Chapitre 38 - Domination
PDV Magnus
— Tu l'aimes?
Ma voix tremble quand je pose cette question dont la réponse, je le sais me brisera à jamais. Je vois dans le regard furieux de mon ex amant qu'il a envie de me blesser, qu'il en besoin. Et après tout je ne peux que le comprendre, je le pousse à bout depuis qu'il est arrivé chez moi, je suis froid avec lui, je cherche à le dégoûter à l'éloigner de moi par tous les moyens.
— Oui.
Sa voix est tranchante et cruelle à la hauteur de sa peine. Peine que je lui ai infligé et que je continue d'entretenir par ma froideur. Mon coeur se serre violemment en entendant ce simple mot et ma douleur irradie dans tout mon corps. J'inspire pour calmer l'ouragan d'émotions qui fait rage en moi, puis je me recompose un masque d'indifférence et le toise.
— Bien, je suis heureux pour toi Alexander.
Sa mâchoire se contracte de colère, et son regard flambe de haine.
— Cesses de me mentir Magnus! Tu n'es pas heureux pour moi! J'ai bien vu ton regard quand j'ai répondu à tes questions, ça t'a blessé! crie t'il en avançant vers moi.
— Tu te fais des idées Alec...
— Ah tiens c'est Alec maintenant? C'est drôle comme à chaque fois que tu cherches à me repousser ou à me blesser tu emploies mon surnom! Bordel Magnus qu'est-ce que tu me caches?! hurle t'il en agrippant le col de mon t-shirt pour me repousser dans l'appartement.
— Je ne te cache rien! J'en ai juste marre d'entendre tes jérémiades, alors maintenant tu vas me lâcher et retourner auprès de ta chère fiancée! craché-je en me dégageant de son emprise.
— Ah tiens? Pourquoi? Tu attends quelqu'un peut-être?
— Ça ce ne sont pas tes affaires, mais en effet j'ai demandé à Camille de venir me rejoindre. lancé-je en lui tournant le dos, incapable de soutenir son regard sans flancher.
Son rire amer me donne froid dans le dos et je sais qu'il ne manque plus grand chose pour qu'il me haïsse définitivement.
— Dis-moi au moins une chose: est-ce que tu as pris ton pied ce soir là à la baiser sous mes yeux, dans le lit qu'on partageait?!
Je me mord la lèvre inférieure en retenant mes larmes. Pardonnes moi Alexander, il le faut. Je ne peux pas le laisser s'accrocher ainsi à moi, il en va de sa vie. Son père est toujours une menace et je ne doute pas qu'il le fait toujours surveiller. Je dois l'éloigner définitivement...
— Oui!!! Ça a même été la meilleure partie de baise de ma vie d'ailleurs si tu veux savoir! hurlé-je soudain en faisant volte face.
C'est comme si je pouvais voir son coeur et son âme se briser sous mes yeux. Son regard devient fou de haine et il marche soudainement droit sur moi. Il agrippe violemment mon t-shirt, me tirant contre lui et fond sur mes lèvres comme un rapace sur sa proie.
Le baiser est brutal, Alec pille ma bouche comme pour la revendiquer comme sa propriété tandis que ses mains glissent sur mes hanches pour me presser contre lui. Je rapidement sens la dureté du mur dans mon dos alors que mon amant me pousse contre, et je suis bientôt totalement prisonnier entre ses bras. D'abord surpris par la brutalité inhabituelle d'Alec et par sa réaction inattendue, je finis par céder en le laissant me posséder comme il l'entend. Je suis épuisé de le repousser, épuisé d'avoir continuellement mal à cause de son absence, tout ce que je désire à présent c'est de prendre ce qu'il veut bien m'offrir, même ça doit être la dernière fois.
Il glisse l'un de ses genoux entre mes jambes, puis il vient appuyer sa cuisse contre mon entre-jambe chauffé à blanc par la passion qu'Alec me montre et par ma longue abstinence. Je gémis lourdement dans le baiser quand ses mains s'emparent de mes fesses pour les malaxer, et je suis rapidement puni par une morsure sur ma lèvre inférieure.
