Chapitre 7, part 3
J'arrive à l'entré, de l'autre côté j'entends les trains passer ... Il faut que je trouve un moyen de monté dans les rames. Sans ça je n'atteindrais jamais le centre ville ... Et en prime dans cette gare il devait bien y avoir des plans en Français pour trouver des lieux touristiques ET l'ambassade. Ce bâtiment m'obsédait, je n'avais que cette idée, c'était ma seule chance, car aucun thérianthrope que je croisait n'avais l'air de comprendre un traître mot de ce que je leur disais. Ce qui me fait sans doute le plus mal c'est de savoir qu'ils comprennent mais qu'ils refusent de m'aider car ils ne veulent pas « tremper dans des affaires louches ». J'ai beau hurler personne ne vient, et en ce moment autours de moi il n'y a que des singes ... Je m'assoie au coin de la rue, c'est fini, tout ça n'aura servis à rien. Et puis soudain un faible espoir me revient :une canidé et sa fille ! Des Shiba, des vrais Shiba ! Pas comme ce menteur de Joshua, sans trop savoir je cours vers eux. Je veut croire qu'eux m'aideront, pas comme ces rats de félidé de tout à l'heure.
A l'instant où je surgis devant eux ils s'arrête net, no regards se croisent et je leur envoie le signal de détresse le plus fort que je puisse faire. Aussitôt et instinctivement la petite fille à les larmes aux yeux et se cache derrière sa mère. Quand un de nos semblable à peur nous avons tous peur avec lui, pour nous, pour lui,pour notre meute. J'espère que c'est une lois universelle ... Je le souhaite ... A mon grands soulagement la femme ne m'ignore pas, elle se baisse à mon niveau et me regarde droit dans les yeux. Elle a compris ?! Elle a compris ! Elle va m'aider, je le vois dans son regard ! Elle va m'aider ! J'en pleurerais presque. Alors qu'elle prends sa fille dans ses bras et qu'elle trottine dans la direction d'où elle venais je la suis tout en lui envoyant des messages d'infinie gratitude. Elle rentre dans un jardinet me fait signe d'entrer aussi, puis je me glisse dans sa petite maison et elle pause sa fille qui disparaît dans le couloir. Je n'en peut plus ... Je me laisse glisser dans l'entré avec un « merci »soupirer, j'ai courus toute la journée, dehors le soleil fini de se coucher ... je me sent mal ... La femme passe un plaid sur mes épaules canines et je me laisse allez complètement. J'ai tellement sommeil ... Je reprends forme humaine alors que le sommeil m'emporte.
Lorsque j'ouvre les yeux c'est sur le bruit des patrouilles de police.Immédiatement tout mes sens sont en alerte la plus totale et je me met à trembler de peur : ils sont là pour moi ! J'entends une voie féminine parler à ce qui doit être un agent à la porte ...j'ai peur, elle va me dénoncer et ils me prendront, ils me violeront... Je ne veut pas ... L'inconnue mais fin à la discutions etm'envoie un signe de silence alors qu'elle referme la porte. Je cache un peu plus ma nudité dans le plaid qu'elle me prête. Je ne comprends pas tout mais une petite chienne débarque dans le salon.Au début sa mère semble s'apprêter à lui interdire de s'approcher de moi mais elle me regarde ... Et pendant un instant c'est le silence ... Je tremble encore, elle disparaît dans le couloir. C'est un salon bien plus moderne que ce que j'ai vus chez les Keller, ici il y a une télé et un canapé. Autours de moi la petite fille saute en jappant joyeusement, elle me mais du baume au cœur aussi je la félicite d'une effluve admirative qu'elle semble comprendre et en éprouver une certaine fierté. Je n'arrive pas à lui parler à l'odeur, elle est trop jeune, son contrôle sur elle même est trop anarchique pour que je puisse savoir et qu'elle puisse comprendre le langage du Soul. Tant pis ... Je l'aime bien cette petite. Lorsque sa mère reparais dans le salon c'est avec des vêtements propres, transformé en une magnifique chienne racée,immédiatement je ressent en elle toute la peur que peuvent provoquer les intrus en cavale, mais aussi à l'égare d'un semblable dans le besoin :
« -Vous êtes fugitive ?
