05 - rencontre
« Le plus mauvais jour de ma vie, c'est transformé en le plus beau, juste à ta vue, juste en croisant ton regard.
-Irène. »
Irène est devant sa porte, elle attend depuis quelques minutes devant, elle ne veut pas tentée de l'ouvrir. Elle finit par le faire, pour évitée d'avoir l'air stupide devant une porte. Elle s'avance dans la maison, elle n'entend aucun bruit. Elle court alors jusque dans sa chambre, elle fouille dans tous ses vêtements après une mini robe pour la soirée de se soir, elle va accompagnée de sa meilleure amie. Elle cherche, et finie par trouvée une parfaite pour se soir. Elle prend des talons et sort de chez elle, comme de rien n'était. Elle part chez sa meilleure amie, il y a des jours comme ceux-ci où, elle ne croise pas ses parents, ce qui l'arrange au plus haut point pour des expéditions de ce genre. Son plan marche à merveille jusqu'à maintenant.
Elle arrive pas longtemps après chez sa meilleure amie, elle était tellement pressée, qu'elle n'a jamais courue aussi vite de sa vie. Les circonstances et les situations changent les personnes. Elle entre chez sa meilleure amie et elles se préparent toutes les deux, se donnant des conseils pour amélioré le tout. Irène porte une robe noire, courte, avec de la dentelle sur le ventre et les épaules, une protection recouvre la poitrine pour ne pas qu'on puisse voir, c'est un peu comme un soutien-gorge sans manche. Elle a, aux pieds, des talons aiguilles 10 centimètres noire. Elle a vernie ses ongles de vernis rouge, pour une touche de glamour, ne pas être trop dans le noir comme si elle allait à un enterrement, elle a les cheveux bouclés, les lèvres recouvertes d'un brillant à lèvres, du mascara. Elle n'a pas voulue mettre de crayon ou d'eye-liner. Elle tient à ne pas trop ressemblé à une fille qui fait les trottoirs. Ensuite, l'heure de la soirée est là. Elles montent dans la voiture de la meilleure amie, qui est plus âgée qu'Irène. Elles arrivent quelques minutes plus tard à la soirée. Elle bat déjà son plein, il est 23h30. Irène a envie de faire des folies ce soir, elle fera aussi des erreurs au passage.
***
Harry part pour une soirée, il sait qu'il y en a une pas loin de chez lui. Il y fait son entré, complètement débraillé, il attire déjà plusieurs filles qui sont bien sûr déjà bourrées. Aujourd'hui, il n'est pas d'humeur et d'envie à se réveillé le lendemain dans le lit d'une autre fille, avec cette fille en question. Il ne veut pas de désagrément ou de boulet en trop pour la soirée. Il est déjà sûr, qu'il serait tellement saoul qu'il va comme même finir avec une fille. Jamais une fille ne sait retrouvée chez lui, il est trop méfiant, même bourré. Jamais personne n'est venu chez lui. Il ne laissera jamais personne allé chez lui, il s'en ait fait la promesse depuis que sa mère est malade. Il part au bar et demande déjà de l'alcool fort. Il veut en finir au plus vite avec ses souvenirs, tout ce dont il se rappelle. Depuis qu'il a vu sa mère mourir sous ses yeux, en lui tenant la main, les souvenirs depuis qu'il a commencé à avoir de la mémoire, lui assaille la tête à coup de pioche. Il est martyrisé par sa tête et ses souvenirs, c'est dans ces moments là, qu'il haït sa grande mémoire. Il enchaîne les verres, plus rien ne peut l'arrêté, il est devenu adique au goût de cette boisson. Il ne s'arrêtera que pour allé sur la piste de danse et se déchaîné dessus. Il est intraitable, plus rien ne plus le retenir. Plus rien ne peut le changer, il est saoul et déjà sa prochaine proie dans le viseur.
