Chapitre 36

- Bruna

Je l'attend devant la porte d'entrée, bien sur habillé pour éviter les vautours de journalistes qui me suit depuis que je suis sortis de l'ascenseur, je souffle d'exaspération en le voyant courir vers moi et dès qu'il est à quelques mètres de moi je repars dans ma chambre sous le regard de tout le monde. Il entre dans ascenseur avant qu'il ne se ferme mais aucun de nous ne parle seule notre respiration se fait entendre dans l'habitacle les quelques personnes qui voulaient entré sont resté dehors sous le regard en feu de Federik, tant mieux si je lui saute dessus je ne veux pas de témoin.

Il m'énerve !

Quelques instant plus tard nous rentrons dans la chambre qui est totalement vide, Oskar est parti se prendre un café, je me tourne vers lui croissant mes bras sur ma poitrine attendant qu'il parle mais monsieur ne bouge pas d'un poil, c'est tellement frustrant je ne lui demande pas la chose la plus compliqué du monde juste de me laissé voir ma famille, me laisser passé du temps avec eux, j'ai l'impression qu'il n'a pas confiance en moi malgré ce qu'on a vécu. C'est tellement difficile de ne pas le comprendre, ne pas pouvoir lire dans ses pensées, j'ai besoin de prendre l'air de voir ma mère pour lui poser des questions sur le petit ange qui grandi en moi.

- J'ai besoin de partir pas loin de toi juste voir mes parents, tu ne peux pas me refusé ça.

- Tu dois resté pour le bébé et ta...

Il est sérieux ?

- Sécurité tu parles sérieusement, je me suis fait enlève dans Ton palais, j'ai failli mourir dans ton château, tu veux que je continue Federik.

Je le vois recule à la fin de ma phrase, je m'en veux énormément, ma phrase sonne que si je le tiens responsable des problèmes que j'ai eu au palais et je ne le pense pas le moins du monde, la colère, la fatigue parle pour moi.

- Federik, je suis désolé c'est pas de ta faute je le sais mais j'ai besoin de ma mère comprend moi. Il ne bouge pas, je m'avance doucement pour le prendre dans mes bras il ne réagit pas pendant un certain temps mais il finit pas m'entouré par les bras musclés que j'aime tant.

- Je te comprends ma chérie mais j'ai peur, Me dit-il en déposant un baiser sur mon cou ce qui me provoque des frisonnes sur toute ma colonne vertébrale, mon cœur s'emballe dû cette exquise proximité, son odeur m'apaise, cette odeur est purement envoûtante et il m'appartient.

Peur de quoi, de mes sentiments ? de nous ?

- Peur de quoi, j'ai des sentiments pour toi, nous allons avoir un enfant je pars pour une semaine avec deux gardes si tu veux mais comprend moi.

Il souffle de résignation m'embrassant tendrement, je réponds a son baiser avec tout l'amour que je ressens pour lui, je me sens tellement bien là avec lui oubliant l'endroit même si ma chambre et joliment décoré, - D'accord, deux gardes et juste une semaine tu reviens dans une semaine, me dit-il en me regardant droit dans les yeux puis il reprend - Tu m'appelle tous les jours.

- Oui

Nous nous installons sur mon lit d'hôpital, je pose ma tête sur son torse écoutant les battement de son coeur, une douce mélodie. Personne ne parle on profite de la tranquillité de la pièce, sa chaleur m'entoure me donnant l'impression d'être protégé. Que j'aime cet homme !

- ça va mieux, Demanda Oskar en rentrant dans la chambre

Federik lui répond positivement tout en déposant un baiser sur mon front, Oskar nous parle du village les nouveaux arrivant, les nouvelles positif et négatif, c'est bien d'avoir des nouvelles du village même si je n'étais pas trop impliqué dans la vie du village j'aimais énormément être la-bas.

- Pourquoi tu ne viens pas travailler ici, tu seras près de nous.

Oskar ouvre la bouche puis la referme il fait cela pendant quelques secondes, - Mais ma vie là-bas ?

Je trouve que c'est une bonne idée, il viens ici fréquemment et je suis sur que avec ses qualifications et l'aide de Federik il pourra trouver facilement un travailler ici - C'est une bonne idée réfléchis y

Il hoche la tête mais ne dit rien, je pose ma tête une nouvelle fois sur le torse de mon homme m'endormant le sourire aux lèvres.

***

Assise sur le canapé noir de mon salon avec une tasse de thé aux fruits rouge, nous discutons de tous et de rien avec ma mère, je ne lui ai pas encore dit pour ma grossesse profitant de ce moment avec elle pour tout lui raconte et avoir des nouvelles des personnes de mon pays, je suis arrivé ce matin trouvant ma mère dans la cuisine préparant tout ce que j'aime, mon père étant au travail je ne le verrais que ce soir.

