Un an
Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, les points (.) en plein milieu de deux paragraphes sont là pour montrer que je change de moment. Bonne lecture, avec beaucoup de lemon.
oOo
Akaashi se réveilla, sentant ses boucles noires être caressées. Comme à chaque fois qu'il dormait avec Bokuto.
Il sourit intérieurement et cacha son nez dans le cou de son capitaine.
- Bonjour mon cœur.
- Bonjour Kō.
- Bien dormi?
- Hmm.
Bokuto commença à poser des baisers sur tout le visage d'Akaashi, sans l'embrasser sur ses lèvres pour le frustrer un peu. Il l'embrassa sur le dessus de la tête, le front, entre les yeux, l'œil droit, passant par la joue droite, descendit sur sa mâchoire, puis, le cou.
Akaashi laissa échapper des gémissements doux, se laissant totalement faire, appréciant ce réveil doux.
Bokuto l'embrassa finalement sur ses lèvres et un baiser lent et sensuel débuta. Bokuto se retira et après s'être mit au-dessus d'Akaashi, posa son oreille droite sur le torse d'Akaashi.
- Content de savoir que je suis le seul à pouvoir accélérer ton cœur de cette façon.
Akaashi passa ses mains sur les cheveux bicolore de son petit ami et rougit.
- Enfin... j'espère être le seul.
- Kōtarō...
- Je te taquine babe.
Akaashi aimait follement cette manie que Bokuto avait prit de l'appeler « bébé » de façon cassée en anglais.
- Tu aimes quand je t'appelle comme ça hein?
- Non.
Bokuto rit.
- Bah ton cœur ne pense pas la même chose que ton cerveau!
- Tais-toi.
Bokuto embrassa Akaashi légèrement sur les lèvres avant d'éteindre la lampe sur sa table de chevet qu'il avait allumé et ouvrit les volets. (N.D.A : Ouvrez les volets dans le salon... oups)
Quand Bokuto se retourna vers lui, Akaashi lui tendit les bras.
- Tu veux bien me porter jusqu'à la salle de bains s'il te plaît? Demanda Akaashi.
Bokuto lui sourit et s'approcha de lui.
- Tu ne veux pas qu'on la prenne ensemble?
- ...
- Quoi?
- J'ai envie de chier alors non.
Bokuto le regarda interdit pendant deux secondes avant de rire et de le prendre dans ses bras, telle une princesse.
- Tu vas arrêter de me porter comme ça un jour?
- Nope.
Akaashi cacha son visage dans le cou de Bokuto, inspirant son odeur.
- Tu es sûr que ça ira? Je peux te tenir compagnie.
- Non ça ira, j'ai pas envie que tu me regardes chier.
Akaashi termina de se laver, tandis que Bokuto fit sa routine dans l'autre salle de bains.
Akaashi mit un simple jogging et un t-shirt, puis, grimaçant et se tenant au mur, se dirigea vers la chambre de Bokuto pour s'affaler sur le lit.
Bokuto remonta quinze minutes plus tard et se dirigea vers Akaashi, puis, lui caressa doucement le dos en le faisant asseoir.
- Le petit déjeuner est prêt.
- J'espère que c'est pas salé...
- Non, tu m'avais dit la dernière fois que tu avais envie de quelque chose de sucré après une belle nuit comme ça. Dit Bokuto en lui faisant un clin, arrachant un joli rouge des joues d'Akaashi.
- J'ai p...
- Mens pas babe.
- Je mens pas.
- J'ai préparé deux cafés au lait et on a pas mangé le gâteau hier.
Les yeux d'Akaashi s'illuminèrent.
- Tu peux me porter s'il te plaît? Que je puisse enfin goûter à cette merveille.
- J'suis outré! Tu préfères le gâteau à moi?
- Le gâteau te surpasseras toujours.
Bokuto prit un air choqué, sa main gauche froissant son t-shirt au niveau de son cœur. Il se retourna et se dirigea lentement vers la porte.
- D'accord, bah débrouille toi pour descendre.
- Quoi? N-non Kō attends!
- Nan.
