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J'ai sorti une nouvelle histoire qui s'intitule "Missing" qui est pour une fois une fanfiction de Loïc Nottet.
Voici la cover :

Le résumé :

Ne manque-t-il pas une personne à Bruxelles ? Un jeune homme du nom de Loïc Nottet qui s'est fait enlever.

Une enquête.

Des recherches.

Des indices.

Des retrouvailles.

Un après.

Une vie détruite.

    Entrez dans l'histoire sordide de cet enlèvement ayant touché deux pays tout entièrs. Vivez avec nous l'histoire de nos personnages à la vie compliquée.

    Découvrons ensemble comment cet enlèvement est devenu plus qu'un enlèvement, et a changé la vie de plusieurs personnes.

Le prologue :

Loïc Nottet se trouvait dans sa chambre. Il lisait tranquillement un livre à sa sœur, Justine. Elle savait lire, mais quand c'était lui qui le faisait, elle était comme transportée dans un autre univers. Elle adorait la douce voix de son frère. Seulement, ce jours-ci, il avait l'air préoccupé. Sûrement parce qu'il allait passer des examens dans la semaine, se rassura Justine. Soudain, son grand frère ferma le livre et le posa sur son lit à côté de lui.

-Allez Ju', on doit préparer à manger.

Lorsque leurs parents travaillaient tard, c'était à Justine et Loïc de préparer à manger. En général, ils attendaient leur retour mais ils préparaient à l'avance, pour ne pas avoir à faire à manger à vingt et une heures, heure à laquelle ils avaient l'habitude de manger. Mais cette fois-ci, Justine voulait continuer le livre.

-Allez, encore un chapitre ! Je veux savoir la suite !

-Ju', je l'ai déjà lu ce livre ! Il me saoule !

-Alleeezzz ! J'aime trop quand tu lis ! J'aime trop ta voix Loïc.

-Arrête d'essayer de me faire craquer. Je suis pas idiot, personne n'aime ma voix.

-Si, tu es idiot Loïc. Tu as une belle voix.

-Allons faire à manger.

Loïc détestait sa voix qu'il trouvait trop féminine et qui, selon lui, le rendait fragile et soumis. Pourtant, elle était très belle et douce à entendre. Lorsqu'on entendait ce garçon parler, on se sentait tout de suite à l'aise et en confiance. Mais cela, il l'ignorait. Il pensait que personne n'aimait sa voix et il se rabaissait tout seul. Son seul moyen d'aimer sa voix était en chantant. Il composait ses chansons lui-même mais il les gardait pour lui, même si sa sœur l'avait déjà entendu chanter. Mais il l'ignorait aussi.

Loïc prépara les pâtes, et sa sœur la sauce. Ils s'entendaient très bien. Leur complicité était hors du commun. Ils s'entendaient pratiquement sur tout et ils se soutenaient à chaque épreuve. Un frère et une sœur comme ça, on n'en voit pas tous les jours.

Les deux jeunes gens mangèrent sans leurs parents. Loïc avait cours tôt le lendemain et il se sentait fatigué alors il préférait se coucher un peu plus tôt. Justine n'avait pas envie de le laisser manger tout seul.

À la fin du repas, ils partirent dans la chambre à Justine pour lire encore un peu. Mais ce soir-là, Loïc était fatigué et sa voix aussi. Il bafouillait beaucoup.

-On peut arrêter ?-demanda-t-il en posant le livre. J'en ai un peu marre.

-D'accord. Tu me chantes quelque chose ?

-Non, non Ju'. Tu sais très bien que je ne chante pas et je suis fatigué.

-Si tu chantes. Ne mens pas je t'ai déjà entendu.

-Bonne nuit Justine.

Loïc était très gêné. Il ne savait pas que sa sœur l'avait entendu chanter. C'était son secret et il ne voulait le partager avec personne. C'était la chanson qui l'aidait à s'évader lorsque tout allait mal mais en aucun cas il n'avait voulu chanter dans un autre contexte. Il n'y avait même pas songé.

-Loïc ! S'il te plaît !

-Non.

Puis il sortit de la chambre de sa sœur et partir dans la sienne. Très vite il tomba dans les bras de Morphée qui l'emmena dans un monde de rêve où l'imagination est maitre de notre destin.

Il se fit réveiller par un bruit. Il ne savait pas ce que c'était. Il sortit de sa chambre pour aller voir mais il n'y avait rien. Pourtant il était sûre d'entendre quelque chose. Il partit voir dans la chambre de sa sœur mais celle-ci dormait paisiblement. Il se dit alors que son imagination lui jouait des tours et il retourna dans sa chambre. Malheureusement, en ouvrant la porte, il vit un grand homme vêtu d'un long manteau avec la capuche sur sa tête. Loïc s'apprêta à parler mais il lui mit la main sur sa bouche et il le prit par le cou. Loïc sentit la panique le gagner tendis que son ravisseur l'emmenait vers la fenêtre. Sur ses joues se mirent à couler des larmes et il imagina déjà la mort lui tendre les bras. L'homme le força à sauter par la fenêtre en le menaçant avec une arme. Heureusement pour lui, ce n'était pas trop haut et il réussit tant bien que mal à atterrir sur ses pieds. L'homme fit la même chose et l'emmena dans une voiture qu'il démarra rapidement. Loïc se rendit seulement compte à ce moment-là qu'il venait de se faire enlever.

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