XVIII

Le trou béant, aspirant tout.
Mais ce n'est pas du vide, parce qu'il aspire mes organes, et qu'il me cause une douleur indescriptible.
En boucle tournent dans ma tête des images ; des souvenirs, et des désirs.
Mon être ne dépend jamais de moi.
Je ne peux plus penser, mon esprit est envahi. Alors j'attends ; debout, assis, sur le ventre, sur le dos.
Les yeux ouverts, les yeux fermés.
En silence, le silence.

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