CHAPITRE 11: CHOISI MOI
Cet homme la rendait un peu plus folle à chaque rencontre, remarqua Valentina en arrivant dans l'appartement. Balançant son sac d'avant en arrière, elle renifla l'atmosphère et sourit en voyant sa mère s'activer en cuisine aux côtés d'Annie.
- Besoin d'un coup de main maman ?
- Oui s'il-te-plaît ma chérie, pourrais-tu t'occuper des pattes ?
- Oui chef, répondit-elle après les avoir embrasser à tour de rôle.
- Comment était ce premier jour de travail ? Demanda Grace, en remuant le contenu d'une cocotte.
Annie étant absorbée par la découpe d'une feuille de laitue et les écoutait d'une oreille distraite. En cuisine, elle faisait ces premiers pas.
- Particulier, répondit-elle en se tournant vers elle. Je me suis ennuyée et avec Kris Wilson, nous avons donnés une interview.
La suite de la soirée se poursuivit dans la bonne humeur. Le trio de fille dîna en buvant du vin blanc avec une délicieuse music d'opéra en fond. Annie observait Valentina avec son fameux regard qui signifiait : je sais qu'il s'est passé quelque chose mais tu as de la chance nous sommes à table.
Pas la peine de la harceler Annie, elle est prête à cracher le morceau de son propre chef, annonça le cerveau de Val, joueur.
Lorsqu'on sonna à la porte, Annie se proposa pour aller ouvrir. Elle réapparut avec un bouquet de rose blanche agrémenté d'une carte. Décidemment son prince dévalisera tout les jardins de rose pour ces beaux yeux, pensa Valentina, en lui souriant gentiment. Elle était tellement heureuse pour son amie.
- Elles sont pour toi Valentina, gloussa Annie, en remarquant les yeux écarquillés de Grace.
Intriguée, Valentina récupèra le bouquet. Elle approcha les roses de son visage et en respira le doux parfum. Ouvrant la petite enveloppe grise, elle en retira la carte et lut ceci :
" Les jours sont beaux, mais votre sourire les rends davantage beaux. Félicitation pour la passation. Je crois en vous et j'aime ces choses qu'on ne trouvent rien qu'en vous regardant dans les yeux. A très vite mon audacieuse et au plaisir de pouvoir poursuivre notre danse. Kris Wilson."
Heureuse, Valentina rougit en réfléchissant. Était-ce le début d'un nouveau conte de fée ? Sa mère qu'elle n'avait pas vu quitté la table, revint avec un vase dans lequel elle disposa les fleurs après l'avoir remercier. A la suite de cela, elle rejoignit sa chambre pour éviter les questions qui se reflétaient dans les prunelles de sa mère.
- Tu me fais un peu de place ? Demanda Annie, en se rapprochant.
- Bien-sûr.
S'installant à ces côtés, Annie deposa le bol de chocolat et de fraises qu'elle avait apporté au centre.
- Dit moi d'abord ce que ma mère a pensé de la dizaine de rose que tu as reçu.
- Stupéfaite, nostalgique et rêveuse. Elle m'a posé tout un tas de questions sur Christopher. Elle aimerait le rencontrer.
- Et tu penses le lui présenter ? Questionna Valentina, en enrobant une fraise de chocolat avant d'y croquer.
- Je crois que oui. Tu sais que je considère ta mère comme la mienne et ses avis comptent beaucoup pour moi. Assez parler de moi. Raconte moi, ce premier jour de travail explosif.
Les joues rouges, Valentina lui raconta tout. Des baisers, des caresses et de l'urgent besoin de ne faire qu'un qui a été contré par le maudit téléphone.
☆☆☆
Une semaine plus tard...
Nous étions vendredi et extraordinairement Cleg était venu préparé Valentina. Enroulée dans sa robe portefeuille et du haut de ses talons, la jeune femme se sentait indétrônable. Cela lui tardait de se retrouver seule avec Kris mais avant cela, il fallait qu'elle assiste à une réunion. La salle se remplit peu à peu et Kris arriva entouré de personnes que Valentina ne connaissait pas. Toujours aussi séduisant, il la repéra bien vite et elle lui rendit son sourire.
