Éros

Art by me 😙

J'ai ajouté un petit passage sur le chapitre "Mon monde, mon étoile, Éros" Donc juste pour que vous ayez une cohérence avec ce chapitre relisez simplement jusqu'à qu'ils arrivent au resto.

Oh. Et le lemon, les moins de 16 ans allez-y mollo hein. J'ai essayé de faire un lemon sans écrire les sons (mdr) et dites moi à la fin si vous préférez les lemon comme ça ou avec les sons écrits (ptdr) ok j'arrête.

Et aussi note importante : s'il vous plaît. In another life c'est une autre histoire et elle n'a rien à voir avec la mienne donc les réf ça va 2 secondes. Oui c'est une histoire où ils s'aiment et où il neige et aussi où le mot « bonne nuit » n'est pas de toute joie mais c'est pas parce que y a ces éléments que vous devez y faire ref à chaque fois. Voilàaaaa merci d'avance et vous êtes géniaux.

.

- Ah vous êtes enfin rentrés. Dit Ryuga. Allez vous changer et descendez, on va faire un jeu.

- Quel jeu?

- Un jeu de cartes.

- On verra. Dit Akaashi.

Puis, ils montèrent à l'étage.

(N.D.A : je vous arrête tout de suite sur vos pensées perverses)

Ils se rendirent dans leur chambre et Bokuto ferma la porte avant de se tourner vers Akaashi qui se dirigeait vers la salle de bains.

- Eh babe, je peux y aller avant toi? Promis je fais vite. D'ailleurs j'suis toujours plus rapide que toi.

- Mais je voulais y aller.

- Je me dépêche. Dit Bokuto avant de se rendre dans la salle de bain, après avoir planté un baiser sur la joue d'Akaashi.

Akaashi s'effondra de tout son poids sur le lit, la tête enfouie dans l'oreiller. Puis, il porta sa main droite sur sa poitrine, au niveau de son cœur.

Pourquoi je stresse? Ça ne va rien changer par rapport à avant. Mais si imbécile. Kōtarō a dit qu'il n'avait pas seulement grandi en taille mais- NON TA GUEULE KEIJI. Aaaaaaaaaaaaaargh. J'suis pas prêt.

Il entendit Bokuto tirer la chasse cinq minutes après et l'eau de la douche couler. Akaashi resta allongé sur son ventre à causer dans sa tête, jusqu'à ce que la porte de la salle de bains s'ouvre et laisse sortir un Bokuto avec les cheveux tombants sur son front et allant légèrement sur ses yeux. Le plus grand passa une main sur ses cheveux pour les ramener en arrière.

- Ji, vas-y, tu peux y aller.

Akaashi garda les yeux grands ouverts sur l'oreiller essayant de calmer ses joues rouges. Il prit une grande inspiration avant de se lever et d'aller dans la salle de bains sans oser un regard vers Bokuto. Donc il ne put voir le sourire attendri qui se dessinait sur les lèvres de ce dernier.

Deux minutes plus tard, Bokuto toqua à la porte.

- Quoi?

- Tu peux me passer mon tel sur la table steuplé?

- J'suis en train de chier Kōtarō.

- Rho ça va, juste deux secondes steupléeeee.

- Non.

- Alors est-ce que je peux prendre ton ordi?

- Non surtout pas!

- Pourquoi?

- Euh parce que.

- Quoi parce que?

- Je te dirai après.

Bokuto prit finalement sa tablette et s'installa sur le lit.

Dix minutes plus tard, il entendit Akaashi tirer la chasse et l'eau du robinet couler. La porte s'ouvrît et seul la tête d'Akaashi passait par l'ouverture.

- Tiens ton téléphone.

Bokuto se leva et s'approchant de la salle de bain, plissa le nez et souffla pour embêter Akaashi.

- Pouah ça sent le steak pourri là-dedans.

Seulement, Akaashi ne le vit pas de la même manière et gardant le téléphone de Bokuto, referma la porte.

- Keijiiiii je rigolais babe!

Bokuto resta un moment avant d'entendre l'eau de la douche couler. Il éclata de rire et alla s'assoir de nouveau sur le lit.

Il joua à des jeux qu'il avait même oublié d'avoir installé sur la tablette.

Après quinze minutes qui avaient passé très lentement à son goût, la porte de la salle de bains s'ouvrît sur Akaashi, juste sa serviette autour de sa taille.

- Bah fallait prévenir que tu voulais passer aux choses sérieuses dès que t'avais fini chéri. Dit Bokuto avec un rire qui se transforma en un éclat de rire lorsque la serviette d'Akaashi atterrit sur son visage.