Je ... Oui ... Ils me cherchent ?
Dans toute la ville, qu'est-ce-que vous avez fait ?
Je me suis enfuis après avoir été kidnapper en France pour un voyage arranger. Je veut rentrer dans mon pays ... Mais je ne sais pas comment faire.
Vous êtes Française ?
Oui ... S'il vous plaît, à l'ambassade de France il y aura quelqu'un qui parle ma langue et qui me trouvera un avion pour mon pays. Amenez moi là bas je vous en supplie.
C'est que ...
C'est une question de vie ou de mort.
D'accord. Mais je dois emmener ma fille à l'école alors nous irons à mon retours. Il y a de la nourriture sur la table, et une douche au fond du couloir. J'en ai pour une quarantaine de minutes, vous pourrez vous préparez à temps ?
Bien sûr ! Merci ! Merci mille fois ! Je vous serais à jamais redevable !
Ce n'est rien, j'ai eu une amie qui a eut des problèmes et j'aurais aimé qu'on l'aide comme je l'ai fait avec vous.
Merci infiniment pour tout madame. Vraiment ...
Dépêchez vous, avez votre peur vous les avez mit sur votre piste. Ils ne tarderons pas à revenir ici avec un mandat, dans le doute.
Merci ! »
Et sur ses mots j'ai détaler dans le salon. En 10 minutes j'étais intégralement douché, récuré jusqu'au oreilles. Qui sait dans combien de temps je pourrais de nouveau prendre une douche. Et en 5 minutes j'avais avaler tout ce qu'on m'avait gracieusement offert. Je ne sais pas quoi faire pour remercier la mère au foyer qui n'était pas encore revenus, pour tout ce qu'elle a fait pour moi elle mérite tellement.
Dans la voiture elle ne me pause pas de questions,mais moi oui, moi je me pause des question : et si j'avais été dans un poste de police ? Ils m'auraient eu. Et si je ne m'était pas échapper ?Je me serais fait violé. Et si ils me piégeaient la bas ? Ça c'est sans doute la pire de toutes les questions : et si c'était un piège, un traquenard dans lequel je suis en train de me jeter ?Et si ma sauveuse m'avait trahit ? Et si .. ? Et si ... ?J'ai peur, je suis morte de peur. Une voiture de police passe en hurlant, je détourne le regard et me fait le plus petite possible.Est-ce-qu'ils me cherche moi seulement ? Ou un vrai criminel ?Je ne sais pas ... Elle se gare devant le grand bâtiment, pas de voitures de polices, pas de grosses voitures noires aux vitres teinté...
« -Aligato, and gomen. »
Ce sont les seul mots que j'ai assimiler en deux jour : merci et désolé. Je me jette hors de la voiture et me dirige vers la porte lorsque soudain une poigne de fer m'attrape par le poignet. Je me retourne et, l'homme hèle un taxis et en une fraction de seconde je me retrouve prisonnière à l'arrière du véhicule. Je tente de crier mais une main ferme se plaque sur ma bouche, m 'empêche de respirer et m'étouffe jusqu'à ce que je cesse totalement de bouger. J'ai mal partout, je vais me faire dessus tellement j'ai peur, plus je me débat et plus mon agresseur me fait mal.
« -Sarah ! Sarah c'est moi ! »
Je reconnais soudain Joshua ... Joshua ... Sans trop comprendre pourquoi je me jette dans ses bras, enfin un visage familier. Et je fond en larme, mes épaules secoué de tremblement, ma vision se floute de mes larmes, je n'en peut plus, je veut juste que tout s'arrête.
« -Sarah ... Ça va ... »
De longues minutes après, je hoche timidement de la tête en reniflant toujours et respirant par accoue. J'en ai mare, je veut juste me jeter sous les roues d'une bagnole qu'on en finisse.
« -Je vais te ramener chez toi maintenant.
Comment je pourrais te croire ?