- Je vous remercie d'avoir pu vous joindre à cette réunion. Comme vous le savez tous moi et mademoiselle Valentina Reed ici présente avons succédés à nos parents, il y a de cela une semaine. Gérer W.I.N.I et G.A.C n'étant pas une mince affaire, je me suis retrouvé dans l'obligation de rallier les deux sociétés. Je reviendrai sur cette partie plus tard. Du côté de Valentina qui vient à peine d'obtenir sa graduation, comment serait-elle en mesure d'assurer la relève dans un secteur qui lui est complètement inconnu et étranger ? C'est dans cette optique que j'ai pensé à l'ouverture du secteur mode...
Après son discours, Valentina demeura muette. Elle ne s'y attendait pas du tout. N'ayant pas le choix, elle s'était resolue à subir les cours d'économie et de gestion que lui avait proposé son père. Dans la salle, des commentaires fusèrent de partout. Certains membres avaient de forts doutes concernant le futur rendement de Valentina mais Kris la défendit sans leur laisser aucune choix. Soit ils acceptaient son plan d'action en la mettant au défi où il vendait leurs actions au premier venu. La menace fit mouche et les contestations devinrent de plus en plus timide. D'un commun accord tout les actionnaires acceptèrent la proposition de Kris en remarquant qu'il était un homme d'affaire brillant et rusé.
Kris présenta les huit personnes qui l'accompagnaient comme la futur équipe qui aiderait Valentina dans le nouveau secteur. Il y avait un mignon mec aux yeux gris qui n'arrêtait pas de la regarder. Dans d'autres circonstances, Valentina aurait tenté le coup, mais elle n'était intéressée par qu'un seul homme qui se rapprochait d'ailleurs. Il lui offrit une coupe de champagne et elle trinqua avec lui. Quelques minutes plus tard, le temps d'échanger quelques mots avec sa future équipe, Kris l'emmèna dans son bureau. Quand la porte se referma sur eux, il l'examina méticuleusement de la tête aux pieds.
- Comment vous sentez vous ?
- Mieux, sourit doucement Valentina.
- Je me suis beaucoup inquiété quand j'ai appris de votre père que vous vous étiez effondrés devant la société.
Valentina rougit et s'émeut devant l'air inquiet de Kris.
- Je voulais aussi vous remercier pour ce que...
--Chut... Murmura-t-il, en lui prenant la main. Ce n'est pas la peine.
Petit récapitulatif de ce qui s'était passé devant G.A.C, il y a moins d'une semaine. Valentina avait sauté le petit-déjeuner et déjeuner au cours d'une journée particulièrement extenuante passée à parler économie et gestion. Tout ce stresse ajouté aux cachets qu'elle prenait pour soulager ces migraines, a fini par la faire s'effondrer dans les bras de son garde du corps. Lui tendant la main, Kris souriant lui demanda :
- Prête pour la visite de W.I.N.I ?
Sur le trajet du Tarmac, Kris surprit Valentina en embrassant les jointures de ses mains. Le contact de ces délicates lèvres ourlées la fit frissonnée et elle regretta qu'ils ne soient pas les seuls passagers du jet privé qui les attendait. Après l'atterrissage, elle grimpa toute excitée dans l'audi qui les mena jusqu'à l'énorme portail où était inscrites en lettres capitales W.I.N.I. Cole présenta une carte d'accès à l'entrée et la voiture alla se garer dans l'énorme parking. Ensuite, il leur ouvrit la portière et Kris l'aida à descendre. Passant les portes coulissantes, main dans la main, Kris et Valentina se retrouvèrent dans le hall grandiose de la société.
