Chapitre 4, part 3
Je suis arriver devant la maison au milieu de la nuit, épuisée. Et puis j'ai fondu en larme, c'était plus que quiconque pouvait en supporter. Maman à ouvert la porte, m'a fait entrer, ma servit à manger et à boire, le tout sans dire un mot. Papa s'est réveiller,à pleurer avec moi, m'a pris dans ses bras, m'a engueuler si fort que mes tympans en on trembler, m'a coller une gifle avant de me resserrer de nouveau contre lui. Moi ... Moi j'ai pleurer, juste pleurer en le serrant aussi, autant que je le pouvais avec le reste de mes forces. Papa ... Papa ... Papa ...
« -Sarah ... Monte dans ta chambre, il faut qu'on parle.
NON !! ON AS DÉJÀ PARLER MAMAN !! MAINTENANT C'EST TOI QUI VA M'ECOUTER !! Arrête de décider de ma vie pour moi ! Merde ! »
Je n'avais jamais parler comme ça à ma mère. C'était de l'insolence,et une rébellion contre l'Alpha. C'était la pire chose qu'un loup puisse faire, ça engendrais toujours un conflit de sang. Car un membre de la meute qui retourne l'autorité du chef doit soit le battre et imposer sa lois, soit se prendre une rouste et partir. Ma mère à frémit, mon père à blêmit, mais aucun des deux aussi choquer soit il n'a broncher. Je sentais d'ici ma mère bouillir de l'intérieur. Elle m'a frapper, si fort que les larmes me sont montée aux yeux. La deuxième fois que je m'en prenait une ce soir, et j'en avais assez ! J'en ai assez de m'en prendre plein la tête partout le monde sous prétexte que je dois faire un choix de merde !J'ai que 16 ans purée ! J'ai pas à décider de qui sera mon futur maris ! Ça ne se décide pas ! Ça s'impose avec le temps, c'est pas comme ça que ça marche. Qu'est-ce-qu'ils ne comprennent pas !?
« -JE N'ÉPOUSERAIS NI JOSHUA NI GABRIEL NI AUCUN AUTRE TU M'ENTEND !JE VAIS FAIRE CE QUE MOI JE CROIT BON ET TU N'AURA RIEN A DIRE LA DESSUS !! ET MOI JE CHOISIT DE RESTER SEULE ET LIBRE !!MAINTENANT TU NE POURRA JAMAIS M'OBLIGER A VIVRE A L'ETRANGER !!TES EUGÉNISTES JE M'EN FOU !! JE RESTE ICI !! ET JE NE CHANGERAIS RIEN A MA VIE !! QUOI QUE TU EN DISE ! »
Après avoir fini de hurler j'ai longtemps attendus une réponse, qui n'est jamais venu. Mère m'a juste regarder, ses iris sont passé aux jaune incandescent et elle m'a tuer d'un simple regards. J'ai vus, j'ai put lire dans ses yeux « Fait ce que tu veut, mais tu ne fait plus partit de ma meute. » Et puis elle est monté se coucher. Papa m'a regarder avec des yeux éteint et curieux. J'ai continuer de haleté la gorge en feu avant de me retrouver dans le noir. Je n'ai pas sut comment, mais papa s'était ranger dans la suite de maman,comme un bêta obéit à son alpha, et il était aller se coucher.Peu être que pendant une seconde la thérianthropie avait été si présente qu'il l'avait sentit ? En tout cas pour lui aussi,j'étais désormais une étrangère. Alexis, la prochaine fois qu'il poserais le pied dans la maison adopterais aussitôt cette notion. Et Gabriel ... Gabriel serais le premier à la prendre en considération : je ne suis plus une louve de la meute de Pitivièrese. Et comme je n'appartient plus à la meute il peut me faire ce qu'il veut, je ne suis sous la protection de personne. A cette instant j'ai compris que les loi et les instincts thérianthropiques chez les gros gabarit c'était tout ce qui comptait, ce qui conterait toujours, avant même les lien familiaux ou les sentiments. Au fond, eugénistes ou humanistes, c'est pareille : ils veulent tout contrôler.
