PDV : Tartaglia 

Scaramouche : Ajax !

Asu : Childe!

Je restais paralysé. Le dernier homme venait de me transpercer l'autre côté du ventre. La douleur était tellement forte que je ne pouvais rien faire. Pas même crier. Asu donna un coup de poing à l'homme, qui vola quelques mètres plus loin. Scaramouche parti s'en occuper, alors qu'Asu se rua sur moi

Asu : Je t'emmène à l'hôpital ! Fatuis ! Aidez Scaramouche !

Fatuis : Oui cheffe !

Tous les Fatuis restant attaquèrent, pendant qu'Asu essayait de me porter.

Asu : La vache, t'es lourd, j'arriverais jamais à te porter....

Tartaglia : C'est rien, j'arriverais a rentrer chez moi...

Asu : Non mais ça va pas ?! Il faut t'emmener tout de suite à l'hôpital !

Tartaglia : Ça ira simplement si on va au Cottage Bubu...

Asu : Tu te fous de moi... Bon, viens, on va au moins à Liyue.

Asu m'aidait a marcher jusqu'à Liyue. On ne disais rien. Et puis, je ne pouvais pas vraiment parler... Tous les 10 mètres on faisait une pause, je cachais du sang, et on repartais. Quand on arrivais, le peu de gens qu'il y avait dans les rues nous fuiaient du regard, et partait d'un autre côté. Personne venait nous chercher. Asu commença a fatiguer. Il faut dire qu'elle aussi était blessée. Elle s'assit alors par terre, et gémit

Asu : Aidez... Nous...

J'allais perdre conscience, quand je vis quelqu'un marcher vers nous. Je n'avais pas la force de lever la tête, mais je cru reconnaître les chaussures de Zhongli...

PDV : Zhongli

Quelle belle ville de nuit... Il n'y a pas à dire, les humains ont quand même bon goût...

??? : Aidez... Nous...

Je tourna la tête et vis Childe, ensanglanté, dans les bras d'une femme en mauvais état. Je m'approcha et m'a baissa à hauteur des deux Fatuis

Zhongli : Childe...

Je me leva, allant chercher de l'aide, mais quelqu'un me prit le bas du pantalon. Je me tourna et vit la fille, qui levait la tête vers moi

Asu : Je vous en prie, sauvez Childe... Ma vie ne compte pas, prenez le...

Zhongli : Je vais chercher de l'aide, rassures toi

??? : Non... Emmenez le... Tout de suite...

Je me tournait vers cette femme désespérée

Zhongli : Croyez moi, je respecte mes promesses. Je vais chercher de l'aide, je reviens.

La jeune femme hocha mollement la tête avant de s'évanouir. Il faut que j'aille chercher de l'aide avant qu'ils ne soient en état critique... Si ce n'est pas déjà le cas. Je marcha assez vite jusqu'à cottage Bubu. Il faut au moins que Baizhu leur donne les premiers soins

Qiqi : Sieur... Zhongli...

Zhongli : Ah, Qiqi. Baizhu est ici ?

Qiqi : Vous avez une ordonnance ?

Zhongli : Non, mais j'ai besoin de voir Sieur Baizhu

Qiqi : Si vous n'avez pas d'ordonnance, je ne peux rien faire pour vous Sieur Zhongli...
Je me massa le front. J'y arriverais jamais...

Baizhu : Qiqi, il y a quelqu'un ?

L'homme sorti de l'arrière boutique et sourit en me voyant

Baizhu : Oh, sieur Zhongli ! Comment allez vous ?

Zhongli : Moi, bien, mais il y a deux jeunes personnes blessées en plein milieu de la ville, j'ai peur qu'elles soient en état critique

Baizhu : Oh. Qiqi, vient avec moi. Vous voulez bien m'y emmener ?

Zhongli : Tout de suite

Je les emmena la ou Childe et la jeune femme s'était évanoui. Baizhu les examina, et prit un air sérieux. Bien trop sérieux à mon goût.

Baizhu : En effet, ils sont en mauvais état... Qiqi, veux tu bien aller demander des renforts ? Il faut que je les déplace sans les blesser....

