~ Petite proie faible, change-toi en Prédateur des Cauchemars ~
Le soleil se leva lentement sur un petit village, venant doucement réchauffé les champs de blé qui s'était refroidi dans la nuit.
C'était un doux début de matin...
Pour que le réveil se mette à sonné brutalement et bruyamment !
L'homme se réveilla en sursaut, sa tête se cognant contre l'armoire de son lit. Il maugréa de douleur, et s'asseya sur son lit.
"Satané réveil !" Se plaignit-il, frappant le réveil par colère.
Il se frotta les yeux, ces derniers s'habituent lentement à la lumière du soleil qui avait pénétré dans la chambre de l'homme.
Ce dernier descendit en bas, s'arrêtant devant le miroir placé à côté des escaliers. En ce regardant dedans, il avait la même tête que quelqu'un qui sortait du lit et qui n'avait pas eut la meilleure des nuits.
Il avait les cheveux qui partaient dans n'importe quel sens, des cernes, et faisait une tête qui disait qu'il aurait dû encore dormir plus longtemps.
Il aurait bien voulu, tout le monde aime faire des Grasse matinée, sauf que là...
Il devait aller travailler.
Hé oui, la vie adulte n'est pas de tout repos.-
Il soupira, se coiffa un peu près bien, et alla dans la cuisine pour se faire son petit-déjeuner: pain grillé avec du beurre et de la confiture de myrtille, un café, puis un pain au chocolat.
L'homme prit une tasse, activa sa machine à café, et la plaça juste au-dessus d'où sortait le liquide.
Ensuite, pour sa tartine, il sortit le beurre et la confiture, et le pain bien évidement, qu'il mit dans le grille-pain.
Et enfin, le pain au chocolat était juste à sortir de sa boite.
Une fois tout prêt, il s'installa sur la chaise, déposant sa tartine, sa tasse rempli de café et son pain au chocolat sur la table.
En même temps que de prendre son petit-déjeuner, il lisait un peu le journal. Il était toujours mieux de connaitre les actualités du moment.
Apres avoir fini de déjeuner, il rangea la tasse dans le lave-vaisselle, et monta dans sa chambre pour se changer.
Étant donner qu'il travaillait dans un bureau, il se mit en costume cravate pour être présentable (et car c'était aussi la tenue qu'on mettait à son bureau). La deuxième étape fut bien évidement de se laver les dents et de se coiffer. Et la troisième, de préparer les affaires dont il avait besoin pour aller au travaille.
Pour la dernière, c'était simplement faire quelques petits ajustements sur son physique (plie de vêtements, cravate mal mise, etc).
Voila, il était prêt à aller à son travaille !
Il se regarda une dernière fois dans son miroir, puis eut un sourire satisfait.
"C'est bon Carlos, tu es prêt à y aller !"
Sur ces mots, il sortit de chez lui, ferma la porte à clé, monta dans sa voiture, et partit pour son lieu de travaille.
[TIME SKIP]
Arrivé à son bureau, Carlos prit sa valise et entra dans le bâtiment, montrant sa bonne humeur (malgré son réveil brutal) avec son visage et sa démarche.
Il salua ses collègues, qui lui rendait la pareille, et entra là où il devait faire ce qu'il avait à faire.
Carlos s'installa sur son fauteuil, déposa les affaires de sa valise sur sa table, et travailla sur son PC.
Ce qu'il avait à faire était de remplir des fiches, imprimé des documents importants, et parfois de les signer.
Il y passa un bon moment, jusqu'à ce qu'on l'interrompt dans son travaille avec deux coups à la porte de son bureau.
"Oui, entrer." Disa gentiment Carlos, en même temps que de remettre correctement un tas de feuilles.
Un homme un peu plus grand, et habillé d'une veste noir, entra alors dans son bureau, s'approchant du travailleur.
"Mr.Dises, votre patron vous demande dans son bureau."
"Ah oui ?"
Carlos en était un peu surpris. Pourquoi son patron demandait-il a le voir ? Avait-il fait quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il espérait que non...
Il revint sur ses papiers, les triant et les rangeant.
"Juste quelques minutes, je termine de.-"
"Non, c'est maintenant." Répondit strictement l'homme qui était venu le voir.
Le ton qu'il avait employé envoya de léger frisson à Carlos. Il soupira, déposant ce qu'il faisait en se levant de sa chaise.
"Bien, bien... J'y vais."
