chapitre 8
Proche de l'étalage je tend ma main vers un marteau, mes menottes sont vieilles peut-être qu'avec un peu de force je réussirais à les faire lâcher.
Alors que je m'apprêtais à forcer mes chaines je sentis une main se poser sur mon épaule. À ce moment là je cessa de respirer, mes jambes se paralysèrent et mon geste resta en suspense.
- Je pensais t'avoir dit de ne pas ouvrir ta petite bouche sur ce qui s'était passé, tu ne la pas fait et maintenant je te retrouve en train de faire joujou avec mes outils... Tu sais ce qui t'attend, non ?
Il me tourna face à lui et m'arracha le marteau des mains pour les maintenir au dessus de sa tête.
Je sentis sa main libre faire son chemin jusqu'à mes hanches. Mon corps était prit de frisson de dégout. Ma gorge était serrer alors que je savais vers où les choses allait. J'essayais tant bien que mal de trouver une échappatoire, trouver un moyen de sortir de son emprise.
Pourquoi a-t-il fallut que Lucas parte !?
- S'il-vous-plait, laisser moi, j-je ne tenterait plus rien, je le promet...
Le suppliais-je.
Ce vieux porc me regardait de haut en bas, mes paroles le faisait sourire.
Il en a rien à faire de moi ou de ce que je veux, ou même de ce que son fils veut. Il utilise toujours la force brut comme si cela lui donne raison.
- Lâcher moi. Insistais-je.
Mais il ne lâcha pas, sa main maintenait fermement mes poignets, tandis que son autre main parcourait mon corps pour remonter le chandail qui était mon seul vêtement avec mes sous-vêtements.
Mon corps tremble, les larmes frayent leur chemins sur mes joues alors qu'il arrache mon vêtement à défaut de ne pas pouvoir me lâcher.
Je balaye la pièce, si cela continue je vais... je vais me faire...
Ma respiration se fait rapide alors que mon cœur bat si vite et si fort que j'ai l'impression qu'il va sortir de ma cage thoracique.
Mes sens sont tous contrôlé par la peur. Comme si je m'éveillais enfin je me débat, plutôt je me tortille.
- Sa suffit! Dit-il d'une voix ferme.
Il n'y a rien a faire c'était comme si je voyais tout d'un autre point de vue, comme si je n'étais plus dans ma tête. Je me mis à me débattre plus violement, il cria, mais je n'entendais plus rien mon la voix dans ma tête qui me hurlait de tout faire pour partir.
D'un coup mon corps fur projeter sur le sol, la pièce tournait autour de moi.
Il vient de me frapper...
Je sentis son poids sur moi, il me surplombait, bien décider à finir ce qu'il avait commencé.
Il allait de plus en plus loin, ses mains caressait ma poitrine, sa bouche avait trouver mon cou que sa langue léchait.
Je tentais toujours de fuir, même si ma tête me donnait le tournis, même si plus vraiment a différencier le haut du bas, même si il n'y avait aucune issue.
Alors que je me tortillait mes mains touchèrent quelque chose, une matière froide, comme du métal.
Je ne pensais plus vraiment à ce que je faisais, seulement que peu importe de quoi il s'agissait cela pourrait m'être utile.
Je pris la chose et assena le coup le plus fort que je pouvais aux gorille que me surplombait.
Ce fut assez pour l'éloigner de moi, je l'entendis grogner alors qu'il se tenait la tête avec douleur.
Le regard qui me lança me glaça le sang. Malgré les tremblement de mon corps et ma tête qui tournais, je me releva.
Cependant, l'homme avait décider de me tirer les cheveux, il m'insultait, me traiter de tout les noms, me disant que je lui appartenait et que jamais je ne pourrais sortir de cette enfer.
Je tentais de m'accrocher à l'étalage, comme si elle était mon seul espoir. Encore une fois mes mains touchèrent quelque chose, un manche en bois, j'aperçus à peine l'objet que je l'utilisa pour attaquer mon agresseur.
Il me fallut quelques secondes pour réaliser que je venais de planter une hachette dans la tête du père de Lucas.
Je recula sous le choc, tout était arriver si vite que mon cerveau avait du mal à comprendre.
Mon dos heurta le murs en béton du sous-sol, mon corps entier tremblait tandis que les larmes ruisselait sur mes joues.
Mes yeux fixait le sol où le liquide rouge s'étendait.
Je n'arrivait plus à regarder autre chose que le corps étendu devant moi.
Qu'est-ce que j'ai fais.... ?
Je sentis soudainement mon maigre repas remonter dans ma gorge avant que le tout ne ressorte sur le sol.
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