Bonjour/Bonsoir sur mon profil se trouve déjà les fictions (entièrement postées, donc elles sont finies) Dear Niall et Dear Jersey qui sont respectivement les livres 1 et 2 de ma série "Dear". Et de cette série "Dear" j'ai eu l'idée d'en faire un spin-off qui serait l'histoire réelle de Niall et Jersey et grâce à une lectrice (Amboy05) j'ai fais ce spin-off que j'ai divisé sous deux tomes. Le premier est Something Great et sortira bientôt avec des chapitres entre 1000 et 1500 mots en généralité tandis que le second tome est en cours d'écriture (je suis au chapitre 16 les gars avec déjà presque 90 pages A4 Word en tout alors que le premier tome fait en entier fait 105 pages A4 Word), se nomme Something Good et contient des chapitres allant de 2000 à 4500 mots. J'espère que ça vous plaira, car je compte en faite avancer la sortie du premier tome et dont la sortie du deuxième arrivera directement. Est-ce que cela vous intéresserait ? Les lirez-vous ?
 
Puis, j'aimerais avoir votre avis sur quelque(s) passage(s) de ce second tome... Voulez-vous bien me dire ce que vous en pensez ? Voici l'/les extrait(s) :

1) Niall PDV :
"Nous sortons de l'hôtel par l'arrière, évitant ainsi les nuées de paparazzis qui se trouvent à l'avant et attendent patiemment après que les célébrités se trouvant à l'intérieur de l'hôtel daignent de pointer le bout de leur nez. Et je n'ai clairement pas envie de leur présenter Jersey de cette façon et je n'ai pas non plus envie qu'elle subisse le fardeau des flashs incessants et des rumeurs qui circulent de partout. Jusqu'à présent, j'ai réussis à l'en protéger jusqu'à maintenant et je vais bien évidemment essayer de le faire le plus longtemps possible car je ne tiens clairement pas à l'exposer à ce quasi mise à mort. Laisser le monde des médias vous submerger et prendre le dessus sur vous, c'est en revenir à une mise à mort. Enfin, quand on en connaît l'enjeu, on sait ce que c'est mais lorsqu'on n'y a jamais goûté, bien évidemment qu'on ne se doute pas que c'est aussi fourbe et dangereux. Et souvent, les gens l'ignorent tout simplement et c'est là que les chutes magistrales ont lieu.

Je la dirige jusqu'à la voiture, une Range Rover noire blindée avec des vitres teintées, et l'ouvre. Je m'occupe d'ouvrir ensuite le coffre pour y déposer sa valise. Elle ne bouge d'un poil, stoïque et gênée comme jamais probablement. Je me retourne vers elle après avoir fermé le coffre et lui souris. Elle essaye de me le rendre mais elle n'y arrive pas. J'ouvre mes bras et elle vient d'y blottir presque directement après. Je la serre contre moi et me rends compte que tout ceci est vraiment nouveau pour elle. Elle n'avait jamais quitté le sol irlandais, n'avait jamais prit l'avion, n'avait jamais connut le décalage horaire, n'avait jamais connu la notoriété et le risque de rumeurs et de paparazzis constamment autour de soi. Et elle commence seulement à en avoir conscience, aujourd'hui. Je dois lui laisser le temps de s'y faire.

-Tu veux que je te fasse faire le tour d'Houston ou tu es trop fatigué ? Lui demandais-je.

-Non, c'est bon, ça ira."

2) Jersey PDV :
" -Prends tout ton temps surtout. Les livres et l'estomac peuvent bien attendre après les problèmes de cœurs, me rassure-t-elle.

J'inspire un grand coup pour me lancer mais lorsque j'ouvre la bouche, aucun son n'en sort. C'est le silence complet. J'ai l'impression qu'une boule s'est crée dans ma trachée et empêche mes cordes vocales d'émettre un quelconque son. Je ne pensais pas que c'était aussi dur de se confier à quelqu'un de pas si connu que ça à nos yeux. Peut-être devrais-je apprendre un peu à la connaître un peu plus avant de me confier sur un terrain aussi glissant qu'est l'amour... Je ne sais pas du tout mais je ressens ce foutu besoin de m'exprimer mais mes cordes vocales refusent catégoriquement de se plier aux ordres de mon cerveau. Ou alors c'est mon cerveau qui refuse de donner les ordres adéquats à mes cordes vocales malgré les supplications de mon cœur. Je n'en sais foutrement rien et ça me fait chier des barres. Stacey attend toujours dans la même position avec ses mains sur ses genoux et me fixe dans les yeux. Je me sens d'un seul coup mal à l'aise et baisse la tête en rougissant."