Conséquences des téléportations imaginaires
État du rêve: Cauchemard
J'était dans une maison style américain, je me situais dans le salon, dizarrement je m'étais transformé en homme et j'avais un flingue; dehors il y avais des lampadaires allumés; je pouvais marcher à travers la pièces.
Je leva un coussin et soudain une créature me sauta dessus puis je me défendis avec mon bras droit, la créature commença à sucer mon sang et avec mon arme je lui tira dessus.
Tout à coup, deux autres sont sortirent de nul part, comme un éclair je me débarrassa d'eux comme le premier.
Je me dirigea ensuite à l'entrée, dehors il y avais une soucoupe volante devant la maison; les lumières grésillèrent puis s'éteignèrent.
Je resta ainsi dans le noir.
Ensuite, il démarra un autre cauchemard.
Cette fois ci je pouvais voir des petits rayons lumineux qui traversaient la lucarne de la pièces poussiéreuse, se qui me fit déduire que je me trouvais dans un grenier. J'étais devenue une jeune fille habillée d'une robe blanche à légers froufrous sur les bords des manches et en bas de la robe.
(À peu près comme ça)
Je possédais aussi un chapeau blanc avec un ruban rose et une plume de la même couleur.
Je regardais un moment autour de moi; des cartons, des armoires, quelques lampes en abajour, des petits meubles et remarqua une trappe !
Je descendus du grenier par une échelle, puis atteris dans un sombre couloir avec plein de portes et une cage d'escaliers plus loin.
Je supposait donc que je me trouvais dans un manoir ou dans un luxueux hôtel abandonné depuis deux ou trois jours.
J'avais l'impression que les murs étaient en velours rouge et le sol en marbre beige, les portes en bois sombre.
Je décendis tout les étages pour sortir de cet endroit au plus vite; les escaliers s'arrêtèrent au 2ème étage, donc à contre-coeur je du le visiter.
Il y avait un spacieux salon avec une grande cheminée dont l'âtre était éteint.
Il y avais aussi une grande table à manger; j'ouvrais la seule porte de la pièce et je me trouva dans une petite cuisine dont la vaisselle n'a pas été faite, à mon grand étonnement, il y avais un frigo vieillot, en l'ouvant je constatais qu'il n'y avais rien à l'intérieur.
Je m'assis un petit moment sur une chaise de la minuscule table de la cuisine.
Dans un coin de cette cuisine il y avait une petite porte menant probablement à la cave à vins.
Il y sortait une aura glaçante, jusqu'à ce qu'un(e) faucheur(se) blanc(he) avec une faux rouge se montrais depuis la cave.
Je me suis dit qu'il faudrait que je quitte cette pièce avant qu'il \elle m'attrappe.
En sortant, je calais la porte de la cuisine avec une chaise pour ralentir l'individu.
Je fouillais partout à la recherche d'une sortie, j'en trouva un en levant un morceaux de parquet qui dépassait, il y avais environ 5 mètres de profondeur dans la trappe, je sauta et atterris sur de la moquette, je pu amortir la chute avec un peu de difficulté.
Je me releva, titubant, essayant tant bien que mal de courir pour essayer d'atteindre la sortie.
Puis je ralentissais, apercevant dans gens qui circulaient dans la gigantesque anti-chambre.
Il y avait un gars avec un sabre (non pas un sabre laser !) qui me suivait dans la foule.
Paniquée, j'entra dans une autre pièce en bloquant la porte avec mon dos, il n'arrêtait pas de cogner.
Et je résistais comme je pu; pendant ce temps, j'étais entrée dans une minuscule chambre où se trouvait une vielle femme très très maigre, la peau sur les os, agonisant, probablement mourante, elle était allongée sur un matelas sale par terre, il y avais des mouches et de bouteilles de bières un peu partout.
La pauvre femme ouvra les yeux, se redressa sur le matelas puis me tendait des feuilles à carreaux où il y avait des dessins d'enfant, je les pris puis elle m'indiqua la porte du coup je jeta les feuilles à l'homme en ouvrant légèrement la porte, peu après il cessa le tapage.
Il entra plutôt en trombe dans la chambre avec un coup d'épaule sans le sabre.
Il se mit à se disputer avec la dame, pendant ce temps je m'échappais de la chambre et me dirigea vers la sortie du manoir à travers la foule.
Croyant y avoir fini, j'entrais dans un sorte de centre commercial thaïlandais avec tout les commerces au centre du hangar.
En reculant lentement, je le butait à un mur; "Un nouveau rêve" me dis-je.
J'avais toujours ma robe et mon chapeau blanc; entourée par ma famille apparus tout d'un coup, on marchait à travers des stand de fritures, légumes, fruits, poissons...
Dans un angle des commerces, il y avait un grand stand de poissonnerie, le gérant et sa femme avaient une tête à faire peur.
Ils ne faisait rien, ils nous fixaient; leurs produits étaient bien présentés devant eux.
On continua notre chemin jusqu'à ce qu'on entre dans un sorte de restaurant japonais en mauvaise mine hors du centre des commerces, il faisait encore plus sombre, il y avait un buffet à vapeur et des bancs.
Ma famille et moi entrâmes dans le restaurant; le poissonnier que j'avais vu ce trouvait derrière le buffet et dès qu'il m'a vu il a fait un horrible rictus souriant hostile.
Je jeta rapidement un coup d'œil, voir ce qu'ils servaient sur la table; je fus horrifiée de voir des plats que personne aurait imaginé servir dans un restaurant : des petits cerveaux cuit à la vapeur, des yeux dans punch rouge, des vers de bois aux petits oignons...
Je compris aussitôt que je serai là prochaine victime si je restais une seconde de plus !
Je ramassa les pans de ma robe pour mieux courir et me dirigea vers la sortie.
Soudain, la porte commençait à se fermer partant depuis le haut et des homme me poursuivaient; je me glissa juste à temps sous la porte (façon Indiana Jones) et se referma derrière moi, blocant par la même occasion mes assaillants de l'autre côté.
Je m'adossais au mur à côté de la porte, m'asseyant et m'endormis.
RÉVEIL.
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