☀ραятιε 13☀


Salem Aleykûm
Bonne lecture.

PARTIE 13

Lє Ɩєηɗємαιη

Je me lève à 6h30 pour le dernier jour où Zakaria m'accompagne, j'avais vraiment pas la tête à y aller vu ce qu'il s'était passé hier... Mais je me dois d'aller quand même au travail.

Je pars me doucher, m'habiller comme ceci.

Ma coiffure vous même vous savez, queue de cheval haute.

J'ai pas eu la tête à manger, j'ai fais le maximum dans mes vêtements pour faire bonne impression, j'avais les yeux rouges et cernés à cause des larmes qui coulaient de mes yeux hier.

Younes me regarde d'un air triste, je détourne mon regard et fais comme si je ne l'avais pas vu. Je met mes chaussures que j'avais préparée puis je suis sortie de chez moi. Ne voyant pas Zakaria devant ma porte, je vais devant chez lui en attendant qu'il sorte.

Vingt minutes après, vu qu'il ne sortais pas, j'ai sonné à sa porte pour voir si il était là.

Je regardais mes chaussures puis une silhouette apparaît devant moi. Je lève les yeux et je vois, Zakaria en short, décoiffé qui venait sûrement de se réveiller.

-Moi: T'es pas réveillé ?

-Zakaria: J'avais oublier que je travaillais... Attends j'arrive.

-Moi: Ok, je t'attends dans la voiture ?

-Zakaria: Nan tranquille je fais vite!

-Moi: D'accord.

-Zakaria: Rentre.

-Moi: Hmm.

-Zakaria: Qu'est ce qu'il y a on dirait que t'es sèche.

-Moi: Nan t'inquiète y'a rien.

-Zakaria: Bon...

On est rentré, je me suis assise sur son canapé, pendant que lui était parti se préparer.

Quelques minutes plus tard, il revient habillé d'un costard.

-Moi: Dernier jour de travail.

-Zakaria: Ouais.

-Moi: On y va ?

-Zakaria: Ouais.

On part au travail, je ne sais pas si je l'ai précisé mais le travail de Zakaria et le mien sont juste à côté, donc au lieu d'y aller chacun son dans son coin, eh bien on y va ensemble.

🕙₂₂ʜ₀₀🕙

Nous étions à table pour le dîner, sous un silence pesant, avec mes parents qui me regardaient du genre "réconciliez-vous avant que je vous défonce.

Je ne prêtait attention à personne, Younes me regardait d'une façon désolante.

-Maman : Nihal, tu peux aller chercher le dessert hefeck. - s'il te plaît-

-Moi: D'accord.

Je suis allée chercher le dessert, une charlotte aux fraise puis je suis repartie dans le salon avec celui-ci, des assiettes et des couverts.

Younes: sers moi hefeck

Moi: ouais. -sèchement-

Maman: donnes je sers

Moi: nan t'inquiète

J'ai servis mes parents, Younes et moi.

Le lendemain...

J'étais en train de partir au travail, j'avais l'impression qu'on m'observais. Je regardais derrière moi chaque minute, on aurait dit une folle.

I N C O N N U

Je la regardais, s'en aller je ne sais où, avant de faire ce que j'ai à faire, il faut d'abord que je sache chaque détail de sa vie, chaque faits et gestes qu'elle fait, avec qui elle traîne, tout! Ça pourrais me servir...

Je sais déjà qu'elle sort un peu moins qu'avant et que je ne la vois plus avec Zakaria. L'a-t-il jarté ? Elle a l'air grave mal en plus.

Je la vois partie dans un hôpital, je pense qu'elle travaille là-bas vu qu'elle sort un badge
Reste lus qu'à savoir ces horaires. Je vais aller m'informer.

Je pars à l'acceuil de l'hôpital et demande à la meuf:

-Moi: Tu sais c'est qui Nihal Bensalem ?

-La meuf : Euuh oui monsieur, elle travaille ici en tant que sage femme pourquoi ?

C'est noté.

-Moi: C'est parce que je suis son cousin et je dois la chercher ce soir et je sais pas elle finit à quelle heure.

-La meuf: Elle termine son service à 14h45 environ.

