🔱10🔱
JK
Le soleil ayant du mal à se lever, je le regarde dormir paisiblement. Enfin je pense qu'il dort paisiblement. Son visage est détendu et ses iris ne sont pas agités. Et puis, je nai rien fait pour l'empêcher de passer une excellente. Étant à ses côtés, ça ne serait nécessaire à part si je veux être fourbe même avec lui. Ses mains tiennent durement le drap noir de notre lit tandis que son corps est recroquevillé, comme si il voulait se protéger de quelque chose. A-t-il eu peur de mon départ ? Croyait-il que j'allais l'abandonner ?
Je soupire devant mes nombreuses questions le concernant. A vrai dire, je m'ennuie lorsqu'il dort. Étant dans leur monde, je n'ai besoin de dormir plus de dix minutes et puisque je reviens à peine de mon petit contretemps, je ne ressens aucunement la fatigue. Dans un sens, ça me permet de le regarder dormir. Il est tellement beau que me dire qu'il m'appartient, me réjouis plus que nécessaire. Il sera bientôt ma reine, vivra et régnera à mes côtés. J'ai tellement hâte. Mais faut que je reste patient. Son éveil commence à peine et même si le processus est en marche depuis plus d'un mois, le fait d'être dans le déni, ça le ralenti énormément.
Certes, j'ai mon petit secret mais bientôt, il ne sera plus efficace donc plus vite son éveil se termine, plus vite le processus reprendra là où il s'est arrêté. J'ai tellement hâte de voir son changement physique. Rien que d'imaginer son visage, ses yeux ou encore son corps, mon excitation ne peut qu'être plus grande. Me dire qu'il sera ainsi pour pouvoir vivre avec moi, me réchauffe le coeur. Enfin, le morceau de coeur qu'il me reste.
Je le vois bouger, se rapprochant de mon corps. Son instinct lui dit d'agir ainsi et je suis content qu'il le suit sans rechigner. Je me dis que c'est un bon début surtout qu'il essaye encore et toujours, de nier ce qu'il se passe autour de lui. Bon, je ne dis pas que son attitude n'est pas normal surtout venant d'un être humain, mais je suis content qu'en fin de compte, il fait tout pour combattre ce petit refus. Et puis, ces petits bruits plaintifs et ses soupire d'aise lorsque sa tête rencontre mon torse, me montrent qu'il fera tout pour y parvenir et pour mettre un terme à ce néant qui recouvre son esprit.
Ses yeux s'ouvrent délicatement non loin d'être agressé par la faible luminosité, et les pose sur mon visage. En me voyant, je vois du soulagement peindre ses orbes brunes. Rien que ça me pousse à le prendre dans mes bras. Certes à mon geste, son corps se tend mais il décide d'entourer mon corps de ses bras.
_ Bien dormi ?
_ Hum... Peut-être. Je souris à ses dire murmurés.
_ Tu sais... J'allais revenir. Je ne vais pas t'abandonner donc tu n'as rien à craindre.
Même si ses mots manquent, ses gestes me répondent. Resserrant ses bras autour de mon corps, je sais que c'était les paroles qu'il voulait entendre. Je le sais puisque comme je l'ai dit, je connais tout de lui, allant des ses jours de joies à ceux remplis de tristesse et de colère. Les personnes ayant occupés sa vie ne me sont pas inconnues, et encore moins ce petit humain qui a partagé sa vie avec ma reine pendant des années. Cet humain ne restera pas impuni éternellement mais pour le moment, je resterais sur le banc de touche, attendant juste l'heure de sa mort. Seulement, j'espère juste qu'il fera face à Thanatos. Je veux que sa mort soit dure et affreuse. Je veux qu'il souffre même après que son dernier souffle se soit envolé.
_ Tu... Tu me fais mal.
Entendant son couinement de douleur, je baisse la tête et remarque que je n'ai pas géré ma force devant mes pensées qui se faisaient de plus en plus monstrueuse.