- S'il te plaît! Je rigolais!
- Mmh mmh.
- Kōtarō...
- Tu l'as dit toi-même Keiji, tu préfères mon gâteau à moi. La tristesse.
- S'il te plaît Kō.
- Tu peux me supplier je céderai pas.
- S'il te plaîiiiit!
- Mh mh.
- S'il te plaît... mon chéri...
Bokuto se figea littéralement sur place. Il se retourna pour regarder Akaashi qui était rouge de la tête aux pieds.
- Keiji?
- ...
- Tu te sens bien? Demanda Bokuto, le taquinant s'approchant de lui.
- ...
- Tu peux redire s'il te plaît? J'avais pas bien entendu.
- Rêve pas.
- Tu m'as appelé ton chéri. Tu es sûr que ça va?
- T'as rêvé, j'ai rien dit.
- Menteur.
Bokuto déposa ses lèvres sur celles d'Akaashi et le porta jusqu'à la cuisine.
Une fois qu'Akaashi fut assis, il prit le couteau et se coupa une grosse part de gâteau, avec un grand sourire d'enfant.
- T'as pas dit que t'allais pas céder?
- Keiji, tais-toi. Ce n'était pas prévu que tu te mettes à m'appeler comme ça d'un coup.
- C'est ton cadeau d'anniversaire avec un jour de retard.
Bokuto grogna « mesuisfaitavoirmelaisseraiplusfaire » et mangea une part de gâteau, sous le rire d'Akaashi.
Une fois fini, ils s'assirent sur le canapé, Akaashi, les jambes passées sur celles de Bokuto, la tête posée contre son épaule.
- Kōtarō?
- Hmm?
- J'aime beaucoup tes yeux. On dirait ceux d'un hibou. Et en même temps on dirait du miel mélangé au soleil.
- Wow. Merci Keiji!
- Chhhhuuut! T'es pas obligé de crier comme ça.
- Dit celui qui criait dix fois plus fort que ça hier au lit. Répondit Bokuto avec un petit rictus.
Akaashi cacha son visage dans le cou de Bokuto, s'asseyant à califourchon sur lui et donnant un léger coup de poing sur le torse du plus grand. Cela fit éclater de rire le bicolore.
Après un moment, Akaashi commença à se tordre dans tous les sens.
- Keiji, ça va?
- Non... j'ai mal... ça allait bien et là ça a prit d'un coup...
Bokuto le fit allonger sur le canapé et se leva.
- Attends moi là, j'arrive. Dit-il avant de se diriger vers la cuisine.
Il alluma la bouilloire et revint dans le salon pour aller dans sa chambre.
- Kōooo...
Akaashi avait prit un coussin et le serrait de toutes ses forces contre lui.
- J'arrive, je fais vite.
Bokuto prit une bouillotte et redescendit dans la cuisine. Il mit l'eau bouillante et se rendit dans le salon, s'agenouillant auprès d'Akaashi.
Akaashi se redressa, du moins essaya, mais retomba sur le canapé.
Bokuto lui mit la bouillotte et prit la tête d'Akaashi sur ses genoux, s'essayant sur le canapé, puis commença à lui caresser les cheveux.
Au bout d'un moment la sonnerie retentit et Bokuto se leva pour se diriger vers la porte et l'ouvrir. Qui aurait bien pu venir à cette heure de la journée?
.
(N.D.A: ce n'est pas au même moment que précédemment que ça se passe. Vous comprendrez qui avait sonné plus tard dans l'histoire. Et excusez-moi d'avance mais j'avais envie de faire la folie qui va tout juste suivre.)
- Keiji... gnh... aah...
- Kō...
Akaashi accéléra ses mouvements de hanches, allant de plus en plus profondément en Bokuto. Bokuto ne l'avait jamais nié mais ne l'avait jamais précisé non plus, cependant, Akaashi était bien muni.
Les mains d'Akaashi étaient de chaque côté de la tête de Bokuto qui gardait une sur le matelas et l'autre sur les cheveux d'Akaashi.
