.
Je m'assis sur la chaise quand une madame me dit de le faire.
Journaliste 1: Qu'avez vous pensé du match de se soir?
Moi: C'était un bon match. On a eu quelques accrochages à des moments, mais on sait reprit.
Journaliste 2: Quel était le meilleur joueur se soir selon vous?
Moi: Suzuki définitivement il fraudait pas de jeu inutile très souvent il menait à une chance de marquer.
Journaliste 3: Quel est votre rôle plus exactement dans l'équipe?
Moi: Analyser le jeu de l'équipe pour trouver une façon d'améliorer l'équipe et de les faites gagner.
Journaliste 3: Merci pour ta réponse.
Je pu partir et Cole se préparait pour répondre au question des journalistes.
Caufield: Pas capable d'avouer que j'étais le meilleur joueur?
Moi: Pff toi le meilleur. C'est une blague j'espère.
J'allais partir, mais il me prit le poignet.
Caufield: Pourquoi tu me détestes?
Moi: D'après toi?
Caufield: Je sais pas moi. Je m'appelle pas Marie.
Moi: Tu m'as intimidé au primaire.
Caufield: Juste à cause de ça c'est tellement n'importe quoi.
Je ne retenue de le frapper.
Moi: Va répondre au question et fait moi pas plus chier.
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