-Moi: Ah ok.

J'allais faire demi-tour quand la meuf me rappelle.

-Elle: Monsieur !

-Moi: Ouais ?

-Elle: Ça vous dis de... passer un moment ensemble pendant ma pose ?

-Moi: Euhhh ouais.

-Elle : On pourra discuter ! -en carressant mon torse-

-Moi: Sale coquine à 12h t'es devant y'aura une voiture noir Mercedes.

-Elle: Hmm ouais.

Je suis reparti dans ma voiture, à attendre que Nihal sorte, imaginez elle a menti ?

Je sais qu'elle m'a rien fait mais c'est juste pour me venger de deux personnes. Je vous en dis trop.

Un message, oubliez-moi, oubliez moi pendant très longtemps car je ne reviendrai pas toute suite, ou peut être jamais. Moi, Yanis.
Bon vas-y tchuus les boufonnes.

N I H A L

Je sors de mon travail et je vois une voiture Mercedes, vitre teintées qui me paraissait bizarre.

J'étais en train de rentrer chez moi, en bus quand on m'appelle.

Je regarde mon téléphone et c'est inscrit "Razmo🍑💜"

📞RAZMO.

-Moi: Allo?

-Zakaria: À l'huile.

-Moi: ...

-Zakaria: Ça va ? -rire-

-Moi: El hamdouliLlah et toi ?

-Zakaria: Ouais el hamdouliLlah ça va ! Tu sors ?

-Moi: Hmm ouais où ?

-Zakaria: Je sais pas... Mais pas dehors.

-Moi: Mais pourquoi ?

-Zakaria: Je sais pas j'aime pas... chez moi ?

-Moi: Euhhh...

-Zakaria: Viens wsh c'est bon !

-Moi: D'accord je viens à quelle heure ?

-Zakaria: Bah maintenant ?

-Moi: Je vais me chercher un grec t'en veux ?

-Zakaria: Ouais mais viens d'abord je te donne l'argent.

-Moi: Non tranquille j'y vais.

-Zakaria: WAllah je paye.

-Moi: Toujours dans le forçage ces arabes !

-Zakaria: En mode toi t'es française ! T'es algérienne d'origine hein.

-Moi: -rire- Je sais ! Mais les maghrébins ne sont pas arabes !

Je descends du bus quand le bus s'arrête (logique) à mon arrêt, je monte les escaliers de mon bâtiment et arrive à l'étage de Zakaria.

-Zakaria: Enfin !

-Moi: 'Scuse nous !

-Zakaria: Hek.* - en me tendant 20€-

*Tiens.

-Moi: Je te prends quoi ? Toi qui changer h24 de menu.

-Zakaria: Prends moi comme toi.

-Moi: Ok.

Je suis descendu sous le regard de Zakaria, il veut jouer à me faire mal en faisant comme si il ne s'était rien passer ? D'accord... Mais ça m'a blessé, genre moi je suis une merde, il m'embrasse et il s'en fou? J'ai deviergifié mes lèvres pour qu'il s'en foute.

J'ai pris 2 grecs salade tomate, sauce algérienne barbecue, sa boisson, sa vie, son bébé ge3, son ice tea et moi j'ai pris de l'oasis pomme cassis framboise avant de rentrer.

-Zakaria: Ohh putain ça sent booonnn ! Passe le mien j'ai faim.

-Moi: Non.

-Zakaria: Pourquoi ?!

-Moi: -en fermant la porte de chez lui- Parce que t'as pas dit s'il te plaît.

-Zakaria: Waaaaah t'es dans l'abus ! Passe mon grec s'il te plaît.

-Moi: Voilà !

On se pose sur son canapé, pour manger.

-Moi: Il fait trop chaud chez toi ! Éteinds les radiateurs cousin on est en juin hein.

-Zakaria: J'oublie.

Jai posé mes frites, puis j'ai enlevé mon tee-shirt, en restant avec mon haut plus léger du dessous. (Un tee-shirt hein).

-Zakaria: Je te gêne pas trop ?

-Moi: Nan tranquille !

-Zakaria: N'importe quoi hedi.

Une fois qu'on a finit de manger, j'ai débarrassé puis on s'est posé encore une fois sur son canapé tout moelleuuux.