La décoration y était décalée mais fait avec goût. Les immenses toiles accrochés au mur représentaient différents types de bateaux pataugeant dans l'eau bleue à différentes étapes de la journée. La sérénité qu'elles dégagèrent seduit beaucoup Valentina. Kris l'entraîna devant l'ascenseur qui se trouvait à l'angle qu'elle n'avait pas du tout remarqué. Lorsque les portes s'ouvrirent de nouveau, Valentina fut impressionnée par l'énorme salle conférencière qui les accueillit. Lorsqu'elle remarqua le regard des membres présents, elle rougit. Le bras sur sa hanche, Kris la présenta à chacun. Il y'avait Barney, l'informaticien brun aux yeux verts à la coupe en brosse qui l'embrassa sur les deux joues avant de lui murmurer à l'oreille, qu'il l'aimait déjà. Amusée, Valentina sourit en se tournant vers Alina qui lui tendit la main pour l'atirer à elle et lui faire un câlin. Les deux autres membres la saluèrent tout aussi chaleureusement et Kris la mena jusqu'à la porte du fond qui débouchait sur un couloir.
Le second bureau de Kris se trouvait tout au fond de la pièce. Y pénétrant, Valentina découvrit une pièce spacieuse très confortable dans les ton gris. La vue sur la mer et les bateaux amarrés qui flottait délicatement était incroyable. Comment cela était-il possible ? Stupéfaite, elle se tourna vers lui qui l'observait depuis le seuil. Il croisa les bras sur sa poitrine et tout sourire déclara :
- Bienvenue à W.I.N.I Valentina.
- C'est magnifique ! S'exclama Valentina, en visitant la pièce.
- Les plans de cette pseudo forteresse ont été dessiner par mon père et réaliser par le votre. Alors je suis obligé d'être du même avis que vous.
Hôchant timidement la tête, Valentina se dirigea vers la baie vitrée pour mieux observer les bateaux amarrés.
- Un détail me chiffonne, dit-elle, au bout d'un moment.
- Lequel ? Sourit Kris, en devinant sa question.
- Pourquoi autant de mesures de sécurité ?
- Je réalise moi-même les plans de mes bateaux et ces informations sont classées confidentielles. A une époque des individus ont essayés de se les procurer.
- Oh, je vois.
- Venez, dit Kris, en lui tendant la main. J'ai quelque chose à vous montrer.
De nouveau, Kris et Valentina se retrouvèrent dans le couloir et se dirrigèrent à l'opposé du bureau. Tournant la poignée qui révèla des escaliers, ils les empruntèrent avant d'accéder à une autre porte qui les conduisit à l'extérieur. La brise océane fit légèrement frissonner Valentina et Kris la recouvrit de son blouson de cuir. Ils s'avancèrent et elle inspira un grand coup en riant. La sensation de liberté et la caresse du vent l'emplit de bonheur. Elle oublia ces chaussures et voulut courir dans la bande de sable qui menait au ponton. Elle comtempla l'horizon et Kris lui expliqua tout un tas de trucs autour du montage d'un bateau. Il était tellement pationné qu'elle en fut davantage séduite.
Plus tard, ils remontèrent. Valentina n'échappa pas à la visite du bureau de verre. Lorsqu'ils retournèrent dans le hall, une délicieuse jeune femme y patientait. Elle était assise, jambes croisées et faisait mine de feuilleter un magazine. Ces longues jambes semblaient interminables de même que ces cheveux. Elle respirait la beauté et l'appel au sexe. Quand Kris la repéra, il délaisssa Valentina pendant quelques minutes et se dirrigea vers l'accueil furieux. Troublée, Valentina observa de nouveau la jeune femme. Ne serait-elle pas... Lorsque leurs regards se croisèrent, la blonde fronça les sourcils hostile. Au comble de la gêne, Valentina se dirrigea vers l'extérieur d'un pas pressé. Elle avait besoin d'air sans penser à l'éventualité que miss blondinette lui emboiterait le pas.
- Je ne pensais pas te rencontrer si tôt, Valentina Reed. C'est donc a ça que tu ressembles ?
- Qui êtes vous ?
- Tu sais très bien qui je suis, mais je vais me faire le plaisir de te le rappeler. Je suis la petite-amie du mec avec qui tu couches gamine.
- Et en quoi puis-je vous aider ?
- Je voulais juste t'informer qu'il ne fera rien de plus avec toi que jouer. Ensuite, il reviendra vers moi comme il l'a toujours fait.
- Toute ces informations ne me serviront à rien, déclara Valentina, en resserrant les doigts autour de son sac.
