Chapitre 10

Caufield

Je me mit en place prêt à récupérer la mise en jeu, mais se fut les Panthers qui la gagna. Je veux gagner ce match! Je veux se rendez-vous avec elle. Je veux lui montrer que je suis pas lui qu'elle pense.

On récupéra la rondelle et Anderson me fit la passe. Je me faufila entre les deux défenseur, en fait j'essayais. Il m'en empêchait loyalement. Je rentra dans leurs territoires et là passa à Suzuki qui était juste derrière. Il l'a passa ensuite à Romanov qui fit le première tir au but de la période

...

A la fin de la période Giroux me fit une méchante mise en échec et je tomba contre la rampe. Anderson commença à se battre alors que j'essayais de reprendre mes esprits. Un infirmier venue me voir et me fit suivre un de ses doigts.

Infirmier: Es-tu capable de continuer?

Je fis oui de la tête même si je savais bien que la vrai réponse était non. Je me releva et me prépara pour la mise au jeu alors que Anderson avait été chassé pour rudesse.

On doit bien finir cette première période. C'est 2-0 pour eux.

Suzuki gagna la mise en jeu et essaya de faire un jeu avec moi pour avoir une chance de marquer, mais m tête ne faisait que tourner. J'échappai la rondelle idiotement. Ils partirent en contre attaque et j'essaya de reculer pour défendre le territoire, mais ne fit que nuire à Petry et Edmondson.

Huberdeau tira au but et Allen fit un bel arrêt. Je retourna au banc et Martin me dit d'aller au vestiaire en faisait signe à Marie d'y aller aussi.

Elle se leva et descendu et me fit signe de venir. Elle m'obligea à m'assoir sur le banc dans le vestiaire.

Marie: Tu as reçu toute une mise en échec de quelqu'un qui est beaucoup plus grand que toi attend toi pas à pas recevoir d'impact.

Je ne fit que là regarder. Elle est tellement belle se n'est pas croyable.

Marie: Arrête de me regarder et concentré toi sur mon doigt.

Je le suivi du mieux que je peux se qui n'était pas génial.

Moi: Je suis désolé pour tout à l'heure.

Marie: Sait pas grave.

Moi: Où ta t'il toucher?

Marie: Ne t'inquiète pas pour ça il a juste touché ma poitrine.

Moi: Quoi!

J'étais fou de rage après se salaud. Comment ose se t'il la touchée?

Marie: Ne joue pas pour la deuxième période on verra pour la troisième.

Moi: Quoi, mais non! Je vais bien!

Marie: Oh que non tu n'es même pas capable de suivre mon doigt.

La période fini et les gars venues au vestiaire.

Martin: Alors?

Moi: Je ne le ferait pas jouer pour la deuxième si j'étais vous.

Je souffla désespéré comme donner mon point ne servait à rien avec elle. Elle se mit face au joueur.

Marie: C'était une bonne période même si on perd 2-0 ne baisser par les bras et continuer d'essayer de compter.

On l'a remercia et elle repartie s'assoir. J'allais devoir rester seul ici pendant que les autres vont joueur.

Suzuki: C'est bon ne t'inquiète pas tu vas revenir en troisième.

Moi: J'espère bien.

PDV Marie

Je me sentais mal pour lui. Il tient tellement à jouer, mais il doit apprendre que les blessures ça arrive plus souvent qu'on le pense.

Brendan: Retourne avec lui soutient le.

Oliver: N'y retourne pas c'est pas un bon gars.

Moi: Je dois prendre des notes.

Brendan: Passe moi ça je connais bien mon hockey.

Moi: Marqué tout se que tu vois de bien et de mal pour les deux équipes je te fais confiance.

Quand les gars sortirent de nouveau sur la glace je dis un mot à Martin du fait que je retournais avec Cole et y partie ensuite. Je le trouva déprimée sur le banc dans ses survêtements des canadiens. Je pris sa casquette qui était sur sa tête et lui enleva.

Caufield: Tu fais quoi là?

Moi: Je viens te voir parce que je me sens mal.

Caufield: Pas besoin.

Moi: Oui c'est nécessaire. Tu veux un massage?

Il hocha de la tête et je rigola légèrement. Il se mit dos à moi sur le banc et je me mit juste derrière lui et posa mes mains sur ses épaules bien battit. Je lui fis son massage pour le détendre un peu et qu'il arrête de penser à tout. Qu'il se concentre seulement sur moi pour au moins les prochaines minutes.

Caufield: Ça te tente pas devenir masseuse?

Moi: Je saurais masseuse rien que pour toi.

Il leva sa tête pour me regarder.

Caufield: Tu me crouse?

Moi: Pas du tout.

