Jeux dangereux -Deuxième partie
Son sourire dévoile deux rangées de dents parfaitement alignées, dont la blancheur remarquable contraste avec le voile de grisaille qui nous enrobe.
Tout ceci ne me dit rien qui vaille.
Il me charge. Une ligne noire s'imprime sur mes rétines. J'ai à peine le temps d'esquisser un geste du bras, avant qu'un courant d'air décolle mes cheveux et me donne la chair de poule. Je n'ai senti aucune attaque. Pourtant, l'éclair ténébreux vient de me dépasser. Intriguée, je suis le chemin tracé depuis l'emplacement initial de mon adversaire du regard. Il me contourne sur la droite et disparaît derrière moi. Le cœur battant, je pivote sur moi-même puis le découvre, immobile. Ses yeux malicieux m'enjoignent à faire l'inventaire de mes blessures. Pas de sang, pas d'entailles. Toutefois, ma robe a rétréci. En fait, le vêtement m'arrive à mi-cuisse.
Le vent glacé se fait un plaisir de rougir ma peau nue. Au loin, une nouvelle bande de tissu jonche le sol.
Lorsque je relève la tête, sa lame s'apprête à atteindre mon buste. Je la repousse d'un coup sec avec la mienne puis vise sa jambe gauche. Mon léger déséquilibre lui fournit le temps nécessaire pour effectuer une rondade vaniteuse. Il atterrit pieds joints dans une flaque et déchire la robe au niveau de mes hanches.
- À quoi est-ce que vous jou... ?
Alicante me fait un croche-patte. Sur le coup, l'arme m'échappe des mains. Il a cependant la présence d'esprit d'y donner un coup de pied transversal, de manière à éviter qu'elle se plante dans mon thorax en fin de chute.
Un jet de boue accompagne ma réception, tachant ma robe et son pantalon.
Les cheveux rabattus en avant, je tente de me relever à l'aveuglette, non sans glisser une, deux, trois puis quatre fois, aspergeant mes bras de terre liquide.
- En garde.
À bout de souffle, je prends sur moi pour me dépêtrer du piège naturel. C'était sans compter sur la généreuse bourrasque qui me fait basculer. Un geyser de terre molle explose sous mes fessiers. Alors, depuis le sol liquéfié, mon nouvel habitat, je compte sur la force de mes quadriceps pour restaurer ma dignité.
Une fois campée sur mes jambes, je n'attends pas son feu vert pour attaquer.
Je vise sa tête, mais change de trajectoire en cours de route, stratège. Plus vif, Alicante déjoue mon entourloupe.
Ma hargne déclenche son sourire, qui s'élargit au moment où mes plantes de pieds glissent sur l'herbe. Il profite de l'occasion pour attraper ma cheville, mal stabilisée, et la tirer sans pitié. J'atterris sur le dos.
Les sifflements produits par son épée résonnent à proximité de mon oreille, malgré le brouhaha causé par la tempête.
Effrayée, je tente de percevoir une éventuelle douleur corporelle, en vain.
- Que m'avez-vous fait ?
À la suite d'une brève inspection, mes lèvres s'écartent en un O choqué. Une nouvelle bande de tissu disparaît sous une nappe de boue. Je rassemble mon attention sur mon corps, trempé de la tête aux pieds, puis plaque une main sur ma bouche. La robe, ou plutôt le tee-shirt, m'arrive désormais à la naissance des cuisses.
Ma pudeur m'encourage à resserrer les jambes, sous le regard hilare, mais pas moins émoustillé d'Alicante.
- Cessez cela immédiatement !
La revendication surpasse de loin grondements orageux, sifflements venteux et bruissements pluvieux.
Ma gorge en brûle.
Les yeux d'Alicante se ternissent. Il pointe son épée vers le sol avant de me scruter, en silence, jaugeant le sérieux de ma demande. Des trombes d'eau aplatissent ses cheveux noirs de jais, dégoulinent le long de son nez, menton, voile de barbe brun, tee-shirt et pantalon rendus moulant par la pluie.
Il est diablement sexy.