Il n'y a pas d'amour ou d'affection dans les geste d'Alec, seulement un profond besoin de me prouver ce que je loupe en le laissant partir, de me marquer comme sien envers et contre tout. J'ai toujours aimé le côté dominant de mon amant, sa façon de mener la danse, de me posséder corps et âme, ne me laissant d'autre choix que de m'en remettre entièrement à lui et à sa volonté.
Soudain, il rompt le baiser pour me retourner contre le mur, me retire mon t-shirt et aussitôt je sens son torse se coller dans mon dos. Ses lèvres se perdent dans le creux entre mon cou et mon épaule qu'il suçote, me laissant probablement des marques de son passage. Ses mains s'emparent de la ceinture de mon pantalon qu'il descend sur mes jambes jusqu'à mes chevilles en même temps que mon boxer. A genoux derrière moi, il écarte brusquement mes fesses avant de venir dévorer mon intimité. Alors que je gémis lourdement, en voulant plus, il se relève et se recolle contre moi, ses doigts se faisant un passage entre mes fesses jusqu'à s'enfoncer brusquement en moi.
— Alors comme ça tu n'as jamais autant pris ton pied qu'avec cette salope? Voyons voir si je peux te faire changer d'avis. grogne t'il à mon oreille me faisant frissonner avant de venir presser fermement ma prostate.
Je ne peux retenir le cri d'extase qui naît dans ma gorge face à cette stimulation ô combien délicieuse. Si j'ai pris mon pied avec Camille? Non, bien évidemment que non, rien ni personne ne peut égaler Alexander Lightwood! Cet homme est le seul capable de me faire hurler de plaisir seulement avec deux putains de doigts!
— C'est bien ce que je pensais. Maintenant faisons en sorte que tu ne l'oublies pas. souffle t'il en retirant ses doigts pour venir frotter toute la longueur de son sexe contre mon entrée palpitante.
Je tends mon bassin vers l'arrière, en voulant plus. Malheureusement pour moi, Alec semble bien décidé à me torturer et à me faire payer mes actes et mes paroles. Il continue de faire coulisser son sexe entre mes fesses poussant parfois contre mon entrée, mais s'en éloignant à chaque fois, me faisant gémir de frustration. Sa main glisse sur mon ventre et vient attraper mon érection pour venir en taquiner le gland de son pouce. Je halète bruyamment, me mordant la lèvre inférieure pour tenter misérablement de retenir mes gémissements.
— Aahn... Plus... ahané-je dans l'espoir qu'il accède enfin à ma requête.
— Tu en veux plus Magnus? susurre t'il à mon oreille.
Je ne peux répondre que par un gémissement?
— Réponds-moi Magnus, tu en veux plus? gronde t'il en serrant mon sexe dans son poing.
— Aahn... Ou... Oui j'en veux plus! haleté-je excité par le ton autoritaire de mon amant.
— Supplie-moi et j'envisagerais peut-être de t'accorder ce que tu demandes. répond-il, un sourire dans la voix.
Mes yeux s'agrandissent de surprise et mon coeur rate un battement. Alec, mon Alexander autrefois si doux et gentil vient-il vraiment de me demander de le supplier de me baiser? Bordel mon excitation qui crevait déjà le plafond vient subitement de grimper en flèche!
— J'attends Magnus... souffle t'il en passant sa langue derrière mon oreille jusque sur mon épaule qu'il mordille sensuellement.
J'ouvre la bouche m'apprêtant à lui répondre, mais je suis coupé dans mon élan par ses doigts joueurs qui viennent malmener l'un de mes tétons. Cette nouvelle stimulation couplée au souffle chaud d'Alec sur ma peau chauffée à vif par ses baisers me fait pousser un nouveau gémissement plus aigu que les précédents. Par l'enfer, s'il continue comme ça, je vais finir par jouir avant même qu'il n'ait commencé à me prendre!