J'ai envie de m'excuser mais lorsque ce mot s'apprête à franchir mes lèvres, une gêne se fait ressentir au creux de ma gorge. Ce ne sera pas aujourd'hui que je réussirai à le faire.
_ Je te pardonne.
Surpris par ses paroles, j'écarquille les yeux sous son doux sourire. Je veux lui faire part de mon ressenti dans cette soudaine prise de parole mais il me devance.
_ Tu me l'as dit, tu es le Diable donc il y a des choses qui te seront impossible.
J'ai l'impression que ça fonctionne de plus en plus puisqu'il réussit à dire le fond de ses pensées sans en avoir peur.
_ Et puis tu m'as dis que tu ne me ferais jamais de mal donc je supposes que tu pensais à quelque chose qui ne te plaisait pas.
_ Tu le sauras, peut-être un jour.
Il hoche de la tête toujours contre mon torse, alors que je souris.
_ Par contre, j'ai remarqué que ma petite absence t'a aidé à t'ouvrir à moi. C'est un excellent début.
_ J'essaye de me convaincre, je l'entends soupirer. Er puis, hier, mon frère m'a appelé et m'a demandé ce que j'étais entrain de faire à la bibliothèque.
_ Il ne t'a pas cru.
Qui l'aurait cru de toute façon. Moi-même je sais que cette histoire serait tiré par les cheveux. Mais bon, étant le protagoniste principal de cette histoire que j'ai moi-même commencé, je ne la trouverais jamais farfelu surtout lorsque je connais déjà la fin. Certes, il y aura des péripéties toutes plus au moins compliqués pendant son déroulement, mais sa fin restera inchangé. Et rien que ça, ça me suffit.
_ Ce n'est pas grave, d'ici là je trouverais une explication.
_ Donc tu as finalement acceptés ?
_ Non, mais d'après ce que j'ai compris, je n'aurais pas le choix. Et puis, je sais que dans le processus, ma mort est envisageable.
Je le regarde alors qu'il n'ose pas croiser mes yeux. C'est vrai que cette idée m'avait traversé l'esprit, mais jamais je ne ferais ça.
_ Jamais... Cette fois-ci ses yeux s'ancrent dans les miens. Te tuer n'est pas envisageable. Oui, il y a un moyen qui consiste à te faire mourir pour accélérer le processus mais j'en ai décidé autrement. Je ne me le répéterai jamais assez mais je ne te ferais jamais de mal, Jimin. Et puis, si cela aurait fonctionné, je n'aurais garantie ton changement complet. Imagine j'aurais choisi ce premier processus qui engendre ta mort, qui me dit que j'aurais eu ma reine devant moi. Vu que tu t'es renseigné, tu dois savoir qu'un mort ressuscité ne revient jamais seul.
_ Oui...
_ Si tu meurs, qui me dit qu'un de ces petits démons de bas étages ne vont pas en profiter.
_ C'est déjà ça, son sourire ne trompe personne. Je sais qu'il s'inquiète mais d'un autre côté, il est soulagé de voir que même derrière mon statut, je ne lui ferais rien.
Il se lève soudainement et va dans la salle de bain. Étant toujours dans le lit, je soupire mais me redresse afin de quitter la pièce. Soudainement, je sens sa présence derrière moi, me soutirant un léger sourire. Sa main accroche mon t-shirt tandis que sa voix retentit :
_ J'aimerais... Te connaître.
_ Mais tu me connais déjà, chaton.
_ Pas de cette manière, il relève la tête et me regarde timidement. Je veux dire... comme des humains.
_ C'est assez ridicule mais je ferais un effort pour toi.
Une fois dans la cuisine, il s'installe autour de la table et décide de manger ce qu'il y a soit des fruits, des gâteaux et le lait de la Vouivre. En le voyant, je le vois frissonner mais étrangement, il prend le verre entre ses mains et l'apporte à sa bouche. Son nez se retrousse mais le liquide rencontre ses lèvres roses. Je le vois grimacer mais son visage se détend.
_ Tu aimes ?
_ C'est doux... Il me regarde de ses yeux brillant.