La vision d'Akaashi, au-dessus de lui, se mouvant tel un dieu avec des mouvements fluides, les yeux à demi-ouverts, pleins de désirs lui retournaient le cerveau.
Akaashi quant à lui, était proche de l'orgasme. Bokuto avait les cheveux plaqués contre son front, ses yeux dorés brillants. Il donna un dernier coup de reins, touchant la prostate de Bokuto de plein fouet le faisant venir.
Bokuto se cambra mais ne retira pas son regard d'Akaashi. Le passeur avait ses boucles noires qui retombaient légèrement. Ses joues étaient parsemées d'une couleur rose brillante avec la sueur et ses yeux bleus tempétueux brillaient de plaisir.
Le noiraud vint en Bokuto qui passa ses mains sur le dos de son cadet pour le coller à lui. Akaashi se retira et s'effondra dans les bras de Bokuto qui posa ses lèvres sur son front.
- Keiji, t'es un vrai dieu.
- Tu l'es encore plus. Dit Akaashi relevant son visage pour faire frôler leurs nez.
- Ce n'était pas vraiment le cadeau que je voulais te faire pour ton anniversaire mais si ça t'a plu... Tu t'es prit un sacré coup de confiance en toi pour me dominer. Dit Bokuto faisant un sourire en coin.
Akaashi rougit et cacha son visage dans le cou de Bokuto.
- Bah alors? Elle est passée où ton assurance Keiji?
- T-tais-toi...
- Non, j'ai pas vraiment envie. Tu m'as laissé de belles marques aussi.
Les oreilles d'Akaashi brûlaient. Bokuto rit légèrement, faisant rouler Akaashi sur le côté et se mettant au-dessus du plus jeune. Il l'embrassa. Akaashi fondit littéralement au baiser.
- On va se laver? Demanda Bokuto après avoir rompit le baiser.
Akaashi hocha la tête.
- Avant que je sois cloué au lit. Ça m'étonnerai que tu puisses me porter. Haaa... moi au moins je peux te porter mais pas l'inverse. Je vais finir par me plaindre.
- Bah plains-toi.
- D'accord. Alors monsieur me pique mes vêtements mais je ne peux pas parce que les vêtements de monsieur sont trop petits. Et monsieur peut également se glisser sous mon haut pour se coller à moi mais pas l'inverse. Et donc comme je le disais déjà précédemment, m...
- Ok ok c'est bon arrête de te plaindre.
- C'est toi qui m'as demandé.
Akaashi lui lança un regard courroucé et se leva pour aller dans la salle de bains.
- Eh Keiji attends!
.
- Heeeey Kōtarō! Comment ça va?
- Ça va Yuma et toi?
- Super! Alors? T'es toujours avec mon cher cousin?
- Et pourquoi il ne le serait pas?
- On ne sait jamais Maiya. Mais quoi qu'il en soit oublies pas la question qu'on doit leur poser.
- Je risque pas d'oublier abruti.
- Oh, bonsoir Bokuto-san.
- Hey hey hey Kajiro, Akinari! Je vous ai déjà dit d'arrêter avec les « san »!
- Haha c'est plutôt difficile, tu es un aîné. Dit Kajiro.
- On s'en fiche!
- En fait ça fait longtemps mais de mémoire tu es le meilleur ami de Keiji, c'est ça? Demanda Yuma.
- C'est ça.
- Et toi beauté?
- Et moi je suis sa meilleure amie. Ayana Akinari. Et la petite amie de Hiroki.
- Oooh vous êtes ensemble!
- Pardon, pardon, je voudrais fermer la porte. Dit la mère d'Akaashi en fermant la porte.
Bokuto avait opté pour un jean noir, une chemise bleue océan, une cravate noire et une veste noire. Il avait coiffé ses cheveux de la même manière que pour le nouvel an passé à la demande d'Akaashi.
- Bon il est où Keiji? Demanda Yuma.
- Laisse-moi le temps de descendre. Dit une voix venant du haut des escaliers.