Il sortit de son bureau, passant dans les couloirs pour atteindre un ascenseur.
Il l'emprunta pour monter tout en haut de l'immeuble, là où se trouvait le bureau du patron.
Son coeur battait plutôt vite. Il était stressé, beaucoup de questions lui traversaient l'esprit, et cela le tracassait.
Carlos inspira.
Il entra dans le bureau après avoir rassemblé son courage, et salua son patron en le voyant.
"Bonjour patron. Vous avez demandé à me voir ?"
"Oui, c'est exact Carlos." Répondit celui-ci, se tournant lentement vers Carlos. "Si je vous ai demandé, c'est pour vous dire ceci... Vous êtes virée."
Le cœur de Carlos sembla s'arrêter d'un seul coup. Il ne disa rien, surpris et choqué devant cette nouvelle bouleversante.
Virée ?
"Mais pourquoi ?" Demanda Carlos, voulant à tout prit avoir des explications.
Son patron soupira, mettant les mains derrière le dos en s'approchant de son employé.
"Ecouter, ce n'est pas à cause de vous. Vous avez fait du bon travaille, je vous rassure, mais pour maintenir la boîte, je me dois de vous virez. Comprenez-vous ?"
Carlos fixa son patron avec choque, ne trouvant pas les mots pour lui répondre. Il aurait voulu tenter de se défendre, mais à la place, il se laissa faire.
"Je... Bien, monsieur. Je comprend..."
Carlos s'en retourna, quittant le bureau du patron sans lui dire au revoir. Sa bonne humeur venait de tomber à zéro. Il avança dans les couloirs d'un pas lent, sans motivation. On aurait dit un zombie qui marchait.
En le voyant dans cette état, quelques-uns de ses collègues étaient venus lui demander ce qui n'allait pas.
Carlos n'osa pas leur répondre...
Donc il continuait à marcher, les ignorant.
Arrivé à la sortit de l'immeuble, il vit l'homme habillé d'une veste noir qui l'attendait avec sa valise. Toute ses affaires avaient été rangées.
L'homme lui tendit la valise, Carlos la prit, puis...
Il quitta son ancien lieu de travaille...
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Il se mit à marcher dans la rue, seul, la tête basse. Son cœur, lui, était gonflé de tristesse.
Il avait été viré, une fois de plus... Et pour les mêmes raisons, en plus !
A un moment, il commençait à croire qu'il n'était même plus utile pour personne...
Il travaillait bien, mais comme lui disait son patron, il ne servait plus à rien, littéralement...
Il était inutile...
Carlos aurait eut envie de pleurer, mais il se retena.
"Tu ne vas pas pleurer dans la rue, tout de même..." Il pensa dans sa tête, essuyant les larmes, qui perlaient au coin de ses yeux, d'un coup sec.
Sans travaille, pas d'argent. Sans argent, pas de richesse. Sans richesse... pas d'achats...
Donc pas le nécessaire pour vivre, et destiné à pourrir dehors...
Toute ces pensées lui donnaient la boule à la gorge, et son coeur se serrait dans sa poitrine.
Il n'avait aucune idée de quoi faire d'autres, comme travaille. Il avait déjà essayer toute les entreprise des alentours. De plus, il n'avait pas assez d'argents pour déménager...
Il était foutu, s'en était sûr et certain...
Sauf que, dans son état d'émotions noirs, un papier emporter par le vent se cogna à son visage.
La tristesse fût remplacer par une légère colère, et Carlos prit le papier, se préparant à le jeter au loin, mais il s'arrêta dans son geste en voyant ce qu'était ce papier.
Ce papier, c'était une affiche, et elle disait: "Concours de monstres effrayants à [Nom de la ville].
Récompense; 100 000 000$"
La récompense fut ce qui attira le plus Carlos.
100 000 000$ ?!! Avec ça, il aurait des chances de vivre !
Il retrouva vite sa bonne humeur, et s'empressa d'aller à sa voiture, gardant le papier avec lui, et rentra chez lui.
A sa maison, Carlos lisa attentivement l'affiche. Ce qu'il fallait faire, c'était de construire son/ses propre(s) monstre(s) effrayant(s).
Oh oh, c'était son jour de chance !
Justement, Carlos était plutôt doué en bricolage. De plus, il se souvenait qu'il avait acheté quatre base de robots il y a quelques mois.
Il laissa le papier sur la fiche, prit son PC, et alla sur le site pour s'inscrire à ce concours.
