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Elle portait un pyjama d'internée comme on porte un tailleur, avec des talons carrés noirs. Je l'écholocalisais devant moi, sinon tache marron dans les couloirs marron de l'administratif vide. Guidée par ses pas pas si dissemblables à ceux d'une trotteuse.
La salle est petite verte.Un fauteuil noir. Elle m'y pousse. Active les boutons.
« Tu veux quoi ? Forêt ? Lac ? Après la pluie ?
-Après la pluie.
- Go. »

L'électricité s'accumule et ma caverne s'allume des reflets de Platon. Elle défait tous ses vêtements. Garde son strap. Mes genoux s'écartent comme ceux d'une grenouille électrifiée. Je la veux, dans moi, qu'elle me pénètre.
Le gland passe sur mes lèvres. Une capote est rompue,un peu de lubrifiant passé sur l'entrée. Je veux plus fort,m'ouvrir plus fort pour elle. J'agrippe l'arrière du fauteuil. Elle y passe deux cadenas pour et enserre mes mains, et un collier pour mon cou, serre. Langue pendante. Vulve offerte.

Elle passe sa langue tout le long de mes lèvres. Lubrifiée. Je n'en peux plus d'attendre. C'est trop bon d'impatience.
Un centimètre en moi.Comme jusqu'à ma gorge.
Elle se retire.
Vide, je, contractions vaginales pour la rattraper.
Elle glisse devant l'entrée encore.Me prépare. Je sais que je ne saurais pas. Ni quand. Ni ce que ça me fera.
Elle tire mon collier.
« Dis-moi ce que tu veux.
- Pénètre-moi.
- Demande-le.
- S'il te plaît,pénètre-moi.
- Gentiment cette fois.
- S'il te plaît, par pitié, pénètre - »
Tout à coup remplie jusqu'à la dernière once d'air.
Bloquée.
Mon vagin enfin verrouillé lui aussi.
Long et dur en moi.

Se retire un peu.

Le temps de presque reprendre mon souffle.

Encore un coup.

Gémis.

Encore.

Plus mon vagin sur toute sa longueur.

Ce sont des larmes de joie.

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