À un moment, Zakaria s'est allongé en prenant toute la place.

-Moi: Bouuuge tu prends toute la place !

-Zakaria: Nan je bouge pas, c'est mon canapé je fais ce que je veux.

-Moi: Mais bouge ! -en le poussant-

-Zakaria : Tu crois que c'est avec ta force de minimoys que tu vas me pousser ?

-Moi: Je suis plus forte que toi déjà.

Je sais pas comment, mais on a commencé à faire un concours de pompes, à un moment j'en avais marre donc je suis montée sur lui pour qu'il tombe sauf qu'il est pas tombé...

-Moi: Tombe nan ?

-Zakaria: -rire- Dommage pour toi. -en se retournant-

C'était un peu gênant j'étais à califourchon sur lui du coup je me suis décalée sauf que Zakaria m'a retenu par le bras.

-Zakaria: Reste non ?

-Moi: Ouais mais pas sur toi... Pas comme ça là.

-Zakaria: Hmm.

Je me suis décalée quand il met une met une main sur ma hanche que j'enlève directement.

-Zakaria: T'es énervée ?

-Moi: Non, mais t'as pas à me toucher.

-Zakaria: Et quand tu m'as embrassé on en parle ?

-Moi: Ouais mais tu t'en fou donc il s'est rien passé pour moi. En plus, c'est toi qui m'a embrassé, pas moi !

-Zakaria: Qui te dis que je m'en fou ?

-Moi: Rien, mais je le sais...

-Zakaria: C'est toi qui le dis...

J'ai du rester encore 1 heure et demie puis je suis rentrée.

-Moi: Salem Aleykûm* !

*Que la paix soit sur toi.

-Yemma: Wa عAleykûm selem.

-Moi: Ça va ?

-Yemma: El hamdouliLlah et toi ?

-Moi: Ça va.

-Yemma: Tu t'es réconciliée avec Younes ?

-Moi: Réconcilier? Mais pourquoi ?

-Yemma: Quoi ?!

-Moi: Ffeur.

-Yemma: -soupire- Tu peux me dire ce que je peux faire de toi s'il te plaît?

-Younes: Bonsoir Paris yeaaah.

-Moi: Bonsoir Pariiiis ye-

-Yemma: -nous toise- Bonsoir vos crâne oui.

-Moi: -rire-

-Younes: -il me tire par le bras et m'emmène dans sa chambre- Guette j'ai quoi !

-Moi: Quoi ?

-Younes: -en fermant la porte- Bahiya elle m'a jarté wesh.

-Moi: T'es sah ?

-Younes: J'te jure !

-Moi: Raconte tout.

Et oui, il me raconte même ses histoires d'amour.

-Younes: C'est pas j'étais dehors et tout, et la meuf m'appelle. Je réponds et tou-

-Moi : Eh, épargne moi les détails.

-Younes : Ta gueule, j'vais sortir tous les détails pour la peine. Bref, elle m'appelle, elle me fait ouais, viens chez moi. J'vais, et tout, la meuf commence à me frapper à peine ai-je passé le seuil d'la porte, va savoir pourquoi. elle gueulait comme une malade j'ai rien compris à ma vie. Elle sort quelque chose qui fallait pas dire à ton égard, j'l'ai tarté sous l'coup de la colère. Elle est malade. Elle me dis, "c'est fini". Est ce que ça a commencé pour finir elle est malade hedi.

-Moi: Elle a dit quoi ?

-Younes: Rien rien.

-Moi: T'as fais quelque chose toi ?

-Younes: Bah nan wesh.

-Moi: Mais elle est bizarre, parles avec elle au moins pour savoir pourquoi non ?

-Younes: pa-quoi ? Parler ? Moi ? Elle ?

-Moi: Bah oui.

-Younes: Je l'appelle c'est tout. J'déplace pas mes fesses moi.

-Moi: Tu l'aimais ? -me mettant entre ses jambes-

-Younes : Nan wesh, juste de l'attachement. Mais elle est vraiment shtarbé celle-là quand même.

APPEL📞📞📞

-Younes : Allo?


Votez,Commentez,Partagez
TaDzGlsn

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top