Mercredi 1er mars (St Aubin)

"Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues."

Première phrase de Germinal, Emile Zola, 1885.

*Alors je dois annoncer la nouvelle, hein : elle n'est pas morte, l'autre ; simplement elle aime bien en faire des caisses et des caisses, alors je m'excuse à sa place auprès de vous. C'est vrai qu'elle a morflé sur son BB, mais en même temps elle choisi la dissertation, le truc le plus casse gueule au monde... Enfin bref tout le monde s'en fout en fait. Voilà, sinon elle a mit la première phrase de l'incipit de Germinal, parce que elle adore les phrases de cents lignes avec plein d'adjectifs et qu'elle aime bien le bouquin en lui-même...

Moi je vais arrêter de parler à sa place et de vous soûler, bonne journée à vous et encore sorry pour le retard.

Mais pourquoi je m'excuse à sa place déjà ? Pff heureusement que je suis là...

Bon allez, tchô les gens !*

Germaine, la petite voix qui s'insinue dans la tête de l'auteure et qui adore l'embêter, la railler et vous faire sourire, à votre service.