⎡❀ 𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝟑𝟕 ❀ ⎦
( cr : bnn_mlk sur twitter)
I just wanna be your sweetheart
Fucking come here, give me your heart
Just you and me to infinity
I can't fucking breathe, too much ecstasy
<3
Ces sensations m'avaient tellement manqués et le fait de goûter à de nouvelles, celle que ce soit partagée était tout bonnement exquise.
Jungkook m'aimait putain.
À chaque baiser, était accompagné ce petit « je t'aime » qu'il déposait sur mes lèvres telle la rosée du matin. C'était si subtil, si délicat et si virevoltant ces petites lettres dans sa bouche qui réussissaient à me faire perdre mes esprits.
J'avais la sensation que rien de tout ceci n'était réel pourtant ses mains qui n'avaient de cesse de caresser ma peau et ses lèvres dévorant les miennes était tout ce qu'il y avait de plus concret. Me connectant à une réalité si splendide que pour une fois j'étais amplement heureux.
Cette soirée avait eu son lot de fiasco mais le clou final méritait tout ceci.
Bordel il m'aimait.
Je n'en revenais pas.
La fièvre me happa alors que je détachai ma ceinture de sécurité pour venir le rejoindre sur son siège, qu'il recula pour nous laisser de la place.
Aucun mot ne pourrait décrire ce que je ressentais tant ce n'était pas assez fort. Il fallait le ressentir pour savoir, ce qui faisait toute la joliesse de ce tableau aphrodisiaque.
Sa main vint trouver ma nuque pour me rapprocher de lui et approfondir le baiser, lui donnant un aspect encore plus fiébré que possible, me faisant par ailleurs gémir contre ses croissants de chairs. Je sentis que mon soupir de plaisir ne le laissa pas insensible puisque son sexe vint se durcir tout comme le mien l'était déjà.
— Tae'... murmura-t-il, la respiration rapide et hachée.
Je ne lui laissais pas de repos, revenant à la charge en l'embrassant, mouvant habilement mon corps contre le sien pour lui montrer à quel point j'étais fébrile et le souhaitais plus que tout.
— Que moi, lui soufflai-je contre l'oreille, essoufflé comme si je venais de courir un marathon.
— Tae' que toi putain, répéta-t-il, scellant à nouveau nos lèvres ensembles.
Sa langue glissa contre la mienne dans une danse des plus endiablées, de celles dont nous avions l'habitude. De celles dont je raffolais à souhait, sans jamais m'en lasser.
La suite nous ne la contrôlions plus, cédant à chacun de nos désirs, muée par une envie irrépressible de retrouver l'autre tant nous nous étions manqués.
Bien vite, nous peignîmes une de ces toiles qui prenaient aux tripes et qui retournaient dans tous les sens les papillons logés dans nos cœur, récitant les poèmes que nous gardions secrets en raison de la distance qui s'était instaurée entre nous.
Retrouver son corps m'avaient bien manqués. Je ne pouvais le nier. Pourtant je sentais que cette fois-ci était différente de toutes les précédentes. Lorsqu'il mit un préservatif, trouvé dans sa boîte à gant et qu'il s'inséra en moi, je sentis que pour une fois nos âmes se touchaient en une connexion des plus harmonieuse, mélodieuse, concordante.
C'était différent et pourtant si semblable.
Nous étions habités par une hâte irrationnelle que nous n'arrivions pas à comprendre. Ni lui ni moi ne nous ménagèrent, ses baisers étaient des plus voraces quant à mes coups de bassin ils étaient des plus prompts. Et même si l'effort m'épuisait, je ne m'arrêtais pour rien au monde tant la saveur de nos corps entrelacés était délicieuse.
Mes gémissements n'avaient de cesse de monter crescendo à mesure que le plaisir me submergeait tout comme les siens qui m'émoustillaient. Dans l'air planait ces sons de bouches qui s'entrechoquaient et de corps qui s'enlaçaient, formant une symphonie des plus délectable. C'était comme si à nous deux nous écrivions la plus belle des poésies si bien que Baudelaire ou encore Victor Hugo en tomberait vert de jalousie.