J'ai fait une demande d'asile sur le sol Français à ton nom hier, tient. »
Il me tends une feuille sur la-quelle est griffonné une adresse bourré de fautes d'orthographes :
« -Désolé pour l'écriture. Ils te prennent dans le programme de protection des témoins, un agent qui était sur place t'attends à l'aéroport. Ils te font embarquer dans le prochain avion. Quand tu seras sur le sol Français tu changeras d'identité et plus personne ne pourras te retrouver. Tu pourras reprendre tes études,disparaître, tu n'auras plus à faire ces choix idiots. Mais comme on ne se reverra jamais je te dois la vérité, toute la vérité, je veut que tu sache ... »
Il ne me laisse pas le temps d'en placer une, même pas un « mais ». Il a fait quoi ? Il m'a inscrit au programme des protections de témoins ? Je suis sur qu'il ment ! Il voulait m'empêcher d'aller à l'Ambassade ! Il va me ramener à ces types !!NON !!
« -MENTEUR !!
Pourquoi tu me traite de menteur ?
Tu ment !! Tu vas me livrer à ces salops ! Tu n'as fait que mentir !!
Sarah, l'Ambassade c'était là où ils t'attendaient ! Le bâtiment était truffer de Yakuza !
De quoi ?
Des Yakuza, la mafia japonaise. Je t'ai dit que je te devais la vérité avant que tu ne disparaisse, alors voilà : je suis un fil de Yakuza. Au japon la pègre diriger par les renards à pris le pouvoir thérianthrope, ma famille dirigeait tout avant. Je t'ai dit que mes parents étaient politiciens pas vrai ? Bah ils étaient mafieux ET politiciens. Lorsque j'avais 2 ans ils ont été victimes d'un attentats et sont mort, assassiné. C'est le second de mon père qui a pris la suite, l'actuel président. Moi j'étais tout petit et j'étais très précieux pour les idée pro-eugénistes radicaux du partis. Alors ils m'ont envoyer faire mon éducation en Amérique chez un membre de la mafia réfugier là bas : celui que j'ai appeler « mon oncle » et qui est cheval, tu te souvient ? Probablement pas, tant pis. Les eugénistes radicaux organisent souvent des mariages arranger et en France, un des politiques à entendus parler de toi à cause de ton passage dans le journal. Ton dossier était trop beau pour être vrai : ils t'ont illico mariée avec le mien qui était un cas désespérer de disparition imminente. Le fait que je t'ai détester ça aussi c'est vrai, tout ce que je t'ai dit dans l'avion, tout ce que tu as entendus c'était vrai : ma mère qui a épouser mon père de force, lui qui essayait de lui rendre la vie plus douce, elle qui est devenus folle et a tuer son premier enfant ... Tout est vrai. Et elle aurait put le faire avec moi, ça aurait peur être mieux valus. Enfin bref ... Le fait est que j'ai vraiment appris le Français pour te rencontrer toi, et que je suis vraiment tomber amoureux pour mon plus grand malheur ou bonheur, les deux. Et puis comme je t'aimais j'ai voulus te protéger alors je me suis éloigner de toi au lycée et j'ai essayer de les menés sur une fausse piste et ils nous ont eu tous les deux. Au début je me battait comme toi et puis j'ai été égoïste, quand tu as embarquer dans l'avions j'en ai profiter et quand tu es arriver au japon aussi. J'ai collaborer avec eux parce que comme ça je pouvais enfin t'avoir, je croyais qu'il n'y avait aucun autre moyen. Mais tu étais malheureuse et ça m'a fait mal ... Je voulais te montrer ce qu'on m'avais appris, te libérer du muselage aussi. Je n'ai pas pensé, j'ai été stupide, j'ai pas pensé au fait que je te faisait tremper dans les histoires de la pègre. Je voulais pas je te jure, je t'aime. Et quand tu t'es enfuis ça m'a fait un électrochoc. Je suis un sale gosse pourris gâté qui ne pense qu'à lui et qui avait l'habitude que tout lui tombe tout cuit tout rôtie dans le bec. Pour la première fois je comprenais ton ressentiment, et je me suis détester. C'est la pure vérité, si tu ne me crois pas tant pis, de toute façon tu vas partir. Enfin bref ... Ils t'ont chercher toute la nuit, s'ils nous trouvent on va avoir droit à un des pires moments de nôtres vies. Ah et ... Le prélèvement de force, tout ça ... C'est vrai, ils le font, mais ils ne me l'ont jamais fait à moi. J'ai menti. Je voulais que tu ais confiance en moi alors j'ai forcé, je me suis dis que tu aurais plus confiance si il y avait du danger, j'aurais pas dut : on ne rit pas avec ces trucs là, et la confiance d'une personne on ne peut pas la forcer, j'ai compris. En tout cas toute la nuit où tu as disparut je me suis fait un sang d'encre, et puis dès qu'ils ont eut le dos tourner j'ai jouer les agents doubles et j'ai fait mine de te chercher pour eux. A la place j'ai préparer ta fuite hors du japon et nous y voilà : je vient de leur faucher l'herbe sous le pied, juste sous le nez. Maintenant ils m'en veulent aussi à mort car je suis un traître, ils nous reverse le même traitement de faveur.