Son côté dragueur ressort. Il sort son plus beau sourire aguicheur, son regard le plus charmant, il s'avance vers elle doucement pour ne pas la brusquée. Elle est seule, elle est inoffensive, presque inaccessible, c'est ce qui l'a immédiatement attiré vers cette âme de béton emprisonnant un cœur de velours. Il est derrière elle, les mains sur ses hanches, son souffle dans le cou de la jeune fille, plus petite que lui-même avec des talons, les cheveux chatouillant son nez, il ferme les yeux pour savourer ce moment. Il l'attire plus proche de lui, il aime la sensation que procurent leur deux corps accolés ensemble. Ce n'est pas une illusion ou un effet de l'alcool, c'est bien réel.
***
Irène dansait sur la piste quand un jeune homme, la prit par derrière, lui soufflant dans le cou des petits frissons du à la respiration du jeune homme. Les mains sur les hanches. Il l'attire vers elle, elle n'a pas l'habitude de ce genre de contact, elle ne sait pas vraiment comme réagir. Elle se laisse faire, ressentait des millions de frissons de partout dans le corps, provenant de son échine. Elle préfère se dire que c'est du à l'alcool ingurgité qu'au peu de distance qui la sépare du jeune homme. Elle ne s'est pas faite priée pour en prendre en grande dose. Elle sent déjà sa tête tournée, et la cuite arrivée. Elle sent que dans pas très longtemps, elle va devoir courir aux toilettes. Elle se retourne, il l'attire encore plus, les collants presque tout entiers. Elle trouve que c'est une approche assez primitive et furtive, très rapide. Elle se laisse tout de même faire, se sentant magnifiquement bien là.
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Harry dégage ces cheveux, pour aller mordiller son coup. Un petit suçon ne fait pas de mal. Harry au fil des années, est devenu un professionnel dans les suçons. Il mordille son cou, lentement, pour donné du plaisir. Il ne se prive pas de baladé ses mains avec douceur sur le corps de la jeune fille. Il est prit dans son jeu, il se lance les bras coupés dans cette pulsion que cette fille engendre en lui. Il se laisse avoir. Il savoure le suçon qu'il lui fait. Il aspire son sang, tire légèrement sur sa peau, il se délecte de ce paradis que lui procure ce suçon. Il se fait presque plaisir à lui-même. Ce qu'il aime c'est que cette fille se laisse faire, mais participe aussi amplement à l'attraction. Complètement bourré, il ne voit ce que les événements vont causés beaucoup de tords aussi. Il ne laisse pas une seconde de répits à son cou, il continue avec plus d'acharnement sur le suçon, plus de force, de violence, de robustesse et de désir dedans. Il est entrain de faire un magnifique suçon sur le coup d'Irène.
Il continu, baladant de plus en plus ces mains sur des parties plus formées. Les mains de ses hanches, vont jusqu'à ses fesses. Les caressant soigneusement pour bien en sentir la forme. Il pince la droite, la jeune fille émit un petit cri de surprise, qui fait décocher à Harry, un sourire de satisfaction. Il est victorieux d'avoir cette fille dans ses bras, à sa merci. Il peut tout faire avec elle, aller jusqu'où il veut, subvenir à ses besoins, sans qu'elle ne ronchonne ou déguerpisse de peur. Il sent qu'elle ne va dire non, elle aussi enviée par le désir. Les entrailles d'Harry crie famine, il a envie de cette fille, il veut faire des choses avec elle, son corps comme sa tête la désire. Il l'a dans ses bras, même saoul, il ne va pas la laissée partir. Ses mains sur ses fesses, il continu d'arboré un magnifique sourire, dévoilant de belles fossettes quand la fille émet un petit cri de surprise. Il la sent, déjà dans son lit, ou il partirait bien dans celui de la jeune fille. Il est complètement saoul, mais à encore une partie de sa tête en main. Il se détache d'elle, arbore un sourire aguicheur sur les lèvres, elle succombe, il le voit. Il part cherché à boire, laissant la jeune fille avec sa tête.
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Elle pose sa main, sur son suçon, un peu surprise de sa grandeur, hauteur et surtout des picotements que le toucher de sa main produit dessus. Elle le voit revenir avec des verres à la main. Il lui tend le verre, qu'elle boit d'une traite. La saveur de ce liquide dans sa bouche la fait frémir. Il la reprend dans ses bras, dans la surprise, elle fait les gros yeux. Il rigole, en entendant son rire, elle se mord la lèvre inférieure. Il sourit, ce qui la fait fondre devant ses fossettes qu'elle n'avait pas encore vue, se dentition parfaite et d'une blancheur, la fait rêvassée. Ils sont à découverts, mais en même temps cachés au milieu de la foule. L'espace commence à se réduire, ils ont besoin de plus d'espace, ne se faisant pas priés, l'un et l'autre s'attire vers les toilettes de la boîte. Malheureusement pour Irène, qui n'est pas habituée à l'alcool, régurgite le tout dans la toilette, arrivée à temps. Harry derrière elle, qui ne se rende compte de rien. Il est habitué à l'alcool, il n'a pas encore but assez que pour ne plus savoir marché. Elle se relève, la tête dans les fesses, le regard perdu dans l'horizon, elle se sent dévalée par terre, ses jambes se perdre dans l'inconnu. Elle se retient à Harry, qui commence seulement à comprendre que c'est sa première cuite, qu'elle n'est pas une habituée, que c'est sûrement la première soirée à laquelle elle va.
***
Complètement bourré de son côté, Harry la retient, il sait encore tenir debout, il la porte en princesse et profite de l'instant pour baladé ses mains vers ses fesses, remonté un peu le bas de sa robe. Il relooke bien son décolleté, elle est trop bourrée que pour ne pas s'en rendre compte. Il la ramène chez lui, complètement inconscient de ce qu'il est entrain de faire. Arrivé chez lui, il ouvre la porte, la laisse entrée, entre à son tour, referme la porte et commence la tentation, ils se cherchent. Seuls chez lui, ils ne se rendent pas compte, en rien, de ce qui se trame derrière eux, dans leurs dos. Il la poursuit, sans talons, elle court plus vite. Il la rattrape devant le canapé et le fait valsé dessus. Il s'installe sur elle, à califourchon pour la retenir. Elle rigole, elle ne se rend compte plus de rien, elle est saoule jusqu'au bout. Il est étonné du son que son rire produit, un frisson venant du plus profond de lui, surgit tel un lion sur une proie. Le désir, tant convoité par les plus grands, n'est rien, comparé à celui qui plane au dessus d'eux, et l'envie qui baigne dans chacun d'eux. Leurs sourires et leurs regards ne se trahissent pas, ils s'assemblent. Harry ne se souvient même plus que sa mère est dans un lit, morte, la pièce en miette. Il apporte toute l'affection qu'il peut, même avec la tête perdue dans l'alcool, à cette jeune inconnue. Il n'a plus personne à qui le donné, alors il l'apporte à cette jeune fille, au sourire d'or.
Il retourne sur le suçon qu'il lui a fait, caressant ces hanches avec tendresse. Il joue dans ses cheveux, elle de son côté, place ces mains sur le bassin de Harry, le caressant légèrement, lui procurant un intense plaisir refoulé. Il relève sa robe doucement, il se sépare du cou de la jeune fille pour s'emparé de ses lèvres. Un baiser doux, passionné, comme jamais, aucun deux n'avait eu le droit d'avoir. L'amour a ses contradictions. Très rapidement, le baiser devient plus fougueux, plus intense, plus sollicité, plus attendu, plus désiré, plus passionné, plus marquant, plus attirant, plus attendrissant. Les langues qui se cherchaient avant, à présent, jouent ensembles. Ils s'embrassent comme des lions, aucune retenue, ils se laissent allés. Il se relève, l'amenant avec lui. Ses mains dans le bas de dos, débordant vers le haut des fesses, au niveau du coccyx. Elle mordille la lèvre du jeune garçon. Il se détache d'elle, un peu à contrecœur. Il part du canapé et marche jusqu'à sa chambre.
Il l'invite, comme à le suivre, ce qu'elle fait sans problème. Elle fait à peine son entrée dans la chambre, qu'Harry la plaque au mur. Les fossettes de la jeune fille ressortent à ce moment-là faisait vibré Harry d'un renouement lointain. Il soulève le bas de la robe d'Irène. Son t-shirt est soulevé par celle-ci qui le pousse jusqu'au lit aussi. Il atterrit sur le lit, avec elle au dessus de lui. Les rôles s'échangent vite puisqu'il la pousse sur le côté et se met au dessus d'elle. Il retire la robe de la jeune fille d'un mouvement souple et expert, la tirette s'ouvre et la robe se retire, la jeune fille en sous-vêtements devant un Harry désireux de retiré beaucoup plus maintenant. Il n'a pas le temps de désiré plus que son t-shirt est presque arraché de lui. Il soulève les bras et son t-shirt valse alors à l'autre bout de la chambre. Son pantalon descend dès que la braguette est elle aussi descendue. Il retire par lui-même le reste de son pantalon, qui était arrivé à ses genoux.
Un baiser enflammé commence, les faisant tournoyés dans le lit, une fois c'est Harry au dessus et puis l'autre fois c'est Irène. Leurs corps accolés, donnent l'impression qu'ils ne seront plus jamais se décollés. Harry finit le baiser par manque de souffle, en dessous de la jeune fille. Il sent ses mains se baladées sur son torse, dessinant les lignes de ses abdominaux magnifiquement bien formés. Un petit cri qui était resté coincé dans sa gorge jusqu'à présent. Les mains d'Irène sur l'élastique du boxer d'Harry, commence à jouée avec. Il ne se sent plus maintenant, c'est son péché mignon, son point faible. Il fixe, pour se concentré sur autre chose, sur la poitrine presque dévoilée entièrement d'Irène. Il ne résiste pas longtemps à la sensation qu'Irène produit en lui en jouant avec l'élastique de son boxer. Il sent l'excitation qui se forme dans ses entrailles, comme un bourgeon. Un liquide sort de lui, gêné, ses joues rougissent, il entend une nouvelle fois, le rire digne d'une princesse d'Irène. Il part dans sa salle de bain, avant prend un caleçon propre.
Il se lave, ce n'est pas naturel chez lui. Il sort de la salle de bain, il la retrouvé allongée dans son lit, sous les couvertures, les yeux fermés. Il entre dans le lit, soulève la couverture doucement et s'en recouvre. Il fait doucement pour ne pas la réveillée et pouvoir la contemplée dans son sommeil, parce qu'il la trouve magnifique, mais c'est peine perdue pour lui, parce qu'elle ne dormait pas. Il se met sur son dos, et l'invite à posée sa tête sur son torse, elle obéit sans refusée, elle en avait envie. Il entoure les épaules de la jeune fille avec son bras gauche, et caresse ses cheveux, en remettant d'abord une mèche derrière son oreille, avec sa main droite. Il sent le dos de la main droite et la paume de la main gauche d'Irène se posés sur son torse, un souffle venant de la part de la jeune fille passe sur le torse d'Harry, emmêlant les pinceaux dans son esprit, qu'il essayait de remettre à l'endroit. Il se rend compte qu'elle lui fait de l'effet, sans rien pouvoir caché de ses émotions. Si il veut la gardé, il va devoir s'ouvrir.
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Chapitre qui arrive (même sans les commentaires sur le précédant) pour l'anniversaire de @NatachaMalik ce 8 mai. Aussi parce que celui-ci de @DestroyedBoy est le 10. Voilà, bonne lecture :)
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