Ensuite, il se dirigea dans son garage, et chercha les quatre robots. Après les avoir tous trouvés, il les aligna en ligne, placé debout, sur leurs deux pieds, les admirent avec joie.
Ces robots se nommaient des Endosquelettes, c'était des vases pour construire des animatroniques: des robots qui ressemblaient à des animaux.
Carlos sortit sa boîte à outils, et se prépara à démarrer son dur travaille.
"C'est partit !" Se disa-t-il, passant plusieurs jours à confectionner ses animattonics effrayants.
[TIME SKIP]
Le jour du concours arriva assez rapidement, et le travaille de Carlos fut achever juste à temps.
Il s'éloigna de ses créations, admirant son travaille avec satisfaction. Ils étaient parfait à ses yeux !
Les animatronics qu'il avait confectionner était constituer: de 2 lapin, d'un ours, d'une poule et d'un renard.
Voici à quoi ils ressemblaient:
1er lapin:
2ème lapin:
La poule;
Le renard:
L'ours;
Ces animatroniques ressemblaient à ceux du jeu Five Night at Freddy's, c'est vrai. Cependant, cela était fait exprès.
Ce jeu d'horreur connaissait un véritable succès. Alors Carlos s'était dit que si ils s'inspiraient des animatroniques de FNaF pour en faire des copies bien plus terrifiantes, ses chances de gagner allait être augmenter.
Il avait tout ses espoirs de remporter la victoire !
...
Espoirs qui finirent... brisé.
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Le jury fixa les animatroniques de Carlos, notant plusieurs choses sur leurs carnets.
Carlos les regardait, se tripotent les doigts par stresse. Allait-il avoir une bonne note... ?
Quand l'un des jury ouvrit la bouche, Carlos croyait entendre des mots du tel que: "c'est impressionnant", "beau travaille, vous avez eut une idée intéressante". Mais à la place, il entendit:
"C'est décevant..."
"Je vous demande pardon ?" Demanda Carlos, n'étant pas sûr d'avoir bien entendu.
"J'ai dit que cela était décevant, ennuyant même. Ces animatroniques ressemblent beaucoup trop à leurs originaux. De plus, nous auront voulu quelque chose de plus... original, de vraiment surprenant. Mais là, s'inspirer d'un jeu qui est déjà fait pour faire peur... ça n'en est que décevant. Votre note est donc de 1/10, Mr.Dises."
Les espoirs de Carlos tombèrent rapidement, et sa joie s'écroula. Son visage se déforma par la tristesse.
"Je... vois..." Dit-il, fixant le sol.
"Je suis consciente que cela vous déçoit vous aussi. J'en suis navré mais... soyez plus originaux dans vos créations. Sur ce, nous nous en allons."
Il fixa la jury s'en aller, partant pour allez voir un nouveau candidat.
Et voilà, il était maintenant au fond du gouffre... Il n'avait plus rien à espérer pour que sa vie remonte dans le positif...
Il vient de tout perdre...
Carlos serra les poings, une larme venant couler de sa joue. Il était rempli de désespoir... et de peur, peur de ce qui allait advenir de lui à l'avenir.
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Une lumière brilla soudainement dans son garage, venant ensuite s'éteindre. Carlos leva aussitôt les yeux, surpris par cette soudaine lumière inconnu qui était apparu.
En regardant devant lui, il vit une forme caché dans l'ombre, qui lui était impossible à discerner.
"Je vois que nous sommes désespérer, Carlos ?" Parla la forme d'une voix inhumaine.
"Q-Qui êtes-vous ?" Demanda Carlos, reculant, intimider par l'étranger.
La silhouette rigola alors.
"Savoir qui je suis n'est pas ce qui est le plus important. Le plus important est... de savoir si tu aimerais que je t'aide à t'en sortir. ~"
L'esprit de l'homme était confu. Que lui voulait la silhouette...
"C'est à dire ? ..." Demanda Carlos pour avoir plus de détail.
La forme s'approcha de lui, mais resta dans la zone d'ombre.
"Je peux t'aider à avoir une vie meilleure, a pouvoir vivre aussi longtemps que tu le voudras, et ce, dans un bonheur sans nom. Car vois-tu, je pourrais te avoir ce que tu as toujours rêver d'avoir."
Il écouta la voix, reculant quand celle-ci s'approcha, mais ce qu'elle disa l'intéressa.