Tentateur, pour être exacte.
Je déglutis.
Une Lumineuse ne s'adonne jamais à ce genre de jeux luxurieux. Elle est digne, pudique. Valeurs qui contribuent à l'intensification des rougeurs de mes pommettes.
Est-ce que je continue ?
Si j'écoutais mes hormones, je déchirerais ce pseudo tee-shirt à mains nues et le courserai jusqu'à ce que mes jambes se muent en poteaux de coton. Car les hormones ne sont pas rationnelles, elles se fichent comme des guignes de me transformer en animal en rut. Mais, bien heureusement, je ne suis pas seulement contrôlée par leur immoralité légendaire. Ma propre personnalité, mes convictions et la Lumière qui font de moi ce que je suis, ont elles aussi leur mot à dire.
Ce qui m'oblige à passer un compromis avec moi-même : je participe, parce qu'au fond, j'en ai envie. Toutefois, je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour ne plus perdre de tissu.
Le nouveau coup d'œil que je lui lance étire sensiblement la commissure de ses lèvres.
Je prends de l'élan et m'élance en ciblant son front luisant. Il annihilera le coup, c'est évident. Comme prévu, Alicante se concentre sur mon subterfuge, qu'il maîtrise en deux temps trois mouvements. Alors, je profite de sa très brève inattention pour replier mes doigts libres en poing et lui asséner un uppercut à la tempe. Sitôt fait, je m'écarte à l'aide de mes ailes et me réceptionne accroupie.
Sa tête n'a que légèrement pivoté sur le côté. Mais ses yeux s'écarquillent.
Il est surpris.
Il n'en faut pas plus pour me satisfaire. Ma joie explose en un millier de bombes euphorisantes, accélérant mon rythme cardiaque. Bien que mes bras tremblent, soumis aux flux d'adrénaline, je m'efforce d'intérioriser mon contentement et de résumer le tout à un petit sourire.
Ne danse pas la macarena, ne danse pas la macarena.
Mes pulsions festives s'évaporent dès lors qu'il se départit de son épée. En effet, Alicante me l'envoie "façon fléchette". L'épée file à destination de mon corps, malheureuse cible de chair et de sang. Il ne me fera pas de mal, il me l'a affirmé. Son acte est calculé, je ne dois pas bouger. De toute façon, ma tétanie réactionnelle m'octroie tout juste le loisir de battre des cils, si bien que je l'observe bêtement passer sous mon aisselle et couper ma robe en latéral.
Le goujat !
Mon premier réflexe est de me jeter sur l'arme abandonnée. Cependant, une fois doublement armée, je remarque que mon pervers d'adversaire s'est volatilisé. Aux aguets, je me retourne, les deux épées en avant, et me heurte à une coque métallique. Celle-ci chante au contact des lames. Alicante a déployé puis replié ses larges ailes devant lui, de façon à former une coque aussi protectrice qu'intimidante. Ses plumes de fer restent statiques.
Une fraction de seconde plus tard, il les écarte, récupère son épée et tranche ma robe.
Animée par une colère grandissante, je tente une offensive passionnée. Il l'esquive... puis abîme une fois de plus ce qui est censé me servir de vêtement. Je réitère l'action, hargneuse, mais récolte le même résultat. Les coups s'enchaînent, rapides et puissants, inutiles et énergivores. De son côté, chaque attaque se solde par une coupure indolore. Larges ou petites, elles ont toutes le don de titiller mon agacement.
Au Palais Lumineux, je pouvais déjà éprouver de la colère. En ce qui me concerne, rien de trop anormal. Mais lorsqu'Alicante s'amuse à glisser entre mes jambes, tapoter mon épaule, attendre que je me retourne et planter un bref baiser sur mes lèvres, dans le seul but de dissimuler un énorme coup d'épée au niveau de mes fessiers, je jurerai que de la fumée jaillit de mes oreilles.
Ma timidité, la Lumière et mes convictions se révoltent. Et il se trouve que l'Obscurité qui sommeille en moi en profite pour y ajouter son grain de sel.
Me voilà vraiment énervée.
