Je vous surveille

En fait ceux et celles qui se retiennent de commenter ne vous gênez pas ça me fait plaisir de lire vos retours! Sur ce bonne lecture et merci!

.

- On y va?

- Ouaip bébé, c'est parti.

Akaashi rosit et mit sa veste de l'équipe. Bokuto avait mit par habitude le bas de volley de Fukurōdani et ne prit pas de veste.

Une fois arrivés, ils prirent un chariot et se dirigèrent à l'intérieur du supermarché, Akaashi sortant son téléphone pour réciter la liste.

Ils avaient acheté tout le nécessaire en légumes, fruits et féculents. Il prirent ensuite deux pots de glace ainsi que des yaourts. Puis, il leur restait les bonbons et les céréales.

Bokuto prit plusieurs paquets de bonbons et de chocolats tandis qu'Akaashi s'était dirigé vers les céréales et essayait vainement d'attraper un paquet de céréales, s'étirant au maximum sur la pointe des pieds, posé dans l'étagère la plus haute.

- Un petit coup de main? Demanda Bokuto arrivant et attrapant le paquet tant convoité par Akaashi se mettant sur la pointe des pieds.

- Merci Kō.

- Je t'en prie mon chéri. Dit Bokuto lui faisant un clin d'œil, puis, l'embrassant sur la joue et prenant une autre boîte.

Akaashi rougit légèrement mal à l'aise étant avec d'autres gens. Une femme de l'âge de leurs mères, regarda dans leur direction et croisant le regard d'Akaashi, elle lui fit un sourire tendre.

Akaashi hocha tout simplement la tête par respect et prit une autre boîte de céréales qu'il adorait manger lorsqu'il était plus jeune.

Ils revérifièrent la liste et se dirigèrent vers la caisse.

- Hey Keiji, proteste pas, c'est moi qui paye.

- Kōtarō, non.

- Si, t'as pas le choix.

- On fait moitié-moitié.

- Je pense pas que ce soit possible.

- On verra.

.

- Ça vous fera en tout 15 247,19 yens s'il vous plaît. (128,69€)

- Est-ce qu'on peut payer à deux fois s'il vous plaît? Devança Akaashi.

- Oui bien sûr. Par combien s'il vous plaît?

- La moitié.

- Keiji...

Akaashi lui tira la langue et paya sa moitié qui était de 7 623,59 (64,32€) et ensuite laissa sa place à Bokuto.

Ils mirent leurs courses dans trois grands sacs réutilisables dans le coffre de la voiture et Akaashi alla reposer le chariot tandis que Bokuto mettait les derniers produits dans le sac.

- Oh re bonjour jeune homme.

- Ah re bonjour madame.

- Vous êtes adorables tous les deux.

- M-merci.

- Allez, rentrez bien.

- Merci, vous aussi.

- Merci!

Ils descendirent de la voiture après l'avoir garé et prirent les sacs de courses. Bokuto prit les deux plus lourds laissant le plus léger à Akaashi.

- Tu veux faire travailler tes biceps même pendant le week-end ou...?

- Exactement! Je connais quelqu'un qui aime être serré entre ces merveilles.

Akaashi sentit un sourire se dessiner sur ses lèvres.

- Ah parce que tu me trompes maintenant? Joua Akaashi.

- Mmh pas à ma connaissance.

Akaashi éclata de rire.

- Tiens tiens. Alors vous êtes mes voisins? Fit une voix familière à Akaashi.

- Oh. Fit le plus jeune.

La femme de tout à l'heure se tenait derrière la grille séparant leurs maisons. Elle était dans celle de droite.

- Alors c'est vous deux que j'ai entendu hier soir. Fit-elle avec un clin d'œil prononcé tandis que les deux garçons étaient rouge cramoisis.

La femme éclata de rire.

- Je vais pas vous manger les garçons. Juste, vous serez gentils de fermer la fenêtre la prochaine fois s'il vous plaît. Pas que ça me dérange mais je suis juste à côté.

- N... nous sommes désolés. S'excusa Bokuto alors qu'Akaashi était incapable de sortir un mot.

- C'est rien. Allez, je dois ranger les courses et vous aussi logiquement. Bon week-end les enfants.

