Le vide.
Le vide. Le néant. Rien ne demeure hormis le fait en lui-même : ce cœur brisé, à l'agonie et en sang. Je le vois dans mes mains, et du sang se répand sur mes doigts. J'ai les phalanges toutes collantes et les jointures toutes écarlates. Une odeur épouvantable fait frémir mes narines. Un odeur de cuivre et de sel : l'odeur du sang.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top