- Tu crois ? Ricana Chloé, en se passant les mains dans ces longues mèches blondes. Kris est très vigoureux et je suis sûre que tu ne tiendras pas face à ces assauts. Il peut se montrer insatiable.
- Je vois, répondit Valentina en s'efforçant de ne pas rougir. Vous ne devriez pas vous inquiètez pour moi, je garde bien rythme.
- Sale petite sote ! Hurla Chloé en se ruant sur la jeune fille la main levée.
- Je t'interdits de poser les mains sur moi, la menaça Valentina en brandissant son index.
Les deux femmes se jaugèrent et les injures fusèrent dans tous les sens jusqu'à ce que Kris ne vienne s'interposer entre elles.
- Que fais-tu ici ? Hurla un Kris énervé. Je pensais que tu l'avais compris. Je ne veux plus te voir et c'est fini entre nous.
Furieuse, Chloé sortit les griffes et se jeta sur Valentina qui lui administra la giffle du siècle. Surprise, elle recula et se tourna vers Kris les larmes aux yeux. Elle essaya de se réfugier dans ces bras mais il la repoussa bien vite.
- Je ne veux plus jamais te voir dans ma société, trancha-t-il, d'une voix dure.
La tenant fermement par le bras, il l'escorta jusqu'à sa voiture et demanda à l'un des gardes de l'entrée de la conduire où elle voudra. Ensuite, il revint vers Valentina qui s'était déjà installée l'Audi. A son tour, il s'installa à la place du conducteur et claqua brutalement la portière. Le trajet du retour vers l'aéroport se fit dans un silence pesant.
- Valentina, je suis vraiment désolé pour cet incident.
- C'était votre petite-amie ? Demanda-t-elle, en connectant sa ceinture de sécurité à l'image de Kris.
- Mon ex.
- Je comprends.
Valentina était heureuse de l'entendre le lui confirmer, mais elle cacha sa joie. Quand Kris pensa au fait qu'il leur avait prévu un déjeuner dans une chambre d'hôtel avec vu sur W.I.N.I. et une journée de sexe torride, il avait envie de tuer Chloé. Lorsqu'ils émergèrent de la voiture, Valentina le remercia pour la visite de son entreprise pendant qu'ils se dirigeaient vers les ascenseurs du White Gold.
- Parlez moi, je vous en prie.
- Que voulez vous que je vous dise ?
Une lueur malicieuse brilla soudainement dans les prunelles de Kris et un frisson parcourut l'échine de la jeune fille. Il se pencha et elle se retrouva prise au piège entre ses lèvres au moment où il appuyait sur le bouton d'arrêt d'urgence. Aussitôt, l'ascenseur s'immobilisa au troisième étage. Souriant, Kris défit sa cravate, d'un geste impatient. Le cœur battant, Valentina respirait désormais par la bouche en l'observant.
- Selon le programme que je nous avais concocté, nous ne devions être rentrés que demain. Cette journée aurait dû se terminer dans la chambre d'hôtel que j'avais réservé.
Il s'avança et Valentina ouvrit et referma la bouche à plusieurs reprises. Son cerveau était en panne. Son regard était figé sur le contenu du pantalon de Kris. Il passa la main dans ses cheveux et lui mumura à l'oreille :
- Vous voir vous énerver m'a excité.
Ensuite, il passa la langue sur le pourtour de son oreille et se régala de la première plainte sensuelle.
- J'aurai dû faire insonoriser ces ascenseurs mais ils ne le sont pas. Alors, nous allons jouer au jeu du téléphone arabe version revisitée.
Se penchant, il captura sa bouche en un baiser lent mais provocateur. Sa bouche glissait contre la sienne et suçotait les lèvres appétissantes avec gourmandise sans oser s'unir véritablement. Valentina s'embrasa et gémit contre les lèvres de son amant.
- Je vois que vous avez réaliser l'une des règles de notre jeu, déclara-t-il, la voix rauque.
D'un mouvement rapide, Kris remonta sa robe en faisant courir ses doigts sur la peau laiteuse. Son regard se perdit dans celui de Valentina et elle trembla en découvrant le désir qu'elle lui inspirait. Ces mains se refermèrent sur les fesses et il s'appuya contre la partie qui était dissimulée. Faisant glisser le minuscule string, il le récupéra comme un trophée. Le portant à son nez, il la renifla avant de le faire disparaître à l'intérieur de sa poche.