- Merci à vous aussi.

.

Ils rangeaient les courses dans les placards et le frigo. Akaashi se baissa pour prendre un sac de fruits lorsque Bokuto claqua sa main sur la fesse droite d'Akaashi.

- Kōtarō!

- Désolé bébé j'ai pas pu me retenir.

Akaashi roula ses yeux, enjoué.

- En fait babe, tu vois le mec qui a failli te frapper l'année dernière quand j'suis venu te chercher?

- Mmh?

- C'était le même gars qu'en primaire. Tu étais sûrement trop petit à l'époque pour t'en souvenir.

- Ah... j'avais pas fait le lien... et on avait presque le même âge je te rappelle. Enfin... un an de différence c'est pas énorme.

- Un an et trois mois.

- Moins que trois mois.

- Deux mois et quinze jours si tu y tiens.

- Oui j'y tiens.

- Mais tu sais que quand on est petits ça en fait une différence.

- M'en fous.

Ils rangèrent les courses et mangèrent la salade acheté pour le déjeuner, qu'ils avaient acheté de commun accord n'ayant pas l'envie de faire la cuisine.

Ils montèrent ensuite à l'étage pour se changer et ils redescendirent.

- Keiji, y a une pièce que je dois te montrer. Viens.

Ils se rendirent derrière les escaliers, du hall de ces derniers qui donnait d'un côté le salon et de l'autre la cuisine, et Akaashi vit une porte.

Bokuto l'ouvrit et un salon à l'air ancien s'y trouvait. À leur gauche se trouvait un petit coin avec deux fauteuils tournés vers la grande bibliothèque que formait le mur du fond.

- Woah! S'exclama Akaashi.

- J'étais sûr que ça allait te plaire.

- Si ça me plaît? J'adore!

- Et tous tes livres sont quelque part là dedans.

Akaashi rigola.

- En fait Kō, comment t'as trouvé le temps de faire ça?

Bokuto se gratta la nuque de sa main libre, l'autre tenant celle d'Akaashi.

- Ça, c'est la question que je voulais à tout prix éviter... Bon... euhm... j'suis pas allé en cours hier.

- QUOI?!

- Kuroo m'a prit les cours et j'ai aménagé ce coin et la chambre. Et la salle de bains aussi.

Akaashi soupira.

- Je t'aime idiot. Dit Akaashi se réfugiant dans les bras de Bokuto.

- Y a un mot de trop dans ce que t'as dit Keiji.

- C'est vrai que le mot « aime » est de trop.

- Keijiiii...

Akaashi rit et se retira pour regarder le reste de la pièce.

Le côté droite avait une cheminée et une grande télé était posée dessus. Une table basse séparait la cheminée d'un grand canapé.

Ils s'installèrent sur le canapé et Akaashi passa ses jambes par dessus celles de Bokuto et reposa sa tête sur l'épaule de ce dernier.

Au bout d'un moment Akaashi reçut un message. Il le lit et soupira.

- Mes parents sont encore partis en voyage...

- Pourquoi tu n'aimes pas autant? Je sais que tu m'as déjà dit que tu avais peur qu'ils aient un accident mais ça n'arrivera pas.

- Sauf si c'est déjà arrivé. Soupira Akaashi.

- Comment ça? Demanda Bokuto, les oreilles vifs et caressant le dos d'Akaashi.

- Ma tante aussi travaillait avec mes parents. La sœur de mon père.

- Tu ne m'as pas parlé d'elle avant. Et si mes souvenirs sont bons, y avait que le frère et la sœur de ta mère avec leur famille.

- Oui c'est ça. Ma tante a eu un accident de train. Le train a déraillé et elle a été gravement blessée. J'avais cinq ans quand c'est arrivé et depuis je n'ai aucune nouvelle d'elle.

- Est-ce qu'elle est...?

- Non, elle doit toujours être à l'hôpital. J'ai pas demandé à mes parents à ce propos. Alors que c'était ma tante préférée.

- Pouah le sale gamin qui fait des préférences entre ses tantes.

Akaashi éclata de rire en assénant un petit coup sur le torse de Bokuto.