Les vers et les rimes dansaient et virevoltaient entre nous, nous narguant presque, je pouvais pratiquement les toucher du bout des doigts. Et même que je réussis à en attraper un.
« Elle est belle ton âme Taehyung. »
J'eus la folle et absurde envie de me noyer et de m'abandonner en Jungkook tant j'étais ivre de ce sentiment d'amour. Comme si le toucher n'était pas suffisant et que je souhaitais plus, défiant toute logique.
Et si je pensais être le seul à ressentir cet émotion, je me trompais sur toute la ligne bon sang. Jungkook ressentait la même chose, je le sus à la façon dont il pressait mes reins de ses doigts. À la façon dont ses dents attrapaient la peau de mon cou pour y déposer une jolie couleur pourpre. À la façon dont son regard emplie de plaisir me dévorait l'âme.
Et il était si beau ainsi. L'esprit en vrac, les cheveux emmêlés par ma faute à force de passer mes mains dedans, les joues voilées d'un rose si splendide, ses lippes gonflées en raison de nos tumultueux baisers.
Mes gémissements devinrent de plus en plus corsés comme si je subissais là le courroux de Jungkook pour avoir couché et embrassé d'autres personnes que lui. Il ne me ménagea aucunement, venant prendre mon sexe entre ses doigts pour effectuer des va-et-vient me faisant perdre la tête. J'avouais avoir du mal à suivre la cadence pourtant je me l'imposais, sentant que j'étais à deux doigts de toucher les étoiles et rejoindre cette galaxie qui régissait nos cœurs enchevêtrés.
Et plus je criais fort, à m'en déchirer la voix et plus Jungkook se tendait pareil à un arc sur le point de tirer sa flèche. Lui aussi était à la lisière du précipice qui nous attendait après un ébat aussi acharné et sauvage, régit par des aspirations trop grandes pour nous deux.
Sa main lâcha mon sexe pour venir serrer ma gorge d'une forte poigne et bien qu'une douleur naissait sur cette partie de mon corps, je ne m'en plaignis pas. Au contraire. Je l'adorais. Pas plus lorsqu'il agrippa une de mes fesses de son autre main, la claquant bien fort à certain moment qu'il jugeait opportun.
Je pourrais le jurer que j'avais envie de baver.
Les larmes aux yeux par ce trop plein d'émotion, je me mordis fort les lèvres en sentant cette première vague de plaisir me happer entièrement.
— K-kook... murmurai-je difficilement entre une pléthore de plaintes et de soupirs.
Son surnom, qu'il adorait autant que moi remua quelque chose dans son esprit comme si j'avais appuyé là où il fallait pour le faire sombrer pour moi. Alors je recommençais. Plusieurs fois, mêlés de gémissements incessants qui le chamboulèrent au plus profond de son âme.
— Putain mon ange tu me rends fou, m'en voulut-il en mordillant le lobe de mon oreille.
Sa langue taquine fit naitre en moi un feu crépitant prêt à m'embraser tout entier.
La deuxième vague venait de passer rien qu'à l'entente de ce surnom qui mon dieu réussissait à provoquer un incendie dans mon bas-ventre, sensation si agréable.
Et à la troisième vague j'étais presque sûr que ce serait ma fin.
D'ailleurs elle ne tarda pas bien longtemps à arriver. Il a suffit que Jungkook pince mes tétons tout en me donnant un autre de ses suçons près de ma clavicule et le plaisir fut trop intense pour moi. Je me fracassai en mille morceaux sous un gémissement grandiose, relâchant ma semence sur son sweat.
Nous nous étions jetés dans le vide au même moment, en même temps comme si nous ne faisions plus qu'un. Comme si nos âmes s'étaient régulées sur le même tempo pour finir par jouer le refrain ensemble, créant cette musique qui nous était propres.