Il pare mon attaque, les épées tintent. Il bloque aussi la suivante, puis la suivante, puis la suivante, tout en reculant. Les contours de mes biceps sont nettement perceptibles sous ma peau, tant je mets mon cœur à l'ouvrage. Des grognements de frustration fourmillent à l'intérieur de ma gorge, au fil des tentatives infructueuses et coupures salaces.
Alors que je lève le bras dans l'espoir de le toucher, il saisit mon poignet, et s'en sert pour me faire tournoyer. Bientôt, je suis plaquée dos à son torse.
La pluie battante mitraille mon ventre. Une zone qui n'aurait jamais dû goûter à l'air libre. Les yeux fermés, j'expire. Son corps, bouillant, influence la température du mien. J'aurais sans doute apprécié l'instant, si je ne me répétais pas à tue-tête que non, Alicante ne peut rien voir sous l'averse. Pas mes jambes. Pas mon ventre. Pas ma culotte. Pas mon épiderme cramoisi.
Je mords son poignet puis me mets en quête d'une bande de tissu susceptible de recouvrir mon postérieur. Il me relâche l'espace d'une demi-seconde, avant de m'emprisonner à l'identique. À un détail près : il place la lame de son épée en contact avec mon cou. Impossible de me dégager. Impossible de contrôler ma respiration.
Ni la sensation tactile de ses muscles sculptés dans mon dos.
Ni ma peau qui s'enflamme.
L'alliance désir/colère me coupe le souffle.
- Coupure glacée, hein ?
Son rire rauque provoque une salve de tressautements dans son torse, qui se propage le long de mon dos.
- Êtes-vous toujours de la partie ? s'enquiert-il, aguicheur.
Emoustillement, colère et crainte.
- Qu'ai-je à y gagner ?
- Le jeu prend fin dès que l'un des duellistes finit nu comme un ver, précise-t-il tout contre mon oreille.
J'inspire, une initiative saccadée par le désir.
- En garde, Alicante.
Je sens ses lèvres s'étirer en un sourire grivois. Il me libère alors, me laissant le soin de reprendre contenance, me fustiger mentalement et me mettre en position d'attaque.
Il écarte les bras, soi-disant accessible. Son haussement de sourcils narquois achève de me motiver.
- C'est parti ! déclaré-je.
Sitôt prononcé, Alicante disparaît. Je ne comprends qu'il s'est déplacé derrière moi qu'après avoir été poussée en avant. La propulsion me force à planter un pied au sol, afin d'éviter la chute. Raté. Cependant, l'effleurement qui fait appel à la sensibilité tactile de mon épaule me pousse à y jeter un œil. La bretelle de mon sous-vêtement est désormais visible. Il vient de dénuder mon épaule gauche.
Une vague de chaleur inonde mon visage.
Je me retourne malgré tout, terrifiée à l'idée d'en dévoiler autant. Mais la façon dont son regard brûlant me caresse évince aussitôt mon embarras. Pourquoi éprouver de la gêne alors que mon âme-sœur de Prince semble apprécier le spectacle ? Pourquoi souhaiter camoufler ma meilleure arme ? Et pourquoi ne me délecterais-je pas de cette impression délicieuse ? Vous savez, celle de se sentir belle et désirable.
- J'en ai assez, c'est trop pour moi.
À ces mots, je prends la direction du village.
- Attendez ! Ecclésia, nous ne faisons rien de mal ! Qu'y a-t-il ? s'informe-t-il en atteignant mon niveau. Nous sommes seuls. Souhaitez-vous que je me désarme ? Voilà, c'est fait.
Satisfaite, je m'arrête net et zèbre son tee-shirt du bout de l'épée.
Bien plus simple que je ne l'espérais.
Le cœur battant, je l'observe détailler le vêtement, dont les lambeaux cisaillés choient à ses pieds.
Je rougis violemment, perturbée par l'érotisme de la scène. Aiguillonnés par mes hormones, mes yeux ne se font pas prier pour admirer les délicieux reliefs qui ornent son buste. Et, avant que je ne parvienne à contrôler mes fantasmes débridés, l'embout de mon épée fait sauter le bouton de son jean. Le cercle argenté s'enlise dans la boue.