— Alors Magnus, veux-tu que je te prenne? Que je te fasse mien et te fasse hurler de plaisir?
— Ahn! Putain oui! Je t'en supplie Alexander baise-moi! m'écrié-je au désespoir.
— Bien, mais je te préviens, tu ne vas pas en sortir indemne. gronde t'il à mon oreille.
Ne pas en sortir indemne? Il a probablement raison, mais je m'en moque complètement, tout ce que je veux, c'est qu'il me prenne avec toute la passion dont il est capable, qu'il me possède corps et âme car il n'y a que dans ses bras que je me sens pleinement vivant... Car sans lui je ne suis plus rien... Quoi qu'il arrive, quand il partira, je m'effondrerai probablement, et cette fois, je ne suis pas sur que je parviendrais à m'en remettre.
PDV Alec
Je commençais à désespérer d'obtenir ce que je veux de Magnus mais quand enfin il me supplie comme je le lui ai demandé, je n'attends pas une seconde de plus et je presse mon érection contre son entrée et le pénètre en un seul coup de rein. Quand mon pubis butte contre ses fesses, il pousse un profond gémissement de bonheur et je sens déjà son intimité palpiter autours de moi. Il est sur le point de jouir, je le sais et cela me fait sourire, me donnant une idée sournoise.
Je commence à bouger, me retirant de quelques centimètres avant de revenir en force au plus profond de lui, changeant d'angle à chaque aller retour. Quand je parviens à buter sur sa prostate, un cri aigu s'échappe de sa gorge et il se resserre brusquement sur moi. Je cesse alors tout mouvement lui refusant l'orgasme qui courre sous sa peau, menaçant de l'engloutir complètement. Je reste immobile quelques secondes le temps pour lui de redescendre sur terre dans un soupir de frustration, puis je reprends mes mouvements.
Je continue ainsi mon petit manège, cherchant à le frustrer pour l'entendre à nouveau me supplier de lui accorder la délivrance. Vous trouvez probablement ça sadique, et vous pensez surement que je fais ça pour me venger de ce qu'il m'a fait, et vous n'avez peut-être pas tort. A chaque grognement de frustration, je sens comme un sentiment de victoire m'emplir. Je peux en seulement un geste lui permettre ou lui refuser ce qu'il désire le plus au monde à cet instant. Ce sentiment de puissance est grisant, et putain j'avais vraiment besoin de ça!
Après plusieurs fois successives à lui refuser la jouissance, Magnus finit par grogner en laissant sa tête tomber contre le mur qui lui fait face.
— Alexander... souffle t'il d'une voix suppliante.
— Qu'y a t'il Magnus? demandé-je en feignant l'innocence.
— Je... Je t'en prie laisse... Laisse-moi jouir... halète t'il en poussant son bassin vers moi.
Exactement là où je le voulais, parfait.
— A une seule condition.
— Tout ce que tu voudras!
— Dis-moi que je suis le meilleur amant que tu aies jamais eu. murmuré-je à son oreille.
— Ahn par l'enfer! OUI! Tu es le meilleur amant que j'ai jamais eu! s'écrie t'il.
Un sourire étire mes lèvres. Même si cet aveu a été obtenu sous la contrainte, je sais que c'est la pure vérité. J'ai vu dans son regard qu'il me mentait en affirmant avoir pris son pied avec Camille, qu'il ne l'a dit que pour me blesser, même si je ne comprends pas encore pourquoi... Je saisis ses bras que je ramène dans son dos, coudes tendus vers moi, ses mains reposant sur le haut de ses fesses. Je glisse l'un de mes bras sous ses coudes, tandis que l'autre vient s'appuyer contre son dos cambré.
— Meilleur que Camille? demandé-je en le tirant un peu vers moi pour que son visage se tourne dans ma direction.
— Oui... souffle t'il en plongeant son regard ambré dans le mien.
— Dans ce cas crie mon nom.