Essoufflé et tentant de reprendre une respiration normale, je me laissai tomber front contre l'épaule de Jungkook, fourrant mon nez dans son cou pour humer cette odeur d'érable qui lui était spécifique grâce à son gel douche.
Personne ne pipa mot. Nous n'avions pas besoin de parler, le silence le faisait déjà assez pour nous. Et dans cette douce quiétude, je me surpris à être heureux. Bien plus que d'habitude.
— On rentre chez nous ? me murmura Jungkook à l'oreille après avoir déposé un baiser sur le haut de ma tête.
Je restai muet, opinant du chef.
Le brun retira son sweat tâché de sperme —du mien— en souriant tandis que je détournai le regard, les joues complétement rouge de gêne. Il vint par la suite ôter le préservatif utilisé pour le nouer et le jeta dans la première poubelle que nous trouvâmes dans la rue.
Bien vite nous rejoignîmes notre appartement, fourrant nos vêtements dans la machine à laver et allâmes directement à la douche.
Alors que je regardai le noiraud ouvrir la porte de douche, il me surprit en disant :
— Tu viens ?
Le feu me monta aux joues en pensant que ce serait la première fois que nous prenions une douche ensemble. Je trouvais ça beaucoup trop intimes même si nous nous étions déjà vus nus un nombre incalculable de fois. C'était comme si nous passions un nouveau cap, chose qui ne me déplaisait pas. Au contraire.
Je le rejoignis en me raclant la gorge, jetant au passage un bref coup d'œil à mon reflet dans le miroir. Je ne fus pas surpris de voir ma peau tachetée de rouges et de roses à certains endroits, œuvre de mon cher colocataire qui à cet instant regardait son travail d'un air fier.
Encore un peu dans les vapes en raison de notre échange langoureux dans sa voiture, je ne dis rien lorsqu'il passa un jet d'eau sur mes cheveux pour venir ensuite les shampooiner. Ses gestes étaient doux et me faisait tellement du bien qu'on aurait dit qu'il avait fait ça toute sa vie.
Je lâchai un soupir de plaisir, fermant les yeux pour me délecter de ce moment unique et intense d'émotion.
— Tu sais Tae'...
Sa voix était incertaine, comme s'il n'était pas sûr de ce qu'il comptait me dire, me faisant automatiquement rouvrir les yeux et froncer les sourcils d'inquiétude.
— Mmm ? fis-je seulement pour le pousser à poursuivre.
— Je suis désolé de n'avoir rien vu.
Mes yeux rencontrèrent mes mains que je me mis à tortiller sous le coup d'un nouveau stress naissant.
— Je suppose que ce crétin d'Hoseok a tout fait pour te cacher la vérité ? ne pus-je m'empêcher de cracher.
Il vint rincer le shampooing à l'odeur de beurre de karité, ses doigts se faufilant avec dextérité entre mes mèches pour enlever plus facilement les résidus de mousse.
— C'est... En faite Hoseok et moi c'est compliqué. Je savais très bien qu'il m'aimait mais comme je l'adorais en tant que pote j'osais jamais rien dire quand il faisait quelque chose qui ne me plaisait pas. Je sais qu'il peut être jaloux de tout. Surtout si je suis proche de toi mais jamais je ne l'aurais cru capable d'une telle chose. Peut-être bien qu'il m'a caché la vérité. Nan en faite c'est même sûr mais je m'en veux quand même de n'avoir rien vu. Quand tu m'avais parlé de ton agression là fois où on s'était disputé, je ne savais même pas de quoi tu parlais. Avoir appris la vérité ce soir m'a fait un choc et je m'en voulais terriblement... tu as affronté tout ça seul sans que je ne vois rien...
Je me frottai les yeux pour retirer l'eau sur mes paupières et les ouvris en me retournant.
Il afficha une mine si triste à cet instant que je sentis un drôle de pincement dans mon cœur.