Il reprit son examen. Mon cœur battait plus vite que la normale, et mes yeux rivés sur Childe. Son corps inanimé me faisaient peur, et la phrase d'Hu Tao me revins en tête "Tu devrais songer à te dévoiler avant qu'il ne soit trop tard". Est ce le trop tard dont elle parlait ? Est ce que j'assiste a la fin de Childe et cette fille mystérieuse ? D'ailleurs, qui est-elle ? Je ne l'avais jamais vue avant. Qu'est ce qu'elle faisait avec Childe en pleine nuit ? Quand je réussi à sortir de mes idées sombres, des gardes portaient Childe et la jeune femme vers l'hôpital. Je les suivis, et Baizhu me regarda.

Baizhu : Tout va bien ?

Zhongli : Je suis très inquiet pour Childe...

Baizhu : Il va être prit en charge et soigné, ne vous en faites pas...

Zhongli : Oh, il faut que je prévienne Ping Yun

Baizhu : Qui ?

Zhongli : Demoiselle Yun, la petite amie de Childe

Baizhu : Oh il a une petite amie ?

Zhongli : Oui

Baizhu : Désolé, j'ai cru que...c'était vous qui étiez avec Childe

Zhongli : Euh je... Non...

Baizhu : Mais vous aimeriez bien, je me trompe ?

Zhongli : Vous avez raison... Mais que voulez vous, je ne peux rien y faire...

Baizhu : Bien sûr que si. Vous pouvez prendre soin de lui. Il finira par voir que vous tenez à lui

Zhongli : Si vous le dites...

Baizhu me sourit et parti parler avec les gardes et les médecins. Je regardais le corps de Childe. Voir tout le sang sur son corps ne me rassurait guère. Etais-ce son sang, celui de sa camarade, ou... Celui de ses ennemis ? Et cette fille...Elle connaît bien Childe, c'est sûr. Elle semblait moins blessée, mais tout aussi fatiguée. Les médecins m'emmenèrent dans une salle d'attente, et j'attendis des nouvelles des blessés

PDV : Baizhu

Je sortis de la chambre de la demoiselle pour aller voir le compte rendu sur "Childe". Les médecins s'agitaient.

Baizhu : Dans quel état est-il ?

Médecin : Il est dans un état critique. Il est gravement blessé à l'abdomen, deux fois, il souffre d'un épuisement corporel très élevé.

Baizhu : Il va s'en sortir ?

Médecin : Normalement oui. Il fait juste qu'on l'opère du ventre, et qu'on lui ajoute des compléments vitamines.

Baizhu : Mmh, je vois. Je vais en informer Sieur Zhongli

Je sorti de la chambre, et vit que Zhongli était somnolent. Il se battait contre le sommeil. Je m'approche de lui, et il releva soudainement la tête, les yeux orange scintillant. Je pris peur et recula d'un pas. J'ai cru qu'il allait me tuer. Puis son regard redeviens normal et il essaya de me sourire.

Zhongli : Sieur Baizhu...Comment vont-ils ?

Baizhu : Le jeune fille s'en sort très bien, mais...

Zhongli : Mais ?

Baizhu : Tartaglia est en état critique... Il vont l'opérer a l'abdomen. Les médecins m'ont également dit qu'il souffrait d'un épuisement corporel grave.

Zhongli : Il va s'en sortir, rassurez moi...?

Baizhu : J'espère

Ma réponse ne rassura pas du tout le consultant du Funérarium, qui prit sa tête entre ses mains. Je posa ma main sur son épaule

Baizhu : Vous devriez vous reposer, vous êtes épuisé...

Zhongli : Je ne pourrais pas dormir avant de savoir si Childe va s'en sortir...

Je soupira. Il n'écoutera rien tant que Childe ne sera pas tiré d'affaire...

Baizhu : Et si je vous le promet ?

Zhongli releva la tête

Zhongli : Je prend les promesses très au sérieux

Baizhu : Je n'en doute pas. Dormez, Sieur Zhongli, cela vous fera du bien.

Zhongli fini par se calmer et par s'endormir. Je souris et retourna dans la chambre du jeune roux. Les médecins l'opéraient déjà, mais ne semblaient pas convaincu. Je crois que J'ai fait une promesse que je ne pourrais certainement pas tenir... Désolé Morax.