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Salem Aleykûm✳Bonne lecture✳

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PARTIE 65

Moi : bon les filles, j'y vais.

Younes : reviens dormir chez nous encore hein, j'ai pas pu te souler !

Moi : connard !

Safa : tu vas pas y aller comme ça là ?

J'étais en pyjama Mickey.

Moi : -souffle- m'en fou c'est rien.

Henya : va prendre une joli robe toi aussi !

Younes : pas moulante c'est mort !

Moi : beh merci je sais !

Ses potes : mddddr elle est vieille qui va vouloir d'elle.

Moi : bande de connards vous êtes tous plus vieux que moi ! Bon je vais me changer.

Je suis montée me changer et j'ai vu un des potes de Younes aller aux toilettes. Je lui ai souris puis j'ai mis un tailleur avec une chemise blanche.

Je suis descendue, j'ai dis au revoir à tout le monde, et je suis sortie. Mon père devait me chercher devant la banque donc je retire un peu en même temps.

Géniteur : salem Aleykûm !

Moi : wa Aleykûm salam, ça va ?

Géniteur : ça va et toi ?

Moi : ça va.

Géniteur : tu viens ?

Moi : oui.

Mon père, c'est pas un bledard du tout, il est h24 bien sappé, pas le bail de chaussure crocodile, naaaan, avec des smoking et touuut !

Géniteur : t'es belle ma fille...

Moi : -sourire-

Venant de sa part, je l'ai mal pris un peu mddrr...

On a un petit peu discuter dans la voiture, puis nous sommes rentrés dans son grand appartement.

Quelqu'un est venu nous servir et tout en mode j'ai pas de jambes...

Moi : merci.

Serveuse : de rien.

Géniteur : t'aimes bien ?

Moi : oui, pourquoi ?

Géniteur : je voulais savoir si je faisais les choses bien..

Moi : oui t'inquiète pas...

Géniteur : tu sais t'as plus à être gênée avec moi hein, certes j'ai fais des erreurs, mais c'était le passé, j'ai changé maintenant, je suis un père responsable !

Moi : oui..

Géniteur : t'as encore faim ?

Moi : noon je suis caléee !

Géniteur : même petite t'étais une gourmande comme ça -sourire-

Moi : -sourire gêné-

On avait discutés, on se racontait nos vies en fait... On s'était pas mal rapprochés, et j'aimais ça.

Abi : -en me caressant les cheveux- t'es fatiguée on dirait.

Moi : non, même pas.

Abi : eh mais toi là !

Moi : quoi ?

Abi : attends jvais voir, prête moi ton téléphone.

Je lui donne.

Abi : tes enfants tu les a laissés tout seuls ? Il est 22 heures hein !

Moi : ma belle mère les a...

Abi : et ça fait longtemps ?

Moi : oui quand même... J'arrive pas à la joindre...

Abi : tu veux j'engage un détective ?

Moi : non t'inquiète c'est bon.

Abi : c'est bon ?

Moi : c'est chocobon.

Abi : -tape dans la tête- t'es conne.

Moi : aïïïïïïe !

Abi : sale fragile.

Il m'a ensuite raccompagné devant la banque, je suis rentrées chez Henya, et il y avait tout le monde.

Moi : DJALIIIIIIL

C'est le pote de Younes, il y a Djalil, Nouah, Dalil et Yacine.

Djalil : arrête de gueuler ton oncle !

Moi : toi même ! Passe mon chargeur à côté de toi !

Djalil : tiens.

Moi : merciii !

Dalil : -voix de fille- de rienn.

Moi : je parle même pas comme ça déjà !

Dalil : si.

Djalil : si.

Yacine : si

Nouah : si.

Moi : tron.

Younes : ta gueule.

Moi : toi même !

Younes : pardon ?

Moi : je parlais au mur !

Younes : c'est mieux. Ah et avec papa c'était comment ?

Moi : grave bien, j'ai mangé de la pizza.

Nouah : daleuse !

Moi : c'est toi le daleux !

Younes : nan sah ?

Moi : bah il s'est excusé de tu sais quoi, on a parlé, on a mangé, et un peu rigoler.

Younes : il était gentil ?

Moi : oui.

[...]

Younes : Lynaaa ?

Moi : oui ?

Younes : va chercher mon téléphone sur mon lit steuplait !

Je suis monté en haut, mais il me crie finalement qu'il a trouvé son téléphone.

Je suis ensuite partie dans ma chambre pour me changer, vu que je suis partie me laver.

Je me suis allongée sur mon lit, en sous vêtements, en regardant le vide. J'étais contente de m'être réconciliée avec mon père.

Je sors de mes pensées, quand j'ai cru voir Dalil dans l'encadrement de la porte. Mais non, y'avais personne.

Je suis resté dans le lit un petit moment puis je me suis habillée et je suis descendue.

Dalil : wsh la grosse.

Moi : wsh le porc !

Dalil : ton pyjama il est moche.

Moi : je viens pas t'emmerder en parlant de ta tête donc...

Safa : ishhh

Henya : J'ai faim.

Moi : y'a une pizza devant toi et ru dis que t'as faim, ta gueule un peu ?

[ ... ] APPEL.

Baba : Lyna avec les enfants on part à Asterix, tu veux venir ?

Moi : ouaiiiis !

Baba : gamine !

