Ça devait faire dix bonne minutes que Cole me serrait dans ses bras.

Moi: Et si je perdais se job?

Caufield: Ça n'arrivera pas.

Moi: À chaque fois que je parle au journaliste c'est comme si je pouvais être détruit avec un clic ou deux.

Il leva ma tête et colla nos lèvres ensemble. Je le laissa faire et m'agrippa à ses épaules. J'avais des papillons dans le ventre qui commençait à se développer. Ses longs doigts parcourait mes avants bras et descendait jusqu'à mes hanches. Ses lèvres étaient douce et sucré comme si elles goûtaient la vanille. Ses épaules muscler était parcouru par mes mains qui essayait de trouver une façon de ne pas tomber même s'il me tenait bien. On se décolla un cours instant pour se regarder droit dans les yeux et pour reprendre notre respiration.

Romanov: Je suis désolé de déranger votre moment érotique, mais j'aurais besoin que vous veniez tout les deux.

Cole sortie un grognement de désespoir et me prit la main avant de se mettre à suivre Romanov. On se rendit jusqu'à deux journalistes qui étaient au côté de Martin.

Martin: On va faire ton interview maintenant.

Je souffla et partie m'assoir avec les journalistes.

Ils me posèrent plusieurs questions et elle que je m'y attendais presque sortie sur le fait que je connaisse Zegras avec ça situation en se moment. Je leurs répondu en disant que la vérité. L'interview se passa plus vite que je pensais et je pu aller me reposer à la chambre d'hôtel alors que les gars s'entraînait. Ça m'a prit un bon 15 minutes convaincre Cole de rester à la pratique comme il voulait venir avec moi. Arriver à l'hôtel je me laissa tomber dans mon lit. La journée était même pas terminée et j'étais déjà fatigué. Je recevais des messages venant de ma famille et d'amis qui me parlait de l'article qui venait de sortir sur moi. Parlant du fait que je me suis pas pointé à l'interview. Ça n'avait pas prit longtemps avant que l'article devienne virale. Je souffla désespéré et n'y fit pas attention. Je leurs écrit que ce n'était rien et partie sur YouTube pour décompresser jusqu'au match. J'avais donc encore 5 heures à attendre se qui me soulageais presque.

Demain on repart à Montréal et on y reste 5 jours avant de repartir pour Ottawa. Je vais utiliser mes jours de congé entre pour aller voir Maly, elle a été la première personne à venir me voir quand je suis arrivé à Montréal. Depuis de temps on est meilleure amie. Je lui présenterais Cole pour qu'il me lâche un peu et qu'il puisse avoir quelqu'un de plus douce.

...

Moi: Ne perdez pas où je vais être très déçu de vous. Vous êtes prêt alors ne manquez pas votre chance de remporter la victoire.

Petry: Apprend à pas manquer tes interview avant de nous donner une leçon.

Romanov: Tu veux bien te taire?

Petry: Pourquoi tu prends sa défense? Tu l'aimes?

Romanov se leva et se mit devant Petry qui se leva à son tour.

Moi: Assez!

Les deux me regarda et se rassis. Martin était toujours fâché après moi se qui n'aidera sûrement pas à long terme.

Le temps pour eux de partir vers la glace arriva et je leurs souhaita bonne chance. Je partie m'assoir dans les estrades et comme pas hasard mon voisin de banc était Trevor. Il a fait exprès c'est sûr je le connais trop pour que ça soi une simple coïncidence.

Moi: Pourquoi tu es ici?

Zegras: Je voulais voir jouer l'équipe de ma ville. Tu n'es pas contente de me voir?

Moi: On sait vue il y a même pas 6 heure. Mais bien sûr que je suis contente de te voir.

Je souria et lui ébouriffas les cheveux. Il laissa échapper un grognement en repoussant ma main. Cole nous regarda les sourcils froncer. Zegras perdu son sourire qu'il avait prit en le voyant en retour. Qu'est-ce que j'allais faire avec ces deux gosses. Je me pencha vers l'oreille à Zegras un cours instant pour lui dire qu'il devait régler leurs problèmes. Zegras ne dit rien et ne fit que me regarder alors que Cole frustré lançais les rondelles vers le but. Je ne savais plus quoi faire avec les deux. Oui je venait tous juste de connaître l'histoire de leurs querelles, mais j'étais déjà fatigué d'eux.

La période d'échauffement se fini donc on attendit pour les hymnes nationaux et que la partie commence.

Je me souvenu d'une phrase importante que Martin m'avait dit il y a un moment. « Il ne faut que votre relation dérange son jeu. » c'était tout le contraire qui allait sûrement arriver aujourd'hui. En bien? En mal? Je ne pouvais savoir avant de le voir. Se qui arriva assez tôt. Il jouait très agressivement dès le début. Le banc des pénalités ne va pas l'attendre très longtemps à se stade.

Cole non de dieux reprend toi.

Martin me fit signe de venir au banc. Je le sentait mal là. J'attendis le bon moment pour débarquer par la petite porte juste à côté et d'aller vers le banc des canadiens.

Martin: J'avais dit quoi Marie?

Caufield: C'est pas sa faute c'est de lui là bas!

Il pointa Trevor qui fronçait les sourcils.

Moi: Reprend toi à la fin. De un tu vas te blesser de deux le banc des pénalités n'est pas là pour faire jolie.

Caufield: Alors reste.

Mon cœur manqua un battement et je lâcha son regard sentait mes joues chauffer.

Moi: Gagne, je vais rester ici.

Il souria et repartie sur la glace comme c'était son tour d'embarquer. Romanov me donna un petit coup sur la jambe avec un clin d'œil pour compléter le tout. Je rigola légèrement comme il n'arrêtait pas de faire ça depuis les derniers jours. Je l'es regarda jouer au côté de Martin. Ils jouaient mieux qu'au début du match et ça se voyait. Suzuki avait conter et Pezzeta aussi.

...

Le match était fini et on avait gagner 4-1. On rentra dans le vestiaire le sourire au lèvre. Je félicita toute l'équipe pour leurs victoires sans rien rajouter comme Martin n'avait pas l'ère de vouloir me laisser glisser un mot.