- J'aurai aimé vous allonger dans un lit confortable mais aux grands maux, les grands remèdes.
Quand Kris pressa la bosse de son pantalon contre l'entrejambe de Valentina, elle rejeta la tête en arrière et présenta sa poitrine à son amant qui ne se fit pas prier pour baisser la fermeture de sa robe. Il comtempla la poitrine qui venait de lui apparaître avec adoration et la libèra de sa prison. Les pointes roses apparurent et Kris referma la bouche sur l'une. Croyant défaillir, Valentina ferma les yeux et se mordit la lèvre pour s'empêcher d'hurler en s'agrippant aux épaules solides. Kris décrivit plusieurs cercles autour du mamelon tendu, le mordit lascivement et le suçota avec rudesse jusqu'à ce qu'il vire au poupre.
- Vous savez que vous êtes encore plus belle lorsque vous êtes excités ? Et cette teinte rouge, ajouta-t-il, en pressant ses tétons entre ces doigts, me rend ivre de vous.
Valentina répondit par un murmure et Kris dirrigea ses mains vers l'intérieur de ses jambes. La caressant lascivement, il la pénétra de deux doigts et l'obligea à garder les yeux ouverts.
- Je vais m'offrir le plaisir de vous goutter.
Il s'agenouilla devant elle et passa l'une de ces jambes derrière son cou. Valentina se mordit l'intérieur de la paume et Kris reserra les bras autour de sa taille. Sa langue tournoya sur son bouton de rose, l'aspira dans sa bouche et l'embrassait amoureusement. Son majeur tournoya à l'intérieur du palais en la pénétrant comme s'il s'agissait d'une autre partie de son corps. Elle poussa des cris étouffés et se mordit plus fort l'intérieur de la paume. Kris la lechait et faisait aller et venir son majeur en elle d'une façon si sensuelle qu'elle avait envie de s'évanouir. Des fretillements l'agitèrent. Valentina sentit quelque chose d'intense et d'incroyable s'épanouir en elle. Le plaisir montait et enflait sans qu'elle ne sache comment s'y prendre pour ne pas se laisser submerger. La langue et la bouche de Kris continuaient de la lécher, de la tourmenter avec les mouvements de plus en plus rapides de son majeur qui avait été rejoint par son index. Précipitamment, Kris retira son doigt et ordonna en soufflant :
- Jouit pour moi belle nymphe.
Une dernière caresse légère sur le bouton sensible et Valentina explosa en mille morceaux. Se relèvant, Kris l'embrassa pour l'empêcher d'hurler son plaisir. Son corps chaud tremblait dans ses bras et ces mignons cris de jouissance contribuaient à durcir la bosse dans son pantalon. Lorsqu'elle retrouva quelque peu son souffle, Kris trempa les doigts dans le liquide qui coulait le long de ces jambes et le porta à ses lèvres, triomphale.
- J'avais raison, vous avez bon goût.
Essoufflée, Valentina cligna des paupières en reprenant son souffle. Le geste de Kris l'avait troublé mais en le voyant continuer de se lécher les doigts, une pointe de désir la traversa. Il baissa la fermeture de son pantalon et referma la jambe de Valentina autour de son bassin.
- J'ai envie de vous mais le cadre n'est manifestement pas approprié pour l'occasion. Je vais juste me soulager un peu.
De sa main libre, Kris saisit son sexe et l'appuya contre l'intimité de Valentina. Elle se raidit sans qu'il n'aille bien loin. Le contact des replis intimes l'emporta tout de suite et il se rependit en jet brûlant. Son visage était crispé et une fine pellicule de sueur faisait briller son front. Ils restèrent enlacés pendant un moment jusqu'à ce que l'alarme les fassent sursauter. Ils devaient sûrement s'agir des membres de la sécurité.
- Fichu ascenseur, murmura Kris, en aidant Valentina à réajuster sa robe, les joues en feu.
Et voilà pour un autre chapitre épicé que j'espère vous aura plu. RDV dans le second chapitre.
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