Je ne sais pas comment abordé le sujet de ma grossesse à ma mère, trouvera-t-elle sa trop précité. Malgré le stress je profite du moment, notre petite maison m'a tellement manquer, et aussi les délicieux plats de ma maman.

On parle pendant toute la matinée sortant qu'une seule fois pour aller nous balader, je me sens en sécurité dans cette maison même si il y'a quelques temps j'ai fuis loin d'ici aujourd'hui j'ai aucune raison pour ne pas me sentir bien dans cette endroit

- Maman j'ai quelque chose à te dire rien de grave ne t'inquiète pas, Lui dis-je pendant un moment de silence du à un fou rire, elle se calme petit à petit en reprenant son sérieux.

- Que se passe-t-il ma chéris, me demanda-t-elle l'inquiétude planant dans ses yeux, je respire calmement avant de tout lui dire, elle ne dit rien pendant quelques secondes ce qui commence à me stressé plus que je ne le suis déja. Est-elle déçu de moi ?

- Je suis contente pour toi ma fille, je suis sur que le roi sera un bon père mais...mais

Elle ne finit pas sa phrase ouvrant la bouche puis la refermant plusieurs fis, j'ai peur de ce qu'elle va me dire, tout ce mélange dans ma tête, elle n'est pas fâché mais elle à l'air inquiète attendant qu'elle parle je regarde les photos de ma famille sur le mur en face de moi, ce sont des belles photos si je viens à oublier ce que cet homme à voulus me faire subir, mon propre frère. Des bons souvenirs comme des mauvaise défilent devant moi me donnant envie de pleuré, j'ai souffre à cause de lui mais sans cette souffrance est-ce que j'aurais pu le rencontré un jour, cet homme malgré les problèmes mes sentiments pour lui ne sont pas qu'une illusion et mon souhait c'est que ses sentiments soient réel, j'ai peur qu'il veuille défié sa famille en prenant une fille du peuple, j'ai peur de me réveiller que cette réalité que je vis soit fausse...

- Tu devras rester ici et le laisser mettre de l'ordre dans sa vie avant que tu n'allais t'installer là-bas, ma chéris c'est pour ton bien beaucoup de chose se sont passé dans ta vie te faisant extrêmement souffrir, je te demande juste de rester te repose et t'éloigner des mauvaises choses pour ton bébé, me confie-t-elle en posant sa main sur mon ventre plat.

Je lui ai promis de rentré dans une semaine mais je sais aussi que ma mère à surement raison, j'ai besoin de tranquillité et surtout être en sécurité parce que maintenant je ne suis plus seule.

- Tu as raison maman, je vais rester quelques temps ici.

Elle me prend dans ses bras me félicitant pour ma décision, je ne sais pas si c'est la bonne décision mais je préfère lui en parle samedi puisque je dois retourné au palais dimanche dans la matinée. Je décide quand même d'en parler à mon ami Oskar qui est lui aussi retourné au village pour récupéré ses affaires, je fais un dernier câlin à ma mère avant d'aller m'enfermer dans ma chambre. Le téléphone collé à mon oreille droite j'entend patiemment qu'il me réponde...

- Bonjour ma chéris bien arrivé ?

- Oui très bien, tu as déjà finis tes cartons, me demanda-t-il

Il me raconte ce qu'il a fait depuis qu'il est arrivé au village et pendant son récit je lui dit - Je ne rentre pas dimanche.

Il ne parle pas mais je peux l'imaginer la bouche entre ouverte essayant de comprendre ma décision mais après quelques secondes de silence il me dit - Que t-arrive-t-il Bruna, il était réticent pour que tu partes et maintenant tu crée un autre problème en me disant cela.

- Oskar, je ne dit pas que je ne vais pas retourné au palais mais j'ai besoin de tranquillité et de pensé à nous, beaucoup de chose se sont passé et ici je pourrais me reposé, Dis-je pour justifié ma décision

- Tu lui a dit ?

- Non, je lui dirait samedi, je sais qu'il ne va pas accepter ma décision,je lui dirais que ce jour là.

Il souffle d'agacement avant de comment une longue explication de ce qui va se passé si je ne lui dit pas tout de suite ou si je ne rentre pas dimanche.

Je ne fais pas cela pour lui faire du mal mais pour nous, aujourd'hui je ne suis pas seule pour rien au monde je ne laisserais quelque chose de mal arrivé à mon enfant sans me battre et j'ai compris une fois de plus que je ne suis pas totalement en sécurité dans le palais...

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