Alicante retient le bord de son pantalon et relève la tête. Dès lors qu'il perçoit mes joues rougies, mon souffle saccadé et mon regard glouton, sa sidération laisse place à un air diabolique.
Mes instincts me hurlent de prendre la fuite.
Je les écoute.
Un fou rire surgit de ma gorge, aussi inattendu qu'incontrôlé. Des crampes se nichent au sein de mes cuisses, mes cheveux mouillés limitent mon champ de vision et ma peau bout, en totale opposition à la fraîcheur extérieure. Je cours, et c'est tout. Impossible de réfléchir. Savoir qu'Alicante menace à tout moment de me dénuder occupe toutes mes pensées.
Le rire du Prince s'intrique au mien. Le percevant d'un peu trop près, je tourne la tête et le surprends penché en avant, sur le point de trancher une partie de ma robe. Je pousse un cri de stupeur puis roule sur le côté. Mon élan provoque ma chute.
Étendue sur le sol, la pluie me débarrasse de la terre collante ainsi que de la multitude de brins d'herbe arrachés.
Je m'escrime à apaiser mes crampes musculaires. Aux cuisses, mais aussi aux abdominaux et aux joues, écopées de mes rires interminables. Sur l'instant, je me demande s'il ne serait pas préférable de le laisser œuvrer. De contenter mon désir. Après tout, je n'ai plus d'énergie en réserve. Mes hormones la dépensent en me surchauffant excessivement. À vrai dire, mon corps pourrait liquéfier l'Arctique.
Alicante surgit devant moi. Je tressaille. Mes paupières se plissent par automatisme, attaquées par des trombes d'eau. Le Prince ne représente pour le moment qu'une silhouette, grande, athlétique, aux contours floutés par l'averse, mais qui se rapproche encore et toujours. Bientôt, sa démarche féline le guide suffisamment près de moi pour que je puisse admirer l'eau ruisseler le long de ses muscles athlétiques.
Je réprime un rire en le voyant soutenir son pantalon d'une main et l'épée de l'autre.
Traînant sa lame au sol, il me contourne, fauve martyrisant sa proie. Je me contracte de la tête aux pieds.
Soudain, sa grande main se matérialise devant mon visage. Crédule, je me tords le cou afin d'analyser son expression faciale.
Non, je ne rêve pas. Pour la première fois depuis que nous nous connaissons, Alicante me tend la main.
Je la saisis et il me relève d'une traite. Mais il ne me relâche pas. Je profite de notre proximité pour appuyer mon front contre son torse.
Nos respirations se synchronisent, maltraitent nos poumons en chœur.
L'averse a vite fait de me débarbouiller, bien que quelques traces de boues subsistent çà et là, à l'instar de mes rougeurs.
Malgré le climat ambiant, la fraîcheur du métal me fait tout à coup tressaillir. La dernière bretelle de ma robe cède : mon buste est à découvert. Seul mon soutien-gorge noir habille le haut de mon corps.
- Vicieux.
Il pose ses lèvres sur le haut de mon crâne.
- Avez-vous froid ?
- Oui.
Mensonge éhonté.
Il tranche le dernier bout de robe, celui qui encercle ma taille, révélant l'entièreté de mes sous-vêtements.
- Vous m'en voyez navré.
- Espèce d'enflure.
Alicante s'écarte dans l'optique d'admirer son œuvre. Bien qu'il fasse tournoyer son épée autour de son poignet, à l'instar d'un pinceau, son expression taquine s'évanouit, ses prunelles s'assombrissent d'une teinte supplémentaire et l'une de ses canines se plante dans sa lèvre inférieure.
Il secoue la tête, comme pour chasser des pensées parasites.
- Au Palais, vous m'aviez présenté votre centre de contrôle, vous souvenez-vous ?
Je hoche la tête.