Le noiraud se dirigea vers sa valise pour prendre un short et un haut, puis les mettre.

- Joli cul tu sais?

- Tais-toi.

Ensuite Akaashi alla de nouveau dans la salle de bains pour prendre son téléphone et celui de Bokuto.

- Tiens. Dit le plus jeune en tendant le téléphone à son petit ami.

- Attends, faudrait peut-être le désinfecter après qu'il soit resté aussi longtemps dans une odeur d'enfer.

Akaashi posa les deux téléphones sur la table de chevet et allant du côté du mur, s'allongea sur le ventre. Il risqua un regard vers le réveil qui indiquait 23 heures 10.

- Bonne nuit. À demain.

- Hey, c'était pas dans mes plans que tu dormes avant qu'on ait fêté comme il se doit nos retrouvailles.

Bokuto retint de justesse un rire, voyant les oreilles d'Akaashi rouges pivoines.

- D'ailleurs tu m'as promis que tu me dirais l'histoire sur Éros.

- ...

- C'est moi ou tes oreilles ont prit une teinte au-delà du rouge que je te connaissais?

Akaashi grommela et soufflant un bon coup, se redressa. Puis regarda Bokuto, ne laissant passer aucune émotion à travers son visage.

- Eh oh on a dit jamais cette expression avec moi.

Sans crier garde, Akaashi se lança sur Bokuto en posant son visage sur le torse du plus grand et l'entourant avec ses bras pour s'accrocher sur son haut.

- Hey, qu'est-ce qu'il y a?

- Promets-moi que tu ne te moquera pas de moi.

- Pourquoi je me moquerai de toi?

- Eh bah... Éros... c'est toi.

- ... a- ah bon...?

Bokuto se sentit rougir. Il posa la tablette sur la table basse en se tordant un peu le bras, ne voulant pas perdre la position dans laquelle était Akaashi, puis passa sa main gauche sur le dos du noiraud et sa main droite sur les cheveux bouclés et longs de ce dernier.

- Tu veux dire... le dieu grec de l'amour?

- ... mmh...

- J'suis flatté.

- Et pas que... c'est aussi...

- Mmh?

- Euh... j'ai... j'ai écrit une... chanson...

La prise de Bokuto se resserra autour de son petit ami.

- Fais la moi écouter. Chuchota Bokuto à l'oreille d'Akaashi.

Akaashi resserra une dernière fois le haut de Bokuto de toutes ses forces, puis, se détachant de lui, prit son ordinateur portable et l'alluma. Puis, il ouvrit son dossier "musique" et choisit "Éros".

(N.D.A : si y en a qui veulent il est en deuxième slide mais vous êtes pas obligés)

- Tu veux vraiment écouter?

- Non mais tu peux pas ne pas me le faire écouter après ce que tu m'as dit Keiji.

Akaashi se décida enfin à la mettre, puis, posant l'ordinateur sur les genoux de Bokuto, se remit sur le ventre en cachant son visage dans son oreiller.

Une fois que la chanson fut finie, un grand silence plana. Bokuto reposa l'ordinateur sur la table de chevet et se tourna vers Akaashi qui ne bougeait pas d'un pouce, toujours dans sa position.

- Ok. Ouah. Je pensais pas que tu parlerais aussi ouvertement de sexe.

- ... mghaimonbeeghdithghe..

- Euh...? En étant un peu plus clair?

- C'était censé être discret...

- Oh bah le discret il a pas une petite once de définition là. Dit Bokuto en rigolant.

Le plus grand posa sa main gauche sur le dos du noiraud.

- Tu penses vraiment ces mots? Enfin plutôt sur le fait des actions et non pas je ne sois pas le seul que tu reçoives.

- C'était juste pour la chanson ça. Grommela Akaashi.

- J'espère bien. Rigola Bokuto et s'allongea à moitié sur le ventre, de façon à être légèrement au-dessus d'Akaashi, tout en plongeant son visage sur la nuque de ce dernier qui frémit au contact.

Bokuto posa quelques baisers le long de la nuque d'Akaashi, et avec son index droit, tira légèrement sur le haut du plus jeune afin de faire des suçons au niveau de ses omoplates, la nuque ainsi que quelques endroits sensibles d'Akaashi.

Le passeur ferma les yeux, s'abandonnant aux caresses et baisers. Sa respiration devint de plus en plus rapide au fur et à mesure que Bokuto descendait sur le creux de ses reins, le t-shirt ayant été remonté.

Bokuto suça un point particulièrement sensible d'Akaashi au niveau de la hanche, le faisant cambrer et gémir.

Akