« Viennent la nuit, sonne l'heure».

Guillaume Apollinaire.

Cela fait maintenant trois jours qu'on a raconté ce qui c'était passé dans les bois au père de benjamin, il nous a demandé de décrire l'homme qui ce cachait derrière l'arbre alors mon ami et moi avons fait une bref description qui n'a servi à rien.
Durant c'est trois jours le tueur avait encore frappé, cette fois-ci la victime était un homme de soixante deux ans poignardé chez lui à plusieurs coud de tourne-vice dans l'abdomen.
Le pauvre homme avait été retrouver chez lui noyé dans une marre de sang par sa femme de ménage .

Quelques part dans la ville le tueur marchait en toute liberté, il attendait le bon moment pour frappé.

- Je suis de retour maman. Fis je en entrent dans le salon.
Je balança mon sac près du canapé et alla rejoindre ma mère dans la cuisine.
- Tu as besoin d'aide ?
- Non, enfin oui passe moi le sel ma puce.
Je pris le sel et lui donna.
- sa sent divinement bon maman qu'est-ce que sais?
- Des cotte de bœuf avec des légumes.
- Miam j'ai hâte d'en manger. Dis je en aspirant l'odeur qui s'échappe de la marmite.

Une fois le diné terminer je monta dans ma chambre pris une bonne douche et alla me coucher.

Dans les environ d'une heure du matin une envie pressante d'aller au toilette me réveilla.
Je referma la porte des toilettes puis pris les escaliers pour retourner me coucher dans ma chambre, mais au moment de refermer la porte de ma chambre je fis interpellé par un bruit bizarre.
Un bruit de serrure, quelqu'un essaye de détruire la serrure d'une porte.
Je me rapprocha de plus près du bruit et vis une ombre à l'extérieur près de la fenêtre du salon cette personne essaye d'ouvrir la porte d'entrée.
Je resta quelques secondes immobile comme un pique avant de crier haut et fort.
- Au tueur, le tueur est chez moi venez vite. Je crie et continue à crier jusqu'à ce que tout le voisinage ce réveille alertés par mes cries.
Je vis l'ombre sauté la clôture puis disparaître, ma mère vient me rejoindre complètement paniquer les voisins sorte tous de chez eux.
Plus personne n'osait retourner dormir après ce qui vener de ce passé, ma mère appela la police pour qu'ils vienne inspecter les lieux.
La personne avait peut être laisser un indice !

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