A ces mots je ressors entièrement de l'antre brûlante de Magnus avant de revenir m'y ancrer profondément, tout en prenant soin de percuter sa prostate dans le même temps. Il crie de surprise et de plaisir, puis je commence de brusques et rapides mouvements de bassin. Je déverse toute ma colère, ma rancoeur et ma peine dans mes coups de butoir. Je veux lui faire payer pour m'avoir fait endurer tant de souffrance, pour m'avoir renvoyé tout droit dans les griffes de mon père après m'avoir fait croire que je m'en étais échappé, pour m'avoir trahi de la pire des manières, pour m'avoir brisé le coeur alors que j'aurais été prêt à tout pour lui, même à donner ma propre vie...
Le fourreau de Magnus se resserre à nouveau autours de mon sexe qui pulse en lui à mesure que mon orgasme grandit en moi. Nous grognons tout les deux sous l'effort, nos gémissements de plaisir emplissant la pièce. Un coup de bassin une fois de plus placé directement sur son noeud de plaisir le fait exploser.
— AAAHN!!! ALEXANDER! hurle t'il en se laissant ravager par l'orgasme tant attendu.
Je continue de le pilonner violemment toujours sur le même point tout au fond de lui, désormais à la recherche de ma propre délivrance. Il ne me faut que quelques mouvements de plus pour moi aussi m'abandonner à la jouissance et me répandre au fond de lui tout en plantant mes dents dans le creux de son épaule.
Le goût du sang sur ma langue me sort brusquement de ma transe post-orgasmique. Je relâche l'épaule de Magnus et observe avec horreur la marque sanglante que j'ai laissé dans le creux de son épaule. Est-ce que c'est vraiment moi qui lui ai fait ça? Mes yeux suivent le trajet d'une goute vermeil qui s'écoule lentement de la plaie. Par l'ange! Je suis un monstre! Je lâche les bras de Magnus et m'écarte de lui vivement avant de remonter mon pantalon à la hâte puis de partir en direction de l'entrée. Alors que j'ouvre la porte, je me retourne et aperçois Magnus qui m'observe depuis le salon. Il a lui aussi remonté son pantalon et il m'observe prendre la fuite avec un infinie tristesse dans le regard. Mon regard glisse sur son épaule nue où je vois à nouveau la trace de ma morsure qui saigne sur sa peau dorée. Je retiens un hoquet d'horreur, et me détourne brusquement pour quitter l'appartement en courant.
Une fois dehors je hèle un taxi dans lequel je m'engouffre sans attendre. Durant le trajet jusque chez moi, je repasse en boucle le moment que j'ai vécu avec Magnus ce soir. D'abord notre dispute durant laquelle il a tout fait pour me pousser à bout comme pour ériger une barrière entre nous et faire en sorte que je le déteste. Ensuite les mots durs et humiliants qu'il a eu en me mentant droit dans les yeux au sujet de Camille. Puis enfin ma façon de me jeter sur lui, la violence avec laquelle le l'ai dominé, la façon dont j'ai déversé toute ma colère dans mes gestes. Ce soir j'ai voulu lui faire mal... Lui faire payer pour toute la souffrance que j'ai éprouvé par sa faute... Je suis même allé jusqu'à le mordre à sang comme un putain d'animal! Je ne me reconnais pas, et le comportement que j'ai eu envers Magnus, envers l'homme que j'aime toujours, me terrifie. Me savoir capable d'une telle violence me trouble profondément car maintenant que Magnus m'a vu ainsi, je suis sur de ne plus jamais pouvoir espérer quoi que ce soir avec lui... Il me fuira dès qu'il aura à nouveau l'occasion de me voir c'est une évidence après ce que je lui ai fait ce soir...