Souriant légèrement, mes yeux sont attirés par la trace de lait qui est délicatement posée sur sa lèvre supérieure. Mon sourire change soudainement. Je sais que je peux paraître étrange mais je trouve ça merveilleux de voir que chacune de ses actions peut me faire sortir aussi bien mon côté psychopathe qu'un côté inconnu jusqu'à sa rencontre.
Captant mon regard, et n'ayant rien ressenti, je m'approche de lui et attrape sa lèvre supérieure entre les miennes. Je le sens sursauter mais heureusement pour moi, il ne recule pas. Il se rapproche même du début de mon étreinte.
L'une de mes mains se posent sur sa nuque alors que je suçote sa lèvre. Mon geste le ferait presque fondre entre les bras tant je sens ses forces diminuer. Il n'est pas indifférent et ça me plaît.
Rompant ce désir brûlant qui émane de mon corps, je lui refais face. Ses yeux clos, il passe sa langue sur ses lèvres avant de me regarder. Ses pupilles dilatées me font sourire. A dire qu'il est mien et que se regard me sera montré à chacune de mes tentatives.
_ Parle moi de toi, dit-il dans un murmure. Je souris mais me munis d'une fraise que j'apporte à ma bouche.
_ Que veux-tu savoir, hm ? Je croque dans la fraise sous ses yeux qui suivent chacun de mes gestes.
_ Tout.
_ Vraiment ? Il acquiesce d'un hochement de tête sous mon sourire.
Je lui tends l'autre morceau de fraise qu'il prend entre ses dents, mon sourire ne quittant pas mes lèvres.
_ Je n'ai pas d'âge, commencé-je. Même si j'ai des frères et sœurs, je n'ai pas d'âge sauf si pour m'amuser, je viens dans ce monde et me faufile entre les humains. Pour cela, je m'attribue la vingtaine d'année.
_ C'est peu.
_ Chaton, suis-je si vieux que ça ? Mes sourcils se haussent sous cette question.
_ N-non... Tu as l'air même plus jeune que moi.
_ Dis toi que ce n'est qu'un effet d'optique. Je ricane légèrement. Je n'ai peut-être pas d'âge mais si tu veux un exemple, les dinosaures sont de petits lézard.
Je le vois sourire à ma comparaison quelque peu véridique, ce qui me fait extrêmement plaisir.
_ Donc comme je te disais, dans le monde des humains, j'ai la vingtaine d'années et mon nom de famille est Jeon.
_ Jeon Jungkook... Répète-t-il dans un chuchotement.
_ Ensuite, comme tu t'en doutes, la couleur des yeux correspond la plupart du temps, à une catégorie, une rang et un pouvoir. Pour ma part, j'ai toujours eu les yeux rouges, et bien avant l'apparition de mes pouvoirs. Je suis ce qu'on peut appeler, un précoce. Je ris à cette bêtise sous son regard froncé.
_ L'apparition de tes pouvoirs ? Donc tu es né comme nous autres. Sa tête se penche légèrement sur le côté montrant sa forte réflexion et sans le cacher, je ne peux que le trouver à croquer.
_ Bien-sûr. Tu sais chaton, les démons ne naissent pas grâce à une fleur ou pire encore, ce n'est pas la cigogne qui le ramène dans un drap blanc. Je sais que mes paroles peuvent être mal interprétés mais le voir rougir devant elles, me pousse à voir le bon côté des choses. Nous avons tous des parents. Me concernant, ma mère est une simple démone qui a réussi à charmer mon père.
_ Ton père... C'est Satan ?
_ Chaque Diable régnant dans ce monde porte le nom de Satan. Je porte ce nom là, mais je suis aussi le Malin, Belzébuth, le Prince des ténèbres, Iblis, le serpent, l'Ange déchu, Lucifer... Et bien d'autre. Bien-sûr, comme tu le sais maintenant, ces mots ne sont pas tous vrais dont Lucifer. Je n'ai rien à voir avec cet ange donc oublions ce petit malentendu. Il acquiesce sous mon sourire de reconnaissance.
J'ai toujours détesté être appelé ainsi et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait changer.