Honnêtement, je ne savais pas quoi dire. Ce n'était pas vraiment de sa faute, je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir même si je lui tenais responsable pour le fait qu'il ait couché avec le roux.
— La seule chose que je te reproche c'est d'avoir couché avec lui. Continuellement.
Il posa le pommeau de douche sur son socle puis cueillit ma joue entre ses doigts. Le pli soucieux entre ses sourcils me montrant à quel point cela trahissait son inquiétude et la honte qu'il ressentait en cet instant.
— Je suis désolé, répéta-t-il en venant me prendre dans ses bras.
Je me laissai aller, savourant le contact de sa peau nu contre la mienne et de ces mots qui s'en le vouloir me firent énormément de bien.
— Je ne veux plus que tu sois avec lui. Que ce soit pote ou autre.
— Tae'...
— Nan, le coupai-je durement en me détachant de lui.
Je plantai mes iris dans les siennes pour lui montrer à quel point j'étais sûr et sérieux.
— Promets-le moi, insistai-je, la peur nouant mon estomac.
Il soupira avant d'hocher la tête.
— D'accord.
— Plus d'appels, de messages, de jeux ou de sexe avec lui.
— Plus rien, ajouta-t-il avec un léger sourire en coin.
J'affichai une mine boudeuse en raison de l'amusement qui se gravit sur les traits de son visage. Même ses yeux pétillaient de malice.
— T'es mignon quand t'es jaloux.
Je roulai des yeux en maugréant, croisant les bras sur mon torse.
— Y'a de quoi, répliquai-je, grognon.
Il pouffa de rire avant de perdre sa joie petit à petit, devenant d'un coup sérieux ce qui me fit une nouvelle fois stresser.
— Toi aussi tu dois promettre. Plus de Jackson.
Je déglutis difficilement, ne sachant quoi répondre. Bien sûr que je voulais à tout prix retirer Jackson de ma vie mais me laissera-t-il tranquille ? J'avais bien peur que la réponse soit négatif.
— Je...
— Tae' t'as quand même pas l'intention de...
Je le coupai en prenant son visage entre mes mains.
— Nan c'est pas ça. J'ai juste peur qu'il s'en prenne à nous quand il se rendra compte que je ne veux plus avoir affaire à lui de près ou de loin, lui exposai-je mes craintes.
Ses mains vinrent recouvrir les miennes et son regard devint doux.
— On s'en fou de lui Tae'. Il n'est personne, si jamais il y a un problème je suis là, grogna-t-il d'une voix guttural.
— Est-ce que c'est vrai que tu vends de la drogue ? lui demandai-je tout d'un coup, le prenant par surprise.
Il ouvrit de grands yeux et afficha une mine choquée comme s'il se demandait si j'étais sérieux ou non. Pourtant je l'étais véritablement. J'avais besoin de confirmer si ce que Jackson avait dit été vrai ou non.
— Quoi ? Jamais de la vie ! Oui il m'arrive de consommer en soirée, oui plusieurs fois je suis rentré déchiré à la maison mais ma consommation n'est pas au point où tu doives t'inquiéter ou que je sois dealer. What the fuck d'où tu sors ça toi ?
Je fus tout d'un coup gêné, dansant d'un pied à l'autre.
— Jackson m'avait raconté que tu étais un toxico, dealer, jaloux de lui parce qu'il arrivait à faire plus de clients que toi. Que c'était pour ça que tu t'étais rapproché de moi pour pouvoir le narguer vu qu'il me voulait, lui avouai-je d'un air embarrassé.
Il retira ses mains et j'en fis de même, attrapant ma fleur de douche pour y mettre mon gel douche et commençai à me laver.
— Ah ouais... ce mec a un sérieux problème, railla Jungkook d'une voix où ruisselait à la fois une amertume certaine et un choc visible.
Ça me rassurait qu'il ne soit rien de tout ça. J'avais vraiment eu peur que Jungkook soit réellement toxico et dealer, peur des conséquences que cela avait sur sa vie ou s'il se faisait attrapé par la police.