Tout le monde était dans le salon, escorté par les parents d'Akaashi. Ce dernier descendit. Un jean noir moulant, une chemise blanche, une cravate noire et une veste noire. Évidemment, il avait ses lunettes sur lui.
Bokuto sourit et dès qu'Akaashi eut fini de descendre, il se dirigea vers Bokuto et l'embrassa.
- Salut Kō.
- Salut beauté.
- Woah ça change de l'année dernière! Direct les baisers maintenant.
- Boucle la Yuma. Salut Maiya.
- Ça va Keiji?
- Oui super et toi?
- Super!
- Ah bah d'accord, c'est comme ça que tu salues ton cousin?
- Déjà salues-moi correctement et on verra.
Les retrouvailles durèrent dix bonnes minutes et l'apéro fut emmené dans le salon. Y avait aussi les parents de Bokuto.
Les jeunes se mirent sur un côté et discutaient de tout lorsque Yuma posa une question qui emmena également l'attention des adultes à leurs conversation.
- En fait, Kōtarō et Keiji, vous l'avez fait?
Les deux concernés rougirent tandis que Kajiro, Akinari ainsi que les parents d'Akaashi, de Bokuto et les grands-parents d'Akaashi pouffèrent.
Les deux tantes et oncles d'Akaashi les regardèrent, les interrogeant du regard.
- Ooooh si vous rougissez, vous l'avez fait? Demanda Maiya.
- Vous l'avez fait combien de fois? Qui est au-dessus? Rho mais pourquoi je pose la question, c'est évident que c'est Kōtarō.
- Je ne serais pas aussi sûre Yuma.
- Qu'est-ce que tu veux dire mamie?
- Je suis allé avec Sakari les voir chez le petit Kōtarō le jour de son anniversaire et on a trouvé Keiji cloué sur le canapé mais le jour de l'anniversaire de Keiji on a trouvé Kōtarō avec un peu de mal à marcher. Et on a pu apprendre qu'ils ont eu leur première fois le jour de la Saint Valentin. Dit le grand-père d'Akaashi.
- Non mais je rêve! Laissez ces garçons tranquilles. C'est bon vous n'avez plus aucune question embarrassante à leur poser et vous n'avez pas intérêt. Dit la grand-mère d'Akaashi.
Akaashi avait caché son visage derrière le bras de Bokuto, gêné.
- Hein? Notre petit Keiji aurait un petit côté dominant?
- Tonton Yukio!
- Yukio, tais-toi.
- Pardon, pardon maman.
Ayame, son frère et sa sœur appelaient les parents d'Akihiro maman, car elle les considérait tous comme ses propres enfants.
Le dîner se termina et Akaashi fut invité à jouer un morceau de violon. Il en joua plusieurs et minuit s'approchait. Il rangea son violon et tout le monde se prépara à fêter le nouvel an.
Minuit retentit et les vœux fusèrent dans le salon. Après avoir souhaité une bonne année à tout le monde, Bokuto prit Akaashi par la main et l'entraîna dans un coin où les autres ne les verraient pas.
Il poussa Akaashi contre le mur et s'avança vers le noiraud.
Akaashi attrapa la nuque de Bokuto de ses deux mains et pressa ses lèvres sur celles du bicolore. Un baiser sauvage débuta entre le couple. Ils avaient déjà enlevé leurs veste et leurs cravate plus tôt dans la soirée. Durant le baiser chacun enleva les trois premiers boutons de la chemise de l'autre.
Ils se séparèrent en manque de souffle et se regardèrent dans les yeux.
- Joyeux anniversaire chéri. Firent les deux en même temps.
Ils se sourirent amoureusement et Bokuto serra Akaashi dans ses bras.
- Cette fois je l'ai bien entendu.
Akaashi sourit.
- Kō...?
- Mmh?
- Je ne savais pas vraiment quoi t'offrir alors...
- Hey ne t'en fais pas pour ça Keiji. Tu es mon cadeau.
Bokuto sentit Akaashi rougir et il sourit contre l'épaule du passeur.
Akaashi se retira de l'étreinte et sortit un petit paquet de sa poche que Bokuto n'avait pas remarqué. Akaashi l'avait mit dans sa poche lorsqu'il était parti ranger son violon.
