La survivante
T'es revenue, mais il n'y a pas de place pour moi à présent. Je pense que tu ne l'avais pas compris. Tu voulais juste te guérir de nous avoir trop révés.
Tu commences à comprendre à présent. Tu ne le diras pas, même si moi je suis malade quand t'es là. Peu importe, tu n'es pas prête pour passer de nouveau pour celle qui va se tirer.
Je me suis creusé la tête pour comprendre ton retour, comme si y'avais un truc à comprendre.
Alors qu'en fait, il n'y a rien, tu as fait ça sur un coup de tête, une accumulation de solitude mélangée à un brin de désir d'être aimée et un torrent de désir d'être souillée. Tu t'emmerdais, tu fantasmais.
Je suis juste le jouet qui te manquait quand ta part sombre se fait sentir, liquéfiant ton entre-jambes, rongeant ton bas ventre d'une chaleur abrutissante.
Je suis celui qui n'est rien et qui n'a rien de toi, qui n'aura rien jamais.
Je suis celui qui te protegeais, car je suis le seul aujourd'hui a vraiment t'aimer. Je ne demande rien, je suis juste là. Je suis le choix SAFE pour faire ce dont tu as honte. Rien n'a de conséquence avec moi.
Je suis tout et je suis rien à la fois, un amour perdu et un amour qui n'a jamais existé.
Tu survis mais tu meurt chaque jour que je sois la personne qui ne te croisera jamais, parce sans te voir j'ai été le plus vrai... c'est fait c'est trop tard c'est gravé dans tes souvenirs, j'existe pas pourtant ça s'effacera jamais.
Tu me détestes tu le sait, tu colles sur moi tes désirs inavoués, tu me rends responsable de leur la liberation de leur puissance. Tu aime ça, mais tu peu pas encore l'avouer. Tu rechigne a parler de toute ces chose que sur ta peau du aime voir couler, tu me maudit surement de t'avoir fait les aimé... se furent les seuls moments ou tu a prononcer autre chose que quelques bribes de phrases eparpilléeq sur plusieurs journée.
Tu me détestes parce que tu es seule et que je ne suis pas là. Tu me détestes parce que je rayonne sur toi sans pour autant te possédée. Je suis ton ombre, je te connais. Comme elle je te peu pas te toucher, mais je te suis éternelement attachée. Tes doigts c'est moi, moi qui te touchais, tu me voulais tu m'a eu bébé. Ca t'a fait du bien a present t'es deja barrée.
Donne moi tord, donne moi la fièvre de la passion, montre toi, donne toi, réclame ce que tu est venue chercher. Je suis ta cure tu est mon sujet, montre toi et montre moi que j'ai raison de recommencer a t'aimer.
Le compte à rebours a commencé et tu vas avoir mal de ce bien que je te fais, tu ne vas pas te l'avouer, tu t'es juste venger de cette douleur delicieuse et de cette chaleur désesperée, tu m'a laissé te réclamer...tu m'a blesser.
Tu sais deja qu'on c'est encore gaché, et qu'il ne peut arriver encore que ce qui va arrivé... bye bye bébé.
J'espère que cette fois tu guériras de moi si c'est bien une affliction que t'a pas encore inventée, moi je vais à nouveau vivre et t'oublier.
Tu n'est jamais vraiment revenue, je me suis juste forcé a joué a ton jeu en souvenir de celle que j'avais aimé. Je t'ai donné encore l'occasion factice de me blesser, et tu l'a bien prise tu n'a fait que m'ignorer... serpent qui mord la main du seul qui te vénerait.
J'ai déjà gouté à ton poison, il a plus d'effet, ça veut pas dire que j'en suis immunisé, il a le gout de ce que je t'ai fais faire couler. Ton retour fut un foutage de gueule complet.
J'ai mal dans la partie de moi qui ne t'a pas cloîtré dans une petite case bien rangée là haut dans ma psychée, jolies fiole toute bien alignées. Bleu , blanc, rose, vert violet.
Je l'ai vu arrivé de loin, ton cinema restera inaché t'avais meme plus assez de temps a me consacré.
Je ne laisserais pas cette contamination de toi se répandre comme un feu de foret, j'ai fait trop d'efforts pour te redecouvrir alors que toi t'avais deja abandonné, ta jurée tu promettais mais t'a perdu le fil de pourquoi tu t'es repointée, tu m'a encore humilée.
Je t'épargne les journées a s'engeuler et a ressasser, a se juré que tout est vrai et qu'on peu encore et encore recommencer, qu'on se retrouve encore et qu'on se laisse aller, et t'es pas a un orgasme pret... 2, la prochaine fois peu etre 3 d'affilé qui sait, je suis qu'un gentil jouet qui sait te faire salir ton lit qui sait te faire giclée. Moi j'en ai assez de cette comedie de ces mots que je verse dans un puit sans fin ou je ne t'atteind finalement jamais.
J'aurais voulu te soigner, tout te donner, mais tu ne sais que jouer, tu ne sais plus vraiment ce que tu est venue chercher et tu n'a pas le temps d'y penser, tu n'est plus que l'ombre d'un fantome dans le miroir brisé, une grossière imitation diaphane de ce que tu a été.
Je me suis encore occupé de toi, tu ne fais que m'utiliser, jamais tu ne pense a me combler. J'ai attendu sans rappeler les photo de ce que tu a cuisiné, de la gallerie ou tu evolue, tes jambes meme pas nues et ce t-shirt sans interet... j'attend dans un chat vide, j'attend dans DBD. Je n'ai que le silence de ta voix qui ne viens jamais.
j'ai trop attendu que tu te daignera te devoilé, alors que t'a jamais eu aucune intention de jamais te montré, tu m'a encore manipulée. C'etait encore a sens unique, je m'en vais, je suis fatigué.
J'ai absolument aucune intention de te laissé avoir la moindre empreinte sur ma vie, a present vat au diable, disparait.. va continué de survivre, survivante comme moi que tu es. Tu t'es bien foutu de moi j'espere que t'as bien rigolée.
Trouve s'en un autre quand ta solitude te fera trop mal ou que tes chaleurs vont se repointés.
Pas moi en tout cas, cherche pas ya des travaux chez moi, des vrais.
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