_ Mon père était Satan, mon grand-père avant lui a été Satan et ainsi de suite. Normalement, Satan prend la place de son prédécesseur lorsqu'il meurt mais pour ma part, mon père a abandonne son trône.
_ Mais les démons ne meurt pas, si ?
_ Tout le monde fini par mourir un jour ou l'autre et nous n'en faisons pas exception. Enfin, nous concernant, seul un autre démon du même rang que moi peut nous tuer. Mon père le peut ainsi que mes frères, cependant, ils ne le feront pas. Et puis sans te le cacher, je suis bien plus fort que ces démons de pacotilles. Dis-je en souriant alors que l'image de ma fratrie me répugne au plus haut point.
Certes ils n'en feront rien mais je n'ai jamais eu confiance en eux. Posséder ce que eux ont toujours convoité est un mobile d'assassinat mais que veulent-ils, ils en sont incapable donc ce ne sera pas demain qu'ils réussiront à me faire sauter de ce siège.
_ Mes pouvoirs ont été inhibés pour ne pas blesser et prendre le risque de tuer ma mère. J'ai, d'après eux, volontairement empêcher les pouvoirs de se développer car ma mère étant une démone de bas rang, risquait d'y laisser la vie. Et puis, même si je suis le huitième de la fratrie, je suis le plus puissant.
_ Le huitième ? J'affirme en souriant devant son visage surpris.
_ Je te l'ai dit, nous sommes nombreux et même si nous n'avons pas d'âge, le monde existe depuis plus d'un millénaire donc pas de problème sur ce côté là. Chacun a sa place et nous voilà. Il hoche de la tête.
_ Et donc... Maintenant tu y règne, et seul. C'est bien ça ?
_ Oui mais pas pour longtemps, je le vois baisser la tête alors que les couleurs vives présente sur ses joues me font sourire. Mes pouvoirs me donnent plusieurs possibilités mais ça, tu le sauras bien assez tôt. Mes yeux changent de couleurs lorsque mon humeur se voit être modifié mais ce phénomène se produit que très rarement. Enfin, lorsque je suis ici, mes yeux restent essentiellement rouge.
_ Oui, comme dans les films. Ils peuvent devenir noirs.
Son excitation devant une telle remarque me fait ricaner. Dire que je pourrais me sentir insulté devant cette comparaison mais le concernant, j'en suis flatté. Dire que depuis toujours et sans le remarqué, je l'intéressait plus qu'il ne l'imagine.
_ Chaton, les films ne révèlent pas tout le temps la vérité, il boude légèrement. Mais on peut dire ça comme ça. Le noir a une signification bien particulière mais qui reste commune à tous les démons.
_ C'est vrai ?
_ Oui, je lui caresse la joue et reprends toujours en le regardant : le noir signifie l'envie de tuer. Cette envie doit être à son paroxysme. Elle doit être dans la limite du non retour.
Je le vois déglutir à cela mais n'y prête pas trop attention, ne voulant pas trop l'effrayer sur une quelconque chose concernant cette couleur.
_ Il en faut pour me pousser à agir de la sorte, dis-je en remettant ses cheveux derrière l'oreille. Le violet est pour la luxure et le doré, pour la colère. Cependant, une couleur que seul moi possède peut peindre mon iris sauf que jusqu'à aujourd'hui, je ne la connais pas.
_ Mais tu sais à quoi elle se réfère ?
_ Oui, mon sourire disparaît à cette idée saugrenue mais qui ne m'est impossible. La souffrance.
Je le vois réfléchir à mes dire. Je me doute de l'objet principal de sa réflexion mais qu'il le sache maintenant ou plus tard rien ne changera. Depuis que je sais qu'il m'est destiné, cette couleur serait le début de tout comme de rien. La souffrance m'est normalement, inaccessible sauf si je possède un être qui sera mon tout. Un être qui serait l'autre moitié de mon coeur sanguinolent. Jimin, ma reine, sera mon point faible et nous savons tous qu'une fois à la maison, mes ennemis en feront usage.