- Ce n'est pas tout mais pour l'instant c'est ce que je peux te donner...
- Rassure-moi, tu as prévu de remettre ta tenue de cheerleader hein?
Akaashi rougit et dirigea son regard vers le sol, le trouvant plus intéressant.
- J'ai visé juste?
- ...
Bokuto rigola et embrassa Akaashi sur la joue.
Le capitaine de Fukurōdani ouvrit la petite boîte et vit deux gourmettes argentés. La plaque du milieu était noire et l'une avait « Keiji » gravé finement avec des diamants blancs et bleus océan. L'autre avait « Kōtarō » gravé de la même manière que l'autre gourmette mais avec des diamants blancs et dorés.
- Woah... Elles sont magnifiques...
Bokuto attacha celle qui portait son prénom au poignet d'Akaashi qui fit de même avec Bokuto en attachant sur le poignet de ce dernier celle qui avait « Keiji » gravé dessus.
Ils partagèrent un autre baiser aussi passionné que le précédent, ébouriffant l'un les cheveux de l'autre.
- Keiji? Kōtarō? Les garçons, vous êtes où? Fit la voix de la grand-mère d'Akaashi, séparant les deux garçons l'un de l'autre.
Ils sortirent de leur cachette et se dirigèrent vers le salon, main dans la main.
- C'est bon là quand même vous avez eu assez de temps pour vous souhaiter une bonne année! Rigola le grand père d'Akaashi.
- Et puis c'est pas comme si vous n'auriez pas pu vous embrasser devant nous. Vous ne vous étiez pas gênés l'année der... Commença Yuma. MAIS OUI! J'avais complètement zappé! Vous fêtez votre un an!
Le couple eut un sourire léger sur les lèvres.
- Oh! Mais comment on a pu oublier ça? Se demanda Maiya.
- Bah, vous êtes bien décoiffés par contre les mecs. Éclata de rire Yukio, l'oncle d'Akaashi.
- Alors Keiji, tu offres quoi à Bokuto? Tu vas remettre ta tenue de... hum rien? Le taquina Kajiro.
Un grand silence s'installa dans la pièce. La main d'Akaashi sur son propre visage brisa le silence.
- Kajiro, t'es mort.
- Oups... mais j'ai rien dit.
- Une tenue de quoi? Demanda Yuma.
- Arrêtez de tout le temps gratter dans notre vie privée. Dit Bokuto.
- Il a tout à fait raison. C'est leur vie privée et ça ne les regarde qu'eux. J'ai bien fait d'emmener des cadeaux que pour Keiji et Kōtarō.
- Tu leur as apporté des cadeaux?
- Oui. Et vu le comportement que vous avez eu l'année dernière et aujourd'hui, j'ai bien fait de ne pas en prendre pour vous.
La soirée se termina vers deux heures du matin. Kajiro et Akinari furent emmenés par le père de Bokuto.
Le cousin et la cousine d'Akaashi, ainsi que leurs parents ne pouvaient pas rentrer en raison d'une tempête de neige dans la route qu'ils empruntaient. Les grands parents d'Akaashi allaient dormir dans l'une des deux chambres d'amis de la famille Akaashi, tandis que la sœur d'Ayame et son mari allaient dormir dans l'autre. Le frère de la mère d'Akaashi et sa femme allaient dormir dans la chambre d'amis chez les Bokuto.
Yuma et Maiya allaient dormir dans la chambre d'Akaashi, tandis que ce dernier allait dormir avec Bokuto.
.
Ils se lavèrent tous les deux et se rendirent dans la chambre. Ils s'étaient portés volontaires pour se laver en dernier car ils étaient éloignés des autres chambres et donc évitaient de réveiller les autres en se déplaçant. Tout le monde dormait en raison de la fatigue.
- Keiji? Chuchota Bokuto.
- Mmh?
- Tu va mettre ta tenue quand? Continua Bokuto, gardant la voix basse.
- Kō! Fit Akaashi dans le même ton avec un joli rouge colorant ses joues.