L'éclat de rire d'Akaashi mourut pour laisser échapper un gémissement tandis que Bokuto fit accentuer le suçon sur le cou d'Akaashi.

Bokuto fit allonger Akaashi et soulevant le haut de ce dernier, traça ses abdos avec des baisers et s'attarda sur le bas vente du noiraud qui contractait ses abdos fins mais fermement dessinés lorsqu'il sentait le contact des lèvres de Bokuto.

L'après-midi fut merveilleux pour les deux garçons. Ils firent deux rounds, Akaashi se rebellant pour la deuxième fois le tour d'après.

Ils prirent leur douche et alors qu'ils avaient enfilé leur jogging, la sonnerie retentit.

Ils se dirigèrent vers la porte des gouttes d'eau perlant sur leurs torse et Bokuto l'ouvrit, Akaashi à ses côtés.

- Les garçons, vous av... Elle scruta les deux garçons dont l'un avait des griffures sur les épaules ainsi que quelques suçons et l'autre des suçons sur le torse et quelques légères griffures sur les hanches et les épaules. Excusez-moi de vous déranger. Se moqua gentiment la femme.

- Euh... C'est rien... Fit Akaashi.

- J'ai remarqué ça devant votre maison. Vous l'aviez fait tomber. Dit-elle tendant un paquet de bonbons.

- Je me disais aussi que j'en avais prit cinq.

Akaashi soupira roulant des yeux, amusé, et prit le paquet.

- Merci beaucoup!

- Je vous en prie. Bonne soirée.

- Merci à vous aussi.

.

(N.D.A : Je vous vois arriver en m'insultant pour le coupage du lemon. Eh oh c'est bon je vous en donne pas mal.)

À partir de lundi, Bokuto allait déposer Akaashi à l'académie avant de se rendre à l'université.

L'après-midi, à 15 heures 30, à la fin des cours, avant qu'il ne se rende à l'entraînement, il reçut un message de la part de son frère.

Onii-san ('̀-'́)

15h32
Rentre directement à la maison loulou, j'ai déjà prévenu Kōtarō.

Pourquoi?

Tu le sauras quand tu vas rentrer.

Je te manque c'est ça?

15h33
Nan j'suis grave bien depuis que je vois plus ta tête de mioche innocent 😝

Et ça se dit un grand frère 🙄

Ça va rhooo. Et puis c'est pas comme si ça t'a dérangé de passer tout un week-end sans rien sur toi avec Kōtarō 😒 👀
✔️

15h38
Oi, Keiji, t'es vivant?
✔️

15h41
Gêné? 😜

La ferme.

Doooonc.

Je t'arrête tout de suite quoi que tu veuilles me dire.

Ok, ok. Il t'a menotté?

... 🖕🏼😳

15h42
Hum... je pense que ce serait mieux si j'évitais de le tuer. Quoique je suis policier alors je pourrais peut-être m'arranger.

Tu le touches, t'es fini.

Moooh.

Je te laisse j'ai un entraînement.

À plus petit hibou.
✔️

Me lâche pas des « ✔️ » toi.

À toute sac à puces.

Respecte un peu ton grand frère trou duc.

...

15h43
Ups pas fais exprès, désolé frangin.💙

Je préfère ça, tête de têtard. 🐸

Tu me cherches aussi toi 🤦🏻‍♂️

Je te laisse.

Akaashi finit son entraînement et commença à se diriger vers la maison.

Il fit la moitié du chemin avec Kajiro qui l'avait attendu.

Vers 16 heures, Bokuto ouvrit la porte de la maison des Akaashi et après avoir enlevé ses chaussures et sa veste, se dirigea vers le salon où Kōji l'attendait avec une fille qu'il avait l'impression d'avoir déjà vu.

- Hey.

- Yo Kōtarō!

- Salut. Tu me dis un truc toi. Fit la fille.

- Moi aussi j'ai l'impression de t'avoir déjà vu.

- Mmh... laisse-moi réfléchir... mais ça me vient pas... Tu t'appelles Kōtarō c'est ça?

- Ouais. Bokuto Kōtarō.

- Déjà je sais que tu as fait parti du top 4 national avec Keiji l'année dernière. Et sinon...