Moi : nooon.

Baba : mais oui !

Moi : et c'est quand ?

Baba : le 8 avril, dans 3 jours quoi.

Moi : mmhh d'accord alors ! Moha il va bien ce fou ?

Baba : lui ? Je l'ai frappé tout à l'heure ce batarallémmé.

Moi : owww, mais pourquoi ?

Baba : il a pas fait ses devoirs et il a eu 2/30.

Moi : obligé c'est son prénom qui lui a fait les 2 points.

Baba : -rire-

Moi : abi ?

Baba : hmm ?

Moi : t'as quel âge ?

Baba : 17.

Moi : hahaha. Nan sérieux ?

Baba : 47.

Moi : t'es vieuuuuuux ! Mais t'es jeune à la fois.

Baba : hein ?

Moi : bah tu paraîs jeune de visage et tout !

Baba : je sais je sais.

Moi : modestie.

Baba : quand je suis partie au Sénégal j'ai mangé un bon thieb mmmhh .

Moi : mais c'est quoi le rapport ?

Baba : ta belle -mère en a fait.

Moi : faut que j'apprenne avec elle !

Baba : hier vous vous êtes vu vous m'avez boycotter !

Moi : mais c'est rien, on se voit presque tous les jours toi et moi.

Baba : et alors ?

Moi : alalaaa...

Tata Amina : CHEMS VIENS MANGER !

Baba : le devoir m'appelle.

Moi : tu fais trop le jeune, t'es vieux je te rappelle.

Baba : rage pas !"

Rachid : c'est bon t'as fini ?!

Moi : j'étais avec mon père c'est bon orhhh !

Rachid : ouais, -en mettant son bras autour de mon cou- bon on y va ?

Moi : ouais.

Rachid et moi sommes montés dans sa nouvelle voiture, Ferrari cette fois.

Je suis arrivée, j'avais rendez-vous avec l'autre gars de la dernière fois dans un parc.

Moi : l'argent !

Le mec : calme toi aussi.

Moi : non.

Le mec : je t'ai appelé tu réponds pas. Attends je sors mon téléphone. -il le cherche mais le trouve pas-

Moi : -soupire-

Le mec : tu peux appeler mon num steuplait.

J'appelle.

Le mec : ah merde, il était dans ma sacoche.

Moi : ok c'est cool, l'argent.

Le mec : combien déjà ?

Moi : 15 000.

Le mec : tiens.

Moi : au revoir.

Le mec : attends.

Moi : -en me retournant- quoi ?

Le mec : merci pour ton num. -clin d' œil-

Moi : batard. Pffff.

Je suis remontée dans la voiture, avec Rachid, on doit aller faire un descente, dans un autre quartier. Il m'emmène pour sois disant m'entraîner.

Sur le chemin, il met sa main sur ma cuisse, je le regarde directement.

Moi : enlève ta main.

Rachid : tranquille c'est amical.

Moi : hmm. On est bien tôt arrivés ?

Rachid : ouais, j'espère que tu sais courir.

Moi : oui je sais courir vite, encore heureux !

Rachid : descend.

On est descendus.

[...]

Moi : AHHH PUTAIN !

Rachid : la putain de ta race, cours y'a les poulets.

Ils se sont tous enfuis, moi je me suis mise à terre, j'avais un plan en tête. J'espère que ça va marcher.

Policier : madame ! Madame ! Vous allez bien ?

Moi : o...oui...

Policier 2 : qu'est ce qu'il s'est passé ?

Moi : j'allais partir faire les courses... Quand j'entends des trs, beaucoup de tirs, puis on m'a touché la jambe.

Policier : on va appeler les pompiers pour vous emmener à l'hôpital.

Moi : non... ne vous inquiétez pas, j'y irai seule.

Policier : vous êtes surs ?

Moi : oui, merci. Vous êtes très gentils.

Policier : -sourire-

Je me suis levée en boitant, j'avais un peu beaucoup grave mal. Rachid était derrière un bâtiment avec d'autres gars.

Moi : Rachid... Aides moi...

Rachid : tu t'es pris une balle ?!

Moi : non, une bille.

Rachid : trop drôle. Viens on rentre, ils sont partis ?

Un gars : c'est qui elle ?

Rachid : ma reuss

Un gars : ah ok.

On est rentrés chez lui, il a pris une pince, l'a rentré en moi j'avais trop maaal, je faisais que gémir de douleur. Le mec il enfonçait la pince.

Moi : mmhh putain j'ai trop mal !

Rachid : attends je l'ai !

Il m'a fait encore plus mal et il avait enfin réussi à enlever la balle.

R A C H I D

La meuf elle faisait que gémir même après que je lui ai retiré la balle en mode on la... hechek. Je me suis levé en marchant bizarrement j'étais tout tendu d'en bas wsh...

L Y N A

Il est parti chercher du désinfectant en marchant bizarrement on aurait dit un pingouin. Je me suis rendue compte qu'on était chez lui, il a un joli appartement le gars hein, que du oriental !

Moi : JE PEUX PRENDRE UN MÉDICAMENT J'AI TROP MAL !

Rachid : OUAIS.

Je me suis levée en boitant, en cherchant la salle de bain pour avoir un doliprane. J'ouvrais toutes les portes, et à un moment c'est pas je vois....


FIN PARTIE 65

TaDzGlsn

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