Ils vont nous tuer ?!
Non, on sera des esclaves sexuelles, ont est plus précieux vivant avec notre matériel reproducteur. Eum ... C'est une transition un peu particulière et ... mal placé... Mais comme on arrive à l'aéroport et que maintenant c'est terminer, voilà ... Je t'aime Sarah. »
Il a pris mon visage entre ses deux grandes mains et à poser sur mes lèvres un baiser humide avant que la porte du taxis de s'ouvre. A l'instant ou il s'est éloigner je me suis précipitée dehors ...bouleversée.
Je ne m'attendais pas à se baiser, pas du tout. Il avait dit qu'il ne me ferais jamais rien. Et pourtant, et pourtant ... A l'instant où ses lèvres avaient toucher les miennes une odeur entêtante et suave avait prise toute la voiture. Je l'avais à peine remarquer, elle était faible et omniprésente avant, mais ce soudain baisé l'avait attiser et me l'avais fait sauté au visage : l'odeur du désir.Impossible ... Impossible, et pourtant ce n'était pas faute qu'on me l'ai dit seulement je me voilais la face. Oui il m'aime, et quand il dit qu'il me veut pour compagne il le pense. Je ne voulais pas vraiment y croire parce que j'avais peur, mais avec cette effluve, ça c'était plus fort, ça m'obligeais à voir la réalité en face.J'avais l'esprit empêtrer, détourner de son attention primale des'échapper. On aurais dit que cette odeur était une mélasse dans la quelle je me retrouvais engluer. Quelque chose en moi réclamais le retour de cette odeur, je ne l'avais jamais senti que fugacement chez Gabriel, et ce n'était pas tout à fait la même avec mes parents, non, cette odeur avait le parfum d'un amour ... spécial.
Alors que je cherchais celui qui avait arranger mon embarquement une imposante voiture noir apparut au détours d'un virage. Ils ne peuvent pas m'avoir déjà retrouver ?! Je me met à courir,c'est la seule solution. Où est il ? Où est il ? Soudain j'entends des pas de courses derrière moi ! J'accélère, je cours aussi vite que je le peut. Quelque chose, une main, m'attrape au poignet et me tire.
« -Plus vite Sarah, par la ! »
Joshua ?Il me tire un coup à droite, un coup à gauche, dans les dédales des couloirs de l'aéroport de Tokyo. Derrière nous j'entends des voix menaçantes se rapprocher, et des pas, beaucoup de pas, nos poursuivant vont nous rattraper à ce rythme.
« -Il doit être quelque part ! Par là !
Tu sais où tu vas ?! Joshua !
Pas du tout, mais court ! »
Il tire toujours plus fort sur mon bras pour m'entraîner au loin. On va y arriver ? On va les distancer ? Et soudain un bruit mat vrille l'air quand un coup de matraque s'abat sur l'arrière du crâne de Joshua. J'ai juste le temps d'écarquiller les yeux quand il pousse un cris à mis-chemin entre le gémissement et le râle. Il s'écroule net, face contre terre. La stupeur ne dure qu'une seconde car la seconde suivante une vive douleur se fracasse sur l'arrière de ma tête. Immédiatement je perd connaissance, la douleur est trop vive ... Ils m'ont défoncer le crâne ...
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