- Sanaē, je te présente le meilleur ami de Keiji. Dit Kōji en faisant un clin d'œil à Bokuto et posant un doigt sur ses lèvres.

« On va lui faire une surprise » lut Bokuto sur les lèvres du garçon.

- Sanaē-San! Mais oui! Maintenant je sais où je t'ai vu!

- Pas de formalités! Et si tu pouvais m'éclairer ce serait sympa parce que ça me ronge depuis tout à l'heure.

- Ouaip. C'était quand un mec avait cherché des noises à Keiji. Je me suis interposé.

- Ah! Mais oui je me souviens! Mais attends, comment ça Keiji?

- Euhm... on est meilleurs amis alors on s'appelle par nos prénoms.

Kōji lui fit un pouce en l'air.

- Oh ok. Mais je croyais que c'était Kajiro son meilleur ami?

- Oi, Sanaē arrête de chercher loin ils sont meilleurs amis et avec Kajiro ils sont meilleurs potes aussi mais ils ont pas réussi à lâcher cette habitude de s'appeler par leur nom.

- Ça va!

Ils entendirent la porte s'ouvrir précipitamment et des chaussures être jetées rapidement ainsi que le sac être posé violemment sur la table du hall.

- Kō! T'as fini tôt? Demanda Akaashi avec un grand sourire se dirigeant vers le bicolore, ne remarquant pas la présence de sa sœur.

L'aînée se tourna vers Kōji et le fixa.

- Ah non c'est pas de moi qu'il parle. J'ai perdu ce surnom.

Akaashi embrassa Bokuto semant la confusion à sa sœur.

- Wouow. Prévenez moi surtout.

Akaashi sursauta et se tourna enfin vers la voix féminine.

- Sanaē?!

- Hey. Salut mon p'tit loup.

Akaashi la regarda et alla la serrer dans ses bras.

- Tu m'as manqué...

- Et toi tu m'as encore plus manqué.

Il se détacha et ensuite s'assit à moitié sur les genoux de Bokuto qui était appuyé sur le bras du canapé.

- Euh... meilleurs amis c'est ça? Sérieusement? Fit Sanaē regardant Kōji.

- Je voulais juste voir ta tête.

La plus grande se tourna vers le couple.

- Au moins je sais que mon petit frère chéri est entre de bonnes mains. Dit-elle en leur offrant un sourire réconfortant.

- Ah parce que j'suis pas ton petit frère chéri?

- Nope. Le « chéri » est de trop pour toi.

Akaashi rigola.

- En fait, Kōtarō... Commença Kōji. Faudrait peut-être qu'on te le dise.

- De quoi?

- Une chose qui s'est passée quand Keiji avait huit ans.

- Je... suis déjà au courant. Répliqua Bokuto resserrant sa prise sur Akaashi.

- Oh. Bon au moins ça m'évite d'y repenser.

- C'est un suçon que tu as Keiji? Demanda Sanaē.

Akaashi rougit jusqu'à la racine des cheveux.

- Pourquoi est-ce que c'est le seul truc que vous avez tous envie de pointer? Grommela le cadet.

Sanaē éclata de rire.

- Désolée c'était tentant de t'embêter un peu. Surtout depuis tout ce temps que je ne t'ai pas vu.

La porte d'entrée s'ouvrît à nouveau.

Les parents d'Akaashi se pointèrent et posèrent leurs valises sur un côté du mur et se dirigèrent vers les jeunes pour les prendre tous, chacun à leur tour, dans leurs bras, Bokuto y compris.

- Y a toute la famille ici!

- Ouais. Manque plus que deux alliances pour deux personnes ici présentes. Dit Sanaē.

- Ça ne tardera pas. Dit Bokuto avec un sourire se recevant un coup de coude léger de la part d'Akaashi sur le côté de son ventre.

- Bon. Les enfants j'ai une nouvelle à vous annoncer. Commença le Akihiro.

- Une très bonne nouvelle. Ajouta Ayame.

- Effectivement. Vous vous souvenez sans doute de votre tante Hanēa? Et pour toi Kōtarō, c'est ma sœur.

- Keiji m'en a parlé. Dit-il perdant son sourire au souvenir de la suite.