J'ai ouvert les yeux le lendemain tout semblais normale et puis d'un coup j'ai été agressé : mon nez me piquais d'une odeur si forte et si acide que j'avais l'impression d'avoir un piment dans chaque narine ! Ça hurlait « Tu es sur le territoire d'un gros gabarit, va t'en ! Va t'en ! Va t'en ! VA T'EN ! »
Je me suis lever, habiller en vitesse, et j'ai quitter la maison le plus vite possible. Une fois sortit j'ai eut une révélation : si je voulais pouvoir dormir la nuit il allais falloir que ... que je m'impose dans la maison. Que je forme mon propre groupe à moi seule,que je m'affirme en solitaire. A partir d'aujourd'hui je devrait me battre pour vivre dans ma chambre. C'était une guerre déclaré ...Ma mère et moi étions devenus rivales pour un même territoire. Un pointe de fierté et d'orgueil s'immisça en moi : hors de question que je me laisse chasser de cette endroit où j'avais passer toute ma vie. Hors de question ! J'allais me battre !J'étais assez forte pour ça ! Durant tout le trajets mes pensé ne furent tourné que sur ça, une véritable obsession : mère et moi n'en viendront jamais au main, tout allais se jouer avec le Soul et les marquages.
Première chose à faire, éviter les conflit. Je ne suis pas folle, je sais que ma mère est très puissante et que je suis encore trop inexpérimenté pour la défié. Pour entraîner mon Soul rien de mieux que le lycée. Devenir plus dominante, s'imposer en temps qu'Alpha ! J'avais toujours été l'oméga mais les choses allait changer maintenant ! D'abord s'entraîner sur les petits gabarit et ensuite remettre en place les gros. Le plus dure serais sans doute de rester incognito sous mon camouflage tout en m'imposant.
Deuxièmement,éviter la meute de ma mère. Parce que si moi je suis seule elle elle a plusieurs mâles en grande formes et en pleines possessions de leurs moyens pour l'aider à me chasser. L'idéale serait d'avoir moi même des alliées, pas évidant à trouver ça.
Troisièmement l'odorat. C'est sur ça que le conflit va être le plus constant. Il faut que je marque ma chambre de mon odeur d'une manière forte, mon parfum tient, et mon déo. Il faut que mon odeur soit partout et le plus tôt possible. Ça se sera pour la guerre de position.
Le bus ce gare alors que je me retrouve à planifier un genre de 3ème Guerre Mondiale. J'en ai déjà mal à la tête. Mon attention est soudain attirer par un félidé de tout petit gabarit qui se tient devant l'entré du lycée gêne un tout petit peu le passage :c'est l'entraînement parfait ! Je projette violemment mon Soul en avant droit sur ma cible qui se prend mon agressivité de plein fouet. Je la voix tressaillir alors que je suis encore à plusieurs mètres avant de se décaler du passage. Au moment où j'arrive à sa hauteur je vois qu'elle me suis du regard. Elle n'est pas la seule d'ailleurs. Deux ou trois autres thérianthropes intrigué me regarde en coin, se demandant sûrement pourquoi tant de haine pour un truc aussi ridicule. C'est peu être un acte excessif mais au moins ça marche et ça m'entraîne. La prochaine fois j'essaie de m'imposer à une place déjà occuper dans ma classe.Je parcourt les couloirs en cherchant Anaëlle, Mike et Jonathan.Lorsque je les vois ils sont avec ... Joshua, merde. J'hésite à faire demi-tours et puis finalement non. Après tout ça ne sert à rien, il est dans ma classe, je vais forcément le croiser d'ici 20 minutes alors je ne vais pas me priver de mes amis.Je tapote l'épaule d'Anaëlle en souriant :
« -Bonjours tout le monde. »
Ils se retournent tous ahurit.
« -Sarah ?!
Bah quoi ? J'ai quelque chose sur le visage ?
Pourquoi t'étais pas la hier !? Jonathan nous a dit que tu avais déménager ! Que tu reviendrais plus !
Nan, j'étais juste malade. Mais ça va mieux. Et vous ? Tout baigne ?
