Le glas sonne. (Ouais j'avais pas d'idée😂)

Ça faisait cinq minutes qu'elle attendait sur les canapés devant le bureau du principal. Deux minutes avant un surveillant était rentré accompagné de la psy et de l'assistante sociale du collège, super maintenant on croyait qu'elle était folle.
-Mlle Taiyō, je vous en prie rentrer. Ces simples mots inoffensifs la firent trembler. Elle rentra dans la salle et s'assit sur la chaise. La psy et l'assistante sociale la regardait d'un regard doux, ce qui ne la mettait tout sauf à l'aise, mais le surveillant la regardait avec méfiance.
-Donc, j'aimerais savoir ce qu'il c'est passé avec tes camarades dans la cour.
-Je- je suis rentrer dans la cour et... elle commença son récit. Elle ne parla pas de qui elle était vraiment, elle ne voulait pas qu'on la prenne pour une folle, enfin si il lui restait un peu de crédibilité. Le principal écouta attentivement tout ce qu'elle avait à dire avec patience tout en hochant la tête pour l'encourager à continuer. La psy et l'assistante sociale se consultait et écrivait dans leur carnet tout en guettant les réactions de la jeune fille. Quand au surveillant, il se contentait de regarder la scène.
-Explique moi, si tes camarades t'avaient déjà fait subir des coups et autres, pourquoi et tu revenue vers elles? Demanda l'assistante sociale.
-Je- je l'avais oublié...? Tenta t-elle. Elle hocha la tête et suivit avec une autre question:
-Tu peux me redire qui à sortit ce couteau de son sac déjà?
-Selena...
-Bien et maintenant, as-tu une idée de la raison pour laquelle elle te harcelait? Et pourquoi n'as tu rien dis? Pour quel raison tu t'es rebeller seulement aujourd'hui? Serait-ce à cause de la mort de ta sœur? Est-ce que ça t'affectes beaucoup? Taiyō eu un mouvement de recul devant ce flot de questions.
-Du calme, intervient la psy. Taiyō, tu n'es pas obligée de répondre à ces questions, nous sommes là pour t'aider, pas te pénaliser.
-Je vais bien. ne put-elle s'empêcher de répondre. La psy s'avança et la prit par les épaules.
-Si tu as besoin de parler ou de quelque chose tu as tout les adultes avec qui parler.
-Tout ce dont j'ai besoin pour l'instant c'est d'espace et d'air! Elle poussa la psy loin d'elle et essaya de respirer convenablement, elle avait l'impression d'être dans une boîte. Elle remarqua que le surveillant s'était déplacé et avait ouvert la fenêtre. Elle le remercia. On toqua d'un coup à la porte.
-Entrer. La porte s'ouvrit sur deux officiers de police.

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