Quand j'arrive chez moi Lydia est déjà couchée, ce qui en un sens me soulage car je ne suis pas sur de pouvoir lui expliquer l'état émotionnel dans lequel je suis. Mais en même temps j'aurais tellement besoin de son soutient, de son écoute que je ne réfléchis pas plus avant d'entrer silencieusement dans sa chambre pour me glisser dans ses draps après avoir retiré mon pantalon. Quand je m'installe dans le lit mon amie remue un peu puis se tourne vers moi me laissant le loisir de constater qu'elle est réveillée et qu'elle m'observe de ses grand yeux bleus. Elle m'interroge du regard, mais je secoue la tête lui faisant comprendre que je ne me sens encore pas capable de parler. Elle hoche doucement la tête avant de m'ouvrir les bras, m'invitant silencieusement à me blottir contre elle. Quelques larmes naissent dans mes yeux puis je me jette dans l'étreinte douce de mon amie, fondant en sanglots déchirants. Elle me serre fort dans ses bras, sa joue se posant contre le haut de mon crâne, et elle me laisse pleurer, m'offrant seulement sa douceur, son soutient et sa compassion en attendant patiemment que je lui raconte ce qui me trouble.
PDV Magnus
Je regarde la porte se refermer derrière Alec, incapable de faire le moindre geste. Je sais que je devrais le poursuivre et exiger qu'on parle, mais le souvenir des menaces de Robert hantent encore mon esprit. J'ai été égoïste ce soir en acceptant de laisser entrer Alec chez moi. Qui sait s'il n'est pas suivi ou si son père ne sait pas déjà que nous nous sommes retrouvés? Non le poursuivre serait bien trop dangereux pour lui...
Alors que la porte claque je ressens un immense sentiment d'abandon et de solitude m'envahir. Même si je sais que le laisser partir est la meilleure chose à faire, je ne comprends pas pour autant pourquoi il a fui ainsi. Et le regard qu'il m'a lancé avant de partir, comme si je lui faisais horreur... Mon coeur se serre dans ma poitrine à l'idée qu'Alec soit horrifié ou dégoûté d'avoir couché avec moi. Après tout ce qu'il m'a dit est peut être vrai. Peut être aime t'il réellement sa fiancée... Ma gorge se serre alors que je comprends que je l'ai perdu pour de bon.
Je me rends dans la salle de bain pour prendre une douche, et c'est en me regardant dans le miroir que j'aperçois une marque dans le creux de mon épaule. Une marque de morsure... Mes doigts effleurent la plaie douloureuse. Jamais jusque là Alec ne m'avait marqué de la sorte, mais compte tenu de son état de ce soir et de la rage qui semblait l'habiter, je ne suis pas étonné de trouver cette morsure. J'en suis même assez fier et ému... Le fait qu'Alec ait voulu me marquer comme sien même après tout le mal que j'ai pu lui faire gonfle mon coeur de bonheur même si je sais que ce bonheur sera de courte durée. Pour l'heure je décide de repousser ma peine dans un coin de mon esprit et de ne repenser qu'à ce que j'ai partagé avec Alec ce soir.
Je me glisse sous le jet d'eau brûlante de la douche, et je laisse mon esprit vagabonder. Je repense aux mains d'Alec sur moi, au contact de sa peau sur la mienne, à sa façon de me dominer sans jamais se désintéresser de mon ressenti et de mes désirs. Comme toujours il a été attentionné envers moi, prenant le temps de me préparer et demandant mon accord avant de pousser plus loin notre relation charnelle.
Après un longue douche chaude qui a aidé à délasser mes muscles endoloris par mes folles activités physiques de ce soir je me glisse en boxer entre mes draps, totalement épuisé. Je ferme les yeux me laissant bercer par mes doux souvenirs entre les bras d'Alec, puis peu de temps après je tombe dans un profond sommeil qui me fait revivre encore et encore ce magnifique été passé à ses côtés et que je chérirais probablement jusqu'à ma mort.
*****
Heyhey!
Suprise! J'ai réussi à avancer suffisamment aujourd'hui pour vous poster ce chapitre en plus! (Merci au jour férié passé au taf sans aucun client pour occuper ma journée 😞)
J'espère vous avoir satisfaits avec ce chapitre. J'avais envie d'écrire une scène de ce genre entre eux depuis un moment... Voilà chose faite! En plus j'adore ce Alec dominateur 😏
Je vous dis à lundi prochain pour la suite😘
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top