- Bon ok on va dormir.
- Non... Je veux dire... Tes parents...? Et... tonton Yukio et Sanaē...
- Justement, ce sera spécial. Tu ne devras faire aucun bruit. Et moi non plus. Tu ne voulais pas le faire de base je me trompe?
- J'ai jamais dit que j'étais pas d'accord. Mais pas la tenue.
- Tu avais dit que c'était mon cadeau! Chuchota toujours Bokuto.
- Je change d'avis. Chuchota à son tour Akaashi.
.
Akaashi finit par mettre juste le short et le haut. Mais ils ne restèrent sur son corps que dix secondes maximum avant qu'ils soient enlevés de nouveau. Bokuto se fit note que c'était dangereux pour lui car dès qu'il voyait Akaashi dans cette tenue, tout le sang de son corps se chauffait.
Akaashi était allongé sur le dos et Bokuto lui faisait des suçons sur son corps. Passant de sa clavicule jusqu'à son torse.
Akaashi étouffait du mieux qu'il le pouvait ses gémissements.
- Aaah... Kō...
- Je t'aime Keiji.
- Moi aussi Kōtarō...
La chambre était plus silencieuse que d'habitude. Seuls les gémissements étouffés et les souffles s'entendaient.
Bokuto descendit lentement vers la partie intime d'Akaashi, dressée par l'excitation.
- Kō... non, attends... K...
Trop tard. Bokuto avait à peine passé sa langue sur le gland d'Akaashi, que ce dernier éjacula.
Bokuto avala toute la semence tandis qu'Akaashi se couvrait la bouche de son poignet gauche et ses yeux de son bras droit, embarrassé.
- Woah... c'était rapide.
Akaashi prit l'oreiller d'à côté et le lit sur son visage rougit, sous les gloussements de Bokuto.
Akaashi mordit dans l'oreiller lorsque Bokuto le prépara avec du lubrifiant.
Le plus grand entra doucement en Akaashi, après avoir mit un préservatif, évitant au maximum de lui faire mal.
- Gfh... mfh...
Bokuto caressa les boucles noires d'Akaashi de sa main libre.
Les gémissements étaient étouffés par l'oreiller.
Bientôt, seul le bruit du choc des deux corps et les gémissements étaient présents dans la pièce.
Akaashi vint rapidement lorsque Bokuto martela sa prostate et ce dernier le suivit dans un râle de plaisir étouffé, excité par le visage à moitié caché d'Akaashi qui ne laissait voir que ses yeux, emplis de désirs et de plaisir.
- Joyeux anniversaire mon ange. Murmura Bokuto.
- Joyeux anniversaire Kōtarō.
Ils s'embrassèrent une dernière fois, et se rendirent dans la salle de bains.
Ils se lavèrent une deuxième fois et Bokuto changea les draps une fois dans la chambre. Il revint après les avoir mit dans la machine et s'allongea à côté d'Akaashi.
- J'ai prévu une belle journée pour demain.
- Si j'arrive à marcher ce serait la plus belle des journées. Murmura Akaashi à son tour, souriant à Bokuto.
- Tu devrais être un habitué maintenant non? Rigola Bokuto, se recevant un coup de poing sur le torse.
- Crétin.
- Hahaha je plaisante chéri.
- Mmh.
- Attends-moi, je reviens.
La bouillotte fut prête en dix minutes et Bokuto remonta avec.
Il vit Akaashi, somnoler. Il s'allongea doucement essayant de ne pas le réveiller et posa la bouillotte sur le bas du dos d'Akaashi et attira son visage sur son torse.
Akaashi s'approcha, passa ses jambes entre celles de Bokuto et gardant sa main gauche sur lequel il était appuyé contre lui, passa la droite autour du torse de Bokuto, resserrant l'étreinte.
- Bonne nuit Kō.
- Bonne nuit Keiji.
- ...
- ...
- Je t'aime mon chéri.
- Keiji... moi aussi mon amour, je t'aime tellement.
Les deux s'endormirent rapidement, se préparant pour la journée qui les attendais.
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