Ouais, niquel. »
Mis à part Anaëlle on sent bien le malaise ambiant et puis d'un coupelle décide de partir parce qu'elle doit réviser un contrôle pour l'heure qui arrive, me laissant seul face aux trois garçon. Aussitôt qu'elle a disparut c'est l'avalanche de question :
« -Mais tu avais pas fuguer toi ?!
Si mais ... Je suis rentrer chez moi.
Ouf ... Bon sang mais qu'est-ce-qu'il t'a pris de nous faire aussi peur ! J'ai crut que je te reverrais jamais !
Calme toi Jonathan, je suis pas morte. Bon c'est un peu long a expliquer et assez bizarre donc voilà : je me suis disputer avec ma mère et du coup elle et moi c'est devenu la guerre froide.
Plus que ça même ... Pas vrai ? Toi aussi tu as sentit Jonathan ? Son odeur à changer.
T'as raison ! Me dit pas que ... snif snif ... Ta mère t'a renier. T'a plus l'odeur de ta meute ! Bon sang Sarah !! Ta mère t'a renier de ta meute !!!
Oui et non, disons que je forme ma propre meute maintenant.
Excusez moi mais je ne comprend pas un traître mot de vos histoires de canidés. Tu peut m'expliquer ?
Mike, tu vois la meute c'est la famille auquel tu appartient.
Ça merci j'avais compris.
Pour un canidé et le radier de sa meute c'est comme être exclus de tout. C'est etle un lenegat, un bannis, un renier. On ne compte plus, on devient un ennemis à abattre pour le gloupe.
Dons Sarah est ...
Elle est devenus une étrangère pour sa famille. Un ennemis, un intrus dans sa propre maison.
Mais c'est quoi ce foutoir ? Comment tu t'es débrouiller ?
J'ai revendiquer mon indépendance et ma mère n'a pas apprécier la rébellion : me voilà toute seule. Enfin non, pas toute seule, j'ai Jonathan non ? Pas vrai Jony ? On fait partit de la même meute toi et moi ?
Bien sûr ! Bon je te cache pas que ta m... Ton ex-meute me fout les foies mais ...
Et avec moi ça fait tlois.
Ah ... Merci Joshua c'est ... Sympas de ta part.
Et Mike ? Même s'il est reptilien il fait partit de la bande, pareille pour Anaëlle tu sais. On est tous tes amis Sarah, tu n'es pas toute seule.
Merci les gars, c'est cool. Ah au fait, je peut te parler en priver Jonathan ?
Bien sur. »
Je l'éloigne de Mike et Joshua avant de me jeter sur son dos en riant et de lui frotter la tête. Je le décoiffe un maximum :
« -Alors petit cachottier ! Pourquoi tu me l'avais pas dit avant ?
De quoi tu parle ?
Toi et Mike ? Ça date depuis quand ?
Bas on est amis depuis le début du lycée, mais ça tu le savais déjà.
Oh fait pas l'innocent, il a débarquer chez toi hier. Et il avait plein de suçons dans le dos.
QUOI ?!
Fait pas l'innocent je te dis. Et si tu veut savoir comment j'ai vus son dos : c'est lui qui s'est mit torse nu devant moi. Alors ? Depuis quand ?
Euh ... bah ... euh ...
Rougis pas aller, accouche. Je vais pas te manger.
4 mois ...
Pendant les vacances d'été ? Ah ouais ? Et sinon, ça marche bien entre vous ?
O-oui ... ça v-va ...
Oh t'es trop chou quand t'es timide ! Il était pareil. Je te jure vous êtes trop mignons.
T'es folle.
C'est bon, t'inquiète. Je vais pas t'embêter avec ça. C'est juste que j'aurais aimé que tu m'en parle.
Pour quoi faire ?
On est ami non ? C'est toi qui l'a dit. Tu aurais pas eu à te cacher devant moi. Ça me pose pas de problèmes tu sais.
Oh c'est bon tait toi. Toi t'es pas foutus de te trouver quelqu'un alors ...
Je sais mais tu vois c'est compliquer.
Je croit que c'est toi qui te complique la vie Sarah. »
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