Il se tourna et me sauta presque dessus me faisant me coucher contre le banc. Nos visages étaient seulement à quelque millimètres l'un de l'autre. Je passait mon regard de ses lèvres à ses yeux. Ses joues était tout rouge sûrement comme les miennes.

Moi: Cole...

Il allait se rapprocher encore plus pour faire toucher nos lèvres, mais il finit par se relever et marcher dans tout le vestiaire.

Moi: Qu'est-ce que tu fais?

Caufield: Rien t'inquiète.

Il s'assit à mes côté en se prenant la tête entre les mains. Je le regardait faire avec incompréhension. S'il voulait m'embrasser il aurait pu le faire, mais il ne l'a pas fait. Je suis assez dessus je dois l'avouer même si je pourrais jamais l'avouer à haute voix.

Moi: Repose toi pour la troisième période.

Je tapota mes jambes pour qu'il se couche dessus. Il hésita un instant, mais fini par le faire. Je me mit à passer mes mains dans ses cheveux. Ils sont extrêmement doux. Je pourrais les touchée toute la journée. Il ferma les yeux et je souria. Il m'attrapa la main, qui n'était pas occupé, pour la serrer contre lui. Je m'accota contre le mur et ferma à mon tour les yeux en continuant mes mouvements dans ses cheveux. Il avait l'ère d'apprécier se faire jouer dans les cheveux. On resta comme ça jusqu'à la fin de la période et le cris des gars me firent sursauter.

Pitlick: On a remonter ça! Ta manquer quelque chose Mar...

Anderson: Vous êtes ensemble maintenant?

Je fis non de la tête en rigolant. Je passa mon pouce sur ses yeux pour le réveiller.

Caufield: Hmm encore 5 minutes.

Moi: Si tu veux jouer pour la troisième lève toi.

Il se releva rapidement et je replaça ses cheveux qui était un peu dans tout les sens.

Moi: Alors? Le pointage est de combien à combien?

Pitlick: 3-2 pour nous!

Moi: Je suis énormément fière de vous. Qui a compter?

Suzuki: Mike, Rem et Jeff.

Je lui fis un sourire et les félicita ensuite sans oublier le Allen qui a fait une excellente job.

Martin: Tu te sens prêt à revenir?

Caufield: Oui

Martin fit son travail de coach donc dire au gars se qui bien été et se qui a moins bien été.

Deux minutes avant qu'on reprenne je partie à côté de mon frère reprendre ma place.

Brendan: Alors vous vous êtes embrassé?

Moi: Non.

Il allait dire encore quelque chose, mais mon frère le fit se taire. Je m'accota sur son épaule en attendant que la troisième commence.

On ne sait pas revue depuis facilement 4 ans comme nos parents ne veulent plus rien savoir de lui comme il est partie vivre en Floride sans leurs consentement.

Les joueurs embarquèrent sur la glace et je l'es applaudit.

...

Vers la moitié de la période Cole avait l'ère sur les nerf d'être entrain de perdre 6-4. Je lui fis signe de respirer quand il me regarda. Il fit se que je lui dis et il se plaça pour la mise en jeu. Suzuki gagna la mise en jeu et Cole l'a prit et tira au but directement. Il compta.

Il leva les bras au ciel en souriant. Je rigola en les applaudissent.

Quand il resta une minute à la période, Martin enleva Allen pour rajouter Cole sur le jeu. Il empêcha la sortie de la rondelle et la passa à Evans. Ils firent le plus de beau jeux possible en le peu de temps possible et le lancer à Suzuki fini par rentrer à une seconde de la fin. Je cria en frappant contre la vitre.

Moi: Comme ça!

Il ne restait que la prolongation à gagné et j'allais aller en date avec Cole. Je sais pas si je dois me réjouir ou non. Pour ça je dois connaître mes sentiments à son égard. Quoi de mieux pour ça que aller en rendez-vous pour apprendre à se connaître.

...

On était rendu au tir de barrage. Ça allait être compliqué. Est-ce qu'on va gagné? Je l'espère bien. Suzuki fut le premier à s'élancer et la rondelle fut arrêté par le goaler. Huberdeau pour sa part compta. Se fut au tour à Hoffman ensuite. Il doit pas rater.

Il fit une feinte et elle rentra. Je lui fis un pouce en l'air. Giroux s'élança, mais ne compta pas pour mon plus grand soulagement. Cole fut le suivant. Bien évidemment elle rentra. Quand Allen fit un autre arrêt je me leva en souriant et partie attendre les gars pour les féliciter un à un. Martin m'ébouriffa les cheveux et je fis le premier chek à Petry. Envoyant Cole il s'arrêta laissant passer les autres.

Caufield: Oublie pas mon date.

Moi: T'inquiète.

Il souria et partie au vestiaire.

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