Je soupire à cette pensée avant d'être interrompu par les mains de Jimin qui se posent mes joues.
_ Je dois faire attention, c'est ça ?
Surpris par ses paroles, je papillonne des yeux mais finis par acquiescer. Il hoche de la tête, lui-même en accord avec cela et reprends mon récit sous ses caresses. Ses mains maintenant dans les miennes, je dis :
_ Comme pour mon nom et mon âge, cette taille est celle que j'ai choisi, si je devais sortir dans les rues humaines. Elle est bien pratique surtout quand on voit la petitesse de ton appartement.
_ Il est très bien mon appartement, me dit-il en grimaçant.
_ Je ne dis pas le contraire, mais tu te doute que ma taille n'est pas celle-là. Il affirme mais alors que je m'apprête à reprendre, il dit avec hâte.
_ Mais... Ça veut dire que tu viens souvent ici. Tu peux retirer tes cornes ?
_ Évidemment, chaton. En un claquement de doigt, mes cornes et ma queue disparaissent le temps d'un faible instant avant de reprendre leur place sous son regard ahuris. Pour ce qui est des mes venues, elles ont été diverses et variées même si la plupart du temps, c'était pour des réunions. Il m'arrive aussi de me déplacer pour faire le travail des incompétents mais ça, c'est très rare parce que quitter mon trône m'est presque impossible.
_ Et là, tu n'y es pas donc qui prend ta place ?
_ Personne, je lui souris. Bon c'est vrai, j'ai des conseillers très compétents et un Cerbère très en forme ces temps-ci, donc je peux me l'a couler douce même si comme hier, je dois reprendre mon rôle.
_ Et pour ta taille ?
_ Elle varie selon mes envies, aussitôt dit que j'apparais sur la table de la cuisine. Je peux mesurer qu'un faible quinze centimètres, avoir la taille d'un être humain, je reprends mon ancienne taille. Ou bien, être plus grand, bien plus grand. Mais celle là, ce sera pour plus tard.
Comprenant certainement là où je voulais en venir, il acquiesce vigoureusement sous mon rire. C'est fou comme il est mignon.
_ Et... Tes frères et soeurs ?
_ Eux... c'est une histoire assez bizarre quand on y pense. Je soupire légèrement. Ils ne m'ont jamais supportés parce que d'après eux, je leur avait volé leur précieux trône. Bien-sûr, je m'en fou pas mal puisque je n'ai rien à leur envier donc pourquoi leur en vouloir. Bon, c'est vrai qu'après des décennies, certains d'entre eux ont renoncé à me faire la guerre mais ils sont peu nombreux. Mais bon, ce n'est rien et puis, j'ai d'autre personne en qui je peux compter.
_ Qui sont-ils ? Me demande-t-il d'une petite voix.
_ En dehors de quelques personnes et de Cerbère, il y a un qui a toute la confiance. Je souris légèrement sous l'éclat de ses yeux. C'est Méphistophélès.
_ C'est ton suppôt, c'est bien ça ?
_ Exactement, je souris devant ses connaissances. Mais aujourd'hui, je le considère plus comme un ami, le seul qui plus est.
Il acquiesce mes paroles avant de soupirer fortement. Je sais que c'est compliqué mais lorsque le temps sera venu, ce sera plus facile. Enfin, il faudra d'abord passer ce petit moment de douleur et le tour sera enfin joué. En parlant de ça, une idée me vient en tête.
_ Dis moi chaton, il me regarde. As-tu ressenti des douleurs récemment ?
_ Non, dit-il en réfléchissant.
_ Pas même à la tête... Comme des petites migraines ?
Ses doigts aux niveaux de ses temps, il réfléchit avant de me répondre avec hésitation.
_ Des maux de têtes... Mais ils étaient faibles.
J'acquiesce d'un hochement de tête avant de laisser court à mon excitation et à mon sourire victorieux. Le remarquant, il me regarde étrangement ce qui accentue ma soudaine gaieté.
_ Encore un peu et le jour viendra.
On en connait un peu plus sur notre petit Diable
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