"Tout ce que j'ai toujours voulu ? Vraiment ?"
"Nul besoin de se méfier. Le mensonge ne fait pas partit de mon vocabulaire. Et regarde au point où tu en es, ne serait-il pas mieux d'accepter pour voir ? Tu n'as plus rien à perdre."
La forme disait vrai... Il n'avait plus rien a perdre... Il n'avait plus de travaille, plus de moyen de gagner de l'argent, et tout le reste qu'il possédait encore (comme sa maison), il allait sûrement les perdre dans peu de temps. De plus, il n'avait plus de famille, il a coupé tout contact avec eux à cause de différentes difficultés.
Qu'avait-il vraiment à perdre si on ne comptait pas sa vie ? Et même, sa vie était inutile... Mais lui, il ne voulait pas se sentir inutile, il voulait se sentir utile... et... libre.
Carlos fixa la silhouette, son temps de réflexion prenant fin. Il s'approcha de cette dernière, un regard sérieux au visage.
"J'accepte ton offre..." Disa-t-il, d'une voix qui devait être prit au sérieux.
Même si on ne la voyait pas, la forme souria.
"Bien... ~ Je n'aurais qu'une seule chose à te demander en retour: Venge-toi de tout ceux qui t'ont déçu."
Carlos hocha la tête, venant serrer la main que la silhouette avait amener vers lui.
"Le contact est signé. Un retour en arrière est impossible. ~''
La forme disparu soudainement, laissant à nouveau Carlos seul dans son garage.
Il soupira, se demandant au final s'il avait bien fait d'accepter...
Mais alors qu'il se posait cette question, il s'évanouit d'un seul coup.
Et à son réveil, quel n'en fut pas sa surprise de se réveiller dans le corps de son animatronique lapin !:
Il fixa son nouveau corps sans comprendre, et en regardant en bas, il tomba sur une feuille. En la prenant, il découvrit que c'était une sorte de mode d'emploi, et ce, à son nom.
Alors que Carlos lisa la fiche, il découvrit qu'il avait acquis de nombreux nouveaux pouvoir, ce qui le rendait presque invincible. Un léger sourire se propagea sur son visage, et il ricana.
On dirai que les choses allaient devenir plus intéressante...
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Comme signé dans le contract, Carlos se vengea des nombreuses personnes qui l'avait rejeté et moqué (donc déçu), dont le patron qui l'avait viré quelques temps plus tôt.
Il avait employé différents moyens pour se venger, mais le résultat final aboutissait au même: gâcher leurs misérables vies.
Et sans se mentir, il prenait un malin plaisir à savourer ses heures de vengeances.
Quand la partie de son contract fût rembourser, il put enfin profiter pleinement de la nouvelle vie qu'il avait acquis.
Carlos se renomma Disestablish.
Il donna vie aux animatroniques qu'il avait construit quand il était encore humain, et ainsi, il put profiter des pouvoirs qui lui avait été offert.
Enfin, enfin il se sentait libre et utile ! (pour lui-même, bien sûr.)
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Puis un jour, il trouva un jeune garçon au sol, blessé au crâne par un pieu en bois qui lui avait été enfoncer, ce qui lui a été fatal...
Disestablish s'approcha du garçon, devinant bien que cela était l'œuvre d'autres enfants qui l'harcelaient. Ressentant comme une sorte de connexion avec ce jeune garçon, il lui soigna sa blessure, et lui redonna la vie avec sa magie.
Quand le garçon se réveilla, il fut vite effrayer par le lapin qui se trouvait devant lui. Alors qu'il allait fuir, Disestablish le prit dans ses bras, le rassurant comme il le pouvait.
"N'est pas peur, mon garçon... Je ne te veux aucun mal... Je veux juste t'aider."
Prenant les paroles à coeur, la peur du garçon se calma, et il rendit doucement le calin au lapin.
Depuis ce jour, la relation entre les deux étaient restées assez bonne. Le jeune garçon avait une confiance aveugle envers Disestablish, ce que ce dernier trouvait amusant.
Il pourrait bien en profiter...
Car justement, dans ses pions, il lui manquait un personnage...
Creepy pourrait justement devenir ce personnage.
Qu'en dites-vous ?
Fin.
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Et c'est la fin de cette histoire. :'D
J'espère qu'elle était correct et cohérente (bien que j'ai des doutes-) ;w;"
Si question, hésiter pas.
Sur ce, au revoir les gens :'3
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