--- Si j'ai bien retenu, il vous permet de surveiller les âmes divines et terriennes qu'abrite l'Univers. Vous avez la capacité d'influencer les dernières, mais seulement d'observer les premières. Ce soir-là, vous m'avez expliqué la signification des quelques fils de lumière qui illuminaient l'intérieur du récipient. Vous nommiez les deux âmes auxquelles chacun d'eux était rattaché en termes d'« âme-sœurs ». (Il inspire, mais sans expirer en retour) Mon âme est-elle reliée à la vôtre, Ecclésia ?
Mes doigts se ramassent en poings, reflets de ma nervosité.
- Qu'est-ce qui vous fait penser cela ?
Il effectue une enjambée et pose sa main presque brutalement sur mon avant-bras, pour la faire glisser sur mon bras, mon épaule, remonter mon cou et s'immobiliser sur ma joue droite. Il se penche ensuite pour mordiller ma lèvre inférieure avant de s'écarter et me tourner le dos. Bien que ce fut rapide, la fermeté de sa bouche, son souffle capiteux, son odeur enivrante envoûtent encore mes sens.
Rigide, Alicante fait les cent pas, les yeux rivés sur l'épée qu'il agite devant lui.
Je suffoque.
- Comment s'alimente-t-il ? Je ne dispose d'aucune ressource Lumineuse.
- Je suis atypique jusqu'au bout des ongles, pourquoi mon étrangeté ne contaminerait-elle pas mon lien d'âme sœur ? je réponds dans un filet de voix.
Il plante l'épée dans le sol, puis me scrute, apathique.
- Le destin n'a de cesse de vous punir.
- Ce n'est pas faux, mais il m'offre quelques éclaircies.
Sa mâchoire se contracte.
- Genesis est une éclaircie.
- Oui.
- Et je suis l'orage, déduit-il sèchement.
- Oui.
Je fais traîner mon épée derrière moi. Le sillon qu'elle trace rejoint ses pieds. Alors, je plante à mon tour l'arme, juste à côté de la sienne, et l'y abandonne.
-... Mais, personnellement, je n'ai plus rien contre l'orage... murmuré-je en enroulant mes jambes autour de sa taille, tandis que le tonnerre gronde au-dessus de nos têtes et fait vrombir la pelouse.
Qui d'autre qu'Alicante parviendrait à rendre de telles conditions météorologiques propices aux "jeux dangereux" ? Pas de doute, les orages à venir éveilleront d'agréables souvenirs.
Il me laisse me suspendre à son cou. Ses mains se posent sur mes hanches, tandis que ses yeux nébuleux m'observent.
Je maintiens la connexion visuelle sans trop fournir d'efforts.
- J'ai cru comprendre que les Lumineuses apprécient les bouquets de roses, les sérénades et les massages aux huiles essentielles, énumère-t-il platement. Êtes-vous consciente du fait que tout ceci ne me correspondra jamais ?
- Bah ! commenté-je en haussant les épaules, on n'a jamais apparenté l'orage au romantisme.
***
Coucou, je ne sais pas si tout le monde lit les notes de fin de chapitre mais bon, je vais quand même blablater x)
Je me suis lancée dans un nouveau projet qui change pas mal de ce que je fais d'habitude. Il me tient vraiment à cœur, parce que l'idée a maturé des années. (Pas de fantastique, cette fois !) Le synopsis et une note explicative sont déjà postés sur mon profil. L'histoire s'appelle "Les Mercenaires Casqués - le bal des monstres".
Romance spéciale, combats et folie au menu ! Ma passion quoi 😈
Un chapitre sera posté tous les vendredis à partir du 29 juin 2018 ! Du coup, vous pouvez dores déjà l'ajouter à vos listes de lecture si cette nouvelle histoire vous parle, afin de ne pas rater le premier chapitre.
Le point ultra positif, c'est que j'ai entièrement écrit le Tome 1 (je vais fonctionner comme ça, maintenant, ça évite l'attente interminable). Du coup, vous êtes sûr(e)s d'avoir un chapitre hebdomadaire et ça n'impactera pas la fréquence des publications de CDF 😊
À bientôt pour celles et ceux qui se laisseront tenter 😃
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