- Super. Ça va plus vite du coup. Donc, oui elle a eu un accident de train et... toutes ses années elle a été hospitalisée. Elle est sortie y a cinq semaines.

- Sérieux?! S'écria Kōji.

- Cool! Dit Sanaē.

- En voilà une bonne nouvelle. Dit Bokuto.

- Et elle va bien? Demanda Akaashi.

- Ouais. Elle a reprit ses repères et elle a récemment déménagé. Et maintenant elle habite au...

La sonnerie retentit.

- Ce doit être elle. Se réjouit Akihiro et alla ouvrir.

Il revint dans le salon, suivi par une belle femme, aux cheveux châtains, comme ceux de son frère.

Son sourire se transforma en une expression surprise.

Akaashi et Bokuto la regardèrent à leur tour de la même manière.

- Vous deux...? Commença la femme.

- Mais... Akaashi fut incapable de continuer.

- Il se passe quoi? Demanda Akihiro.

La femme sourit.

- Eh bien... avec toutes ses années je n'ai pas pu le reconnaître. Alors comme ça mon petit Keiji et son petit ami sont mes nouveaux voisins? Et plutôt... amoureux, on va dire.

Akaashi mit une main sur son visage pour cacher sa gêne alors que Bokuto dévia son regard sur le côté vers le sol.

Kōji éclata de rire.

- J'suis mort, pouahahaha! Au moins vous avez quelqu'un pour vous tenir compagnie.

- Je pourrais les surveiller. Surtout pour ne pas manger autant de bonbons. Si j'avais su c'était mes neveux, ce cinquième paquet je vous l'aurai même pas rendu.

- Tu peux pas nous priver de nourriture. Répliqua Akaashi.

- Non je vous prive pas de nourriture mais de bonbons.

- C'est sacré.

- Comme la pauvre mousse au chocolat que vous avez gâché.

- T'avais vu? Demanda Bokuto.

- Ouaip. Par la fenêtre quand j'suis passée devant la maison pour aller au supermarché dans lequel je vous ai rencontré. Je m'étais arrêté quand j'ai vu que vous battiez pour un pot de mousse au chocolat.

- Attendez, ils vont réussir à survivre à ce train là? Parce que c'était leur premier jour ensemble le samedi. Dit Kōji.

- Si y a un mort je te passerai un coup de fil Kōji. Déclara Hanēa.

Puis, après avoir mangé le dîner, le couple et Hanēa rentrèrent.

- Bonne nuit mes chéris.

- Bonne nuit tante Hanēa.

- Bonne nuit Hanēa.

- Je vous surveille les garçons.

Akaashi lui tira la langue faisant éclater la femme.

- Ah et au fait tante Hanēa?

- Oui?

- Les jours où Kō a entraînement du matin, tu pourras me déposer à l'académie s'il te plaît? Ça m'évite de me lever plus tôt.

- Petit flemmard. Mais oui si tu veux.

- Ce sera seulement jusqu'à ce que j'ai ma graduation.

- Une année complète. Soupira Hanēa mais sourit. Pas de soucis je te déposerai. Tu m'envoies les horaires avant de vous coucher.

- Et dès demain si possible.

- Et si j'étais pas ta tante t'aurais fait comment petit garnement?

- Bus.

- Et les jours où j'ai pas entraînement, je le dépose.

- Cool! Au moins j'aurais des jours de repos. Et faudra venir te chercher le soir aussi?

- Nope. Les entraînements de l'université se terminent une heure avant ceux de Fukurōdani. Dit Bokuto. Je le prendrai en chemin.

- Un vrai petit couple. Bon bah bonne nuit et repose en paix mon sommeil.

- Merci!

- Il faudrait bien que je rattrape les années perdues!

- Je t'aime tata.

- Pour tes services apparemment. Se moqua sa tante.

- Mais non!

- Je plaisante! Bonne nuit pour la troisième fois mes chéris.

- Bonne nuit. Souhaitèrent les deux garçons à l'unisson.

- Ils sont synchro en plus.

Et sur cette note, ils rentrèrent.

N.D.A: oui ça fait plusieurs fois mais vous habituez pas trop vite à des chapitres aussi longs.

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