Chapitre 44
Assise sur un transats regardant les enfants jouent, rigolent ou quelques uns mangent les délicieux gâteaux posent sur la table joliment dressé, Federik parlent avec les personnes chargent du fonctionnement de l'orphelinat.
- Ma chérie, on va devoir y aller pour que tu puisse te reposer, me dit Federik en venant vers moi un sourire lumineux planant sur son visage
Retourner dans ce palais pleins de tension ne m'enchante pas, rester avec ses enfants joyeux toute la journée ne me déplaît pas le moindre du monde, mais la fatigue a eu raison de moi , clignant des yeux plusieurs fois depuis maintenant une heure le sommeil gagne son corps à chaque minutes qui passe.
- D'accord, allons-y mais je vais faire un câlin aux enfants
Il hoche la tête se mettant derrière moi, nous nous dirigeons vers les enfants qui se placent autour de nous un sourire heureux plaque sur leur visage d'ange, certains enfants ont quelques miettes de gâteaux qui les rendent tellement mignons, d'autres les vêtements sont salis par leur activité, je rigole doucement tout en leur parlant,
- Les enfants étant un peu fatigués, nous allons rentrer mais on viendra vous voir bientôt promis.
Certains commencent à pleurer mais les plus grands sourient que légèrement, je leur propose un câlin collectif qu'ils acceptent directement, tous les enfants viennent dans mes bras sous le regard protecteur de Federik qui se place derrière moi.
***
Dès notre entrée dans le palais, un énorme poids s'abat sur mes épaules, mon sourire s'éteint petit à petit à chaque pas que nous faisons à l'intérieur du palais, mais arriver à côté des escaliers, nous entendons quelques voix, cette voix met inconnu, une voix de femme, je regarde Federik qui froncent les sourcils prenant ma main nous dirigeant vers la pièce de vie. À l'intérieur, ses parents prennent le café avec une jolie jeune femme souriant joyeusement, ils se retournent vers nous sans toutefois perdre leurs sourires, un frisson malsain partout tout mon corps.
- Oh, Federik tu l'a reconnais c'est Nancy Davis, TA Nancy, sa mère appuis fortement sur le Ta en me jetant un petit regard rapide avant de se concentrer sur son fils.
Aucune réponse de la part de Federik alors je me retourne pour voir ce qui lui prend de ne pas répondre, ce que j'y vois me lance sans voix, son regard reste suspendu sur celui de la jeune femme, différente émotion s'entre choque dans son regard, je ferme les yeux un instant voulant contrôler les battements de mon coeur qui s'affole dangereusement.
- Nancy, murmura Federik en lâchant ma main j'ai eu un pincement au coeur dès le moment où sa main lâche la mienne, la chaleur de sa main qui disparaît rendant la mienne froide, un grand vide se crée dans ma poitrine. Je retourne mon regard vers la jeune femme qui se lève un sourire heureux sur son visage s'avançant vers lui. Federik dans mon dos ne bouge pas d'un poil, mon regard voyage entre les deux, je ne sais plus où me mettre, mon coeur bat la chamade tellement que ça en devient douloureux, ne voulant pas en voir plus, je pars en vitesse dans ma chambre sous les cris de Federik, je ne m'arrête pas je continue mon chemin vers ma chambre voulant rester seul.
Il était totalement figé, j'avais l'impression qu'ils étaient seuls dans la pièce. Courant à travers le couloir cherchant ma chambre les yeux larmoyant, je ne sais plus quoi penser, je ne sais pas si je suis prête pour un combat entre moi et ses parents, cette femme, il le connaît jusqu'à en être troublé.
Que faire ?
Dès que je ferme à clé la porte de ma chambre, je me place sur le fauteuil qui se trouve à coté de ma fenêtre essayant de reprendre mon souffle. Quelques minutes plus tard, j'entend quelques coups sur la porte, je ne bouge pas, mon regard reste totalement perdus à travers le jardin.
- Bruna, ouvre moi s'il te plait, m'appela Federik de l'autre côté de la porte
Je ne réponds rien, restant assise sur le fauteuil en posant ma tête sur mes genoux laissant mes larmes coulent silencieusement sur mes joues tachant mon haut sur les avant bras.
Je me réveille en sentant une personne me déposer sur mon lit, j'ouvre les yeux brusquement trouvant Federik la tête au dessus de moi me regardant sérieusement.
- Pourquoi es-tu partis comme ça de la salle de séjour ?
J'ouvre la bouche puis la referme faisant ça plusieurs fois comme un poisson rouge dans son bocal d'eau, il pose me poser cette question. Il est sérieux ?
- Je ne voulais pas gâcher tes retrouvaille avec Ta Nancy, lui dis-je en m'asseyant correctement sur le lit
Il se passe une main sur son visage mais il ne dit rien, son silence me fait encore plus mal, je reprends mon souffle bloquant du mieux que je peux mes larmes qui veulent couler, sa réponse lui vient comme un coup en pleins coeur, elle ne dit rien se plaçant correctement sur son lit fermant les yeux,
- Je vais te laisser te reposer.
Je sers ma couette autour de ma poitrine voulant atténuer la douleur qui oppresse mon coeur. Un nouvel obstacle qui se dresse entre nous, et une nouvelle fois se sont ses proches qui dresse devant nous, et comment faire ? maintenant je ne suis pas seule à présent, je ne pourrais pas me jeter dans la gueule du loup sans prendre le risque de faire du mal à mon enfant. Malgré tout l'amour que je lui porte, mon enfant est plus important...
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top