Ça me donnait envie de tuer Jackson. Plus j'y pensais et plus je me disais que toutes ses paroles n'étaient emplies que de mensonge. M'avait-il un jour dit quelque chose de vrai ?
Nous en restâmes là, n'ayant plus envie de nous torturer l'esprit avec ce qui venait de se passer ce soir et sortîmes bien vite de la douche pour nous sécher et retrouver mon lit.
Allongé la tête sur son torse et ses bras m'encerclant, je lui posai cette question qui me brulait la langue depuis bien longtemps :
— Pourquoi tu dormais dans mon lit quand je suis revenu ici ?
Ma question le gêna je le sentis. Et je fus bien triste de ne pouvoir voir l'expression qu'affichait son visage à l'heure actuelle , puisque nous étions baignés dans l'obscurité la plus totale.
— Je te l'ai dis... tu me manquais. Et y'avait encore ton odeur sur les draps.
Mon cœur fut heureux de l'entendre me dire ça, si bien que je ne pus m'empêcher d'afficher un sourire idiot.
— Tu veux que je t'avoue un truc moi aussi ? lui dis-je.
— Vas-y.
— Pleins de fois j'ai voulu t'appeler ou juste te stalker sur tes réseaux sociaux comme Instagram mais je ne connais même pas ton pseudo !
Il rit.
— Normal j'ai pas Insta, m'avoua-t-il.
— Quoi sérieux ? m'exclamai-je de surprise.
— Bah ouais. L'appli est un peu guez je trouve.
— Bof moi j'aime bien.
— Je sens qu'on est bien partie pour les confessions alors je vais t'en dire une : pleins de fois j'ai utilisé ton gel douche à la barbe à papa pour sentir comme toi et réussir à m'endormir. Sans ça je n'y arrivais pas vraiment. Je sais que c'est bizarre dit comme ça mais me sniffer comme un junkie et faire croire à mon cerveau que c'était toi m'apaisait beaucoup.
— Wow, c'est très bizarre. Mais mignon quand même, répondis-je à la fois étonné et amusé.
— Eh ! s'insurgea-t-il bien que je devinais un sourire dans sa voix.
— Une fois je t'ai réellement appelé quand j'étais bourré mais c'est l'autre connard qui m'a répondu, avouai-je avec amertume.
— Putain sérieux ? fut-il choqué.
— Mmm.
— Il a sûrement dû effacer l'appel de mon historique, murmura-t-il, peiné. Et tu m'aurais dis quoi ?
— Je t'appelais pour t'insulter.
— Ah.
— Et te dire que je te détestais.
— Comment ça mon reuf ?
— Et aussi pour te supplier de m'aimer comme moi je t'aime.
— Tu peux toujours me supplier même si tu sais maintenant que c'est le cas, murmura-t-il d'un air joueur en frottant son nez dans mon cou.
Je réfrénai un frisson, un grand sourire sur les lèvres.
— Idiot, lâchai-je.
Nous continuâmes à nous dorloter dans les bras l'un de l'autre, accompagné de baiser ici et là jusqu'à ce que nous trouvâmes le sommeil dans les bras de Morphée.
Je savais bien que lui et moi n'avions pas besoin de définir notre relation. Cette fois-ci nous étions amoureux et ça changeait toute la donne.
La boucle serait saine cette fois-ci.
Je l'espérais.
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Chapitre assez doux et mignon ça fait du bien après les derniers chapitres hihi !
On est à presque 12k sur cette histoire, merci beaucoup c'est dingue ! Vous êtes juste incroyables ! <3
Je tiens à dire que la première partie du livre s'est finie au dernier chapitre. Je suis donc heureuse de vous dire qu'une nouvelle partie viens de commencer. Je ne sais pas combien il y en aura mais j'espère pas beaucoup. Je sais que j'ai dis que l'histoire sera longue mais j'ai peur qu'elle le soit beaucoup trop. M'enfin on verra bien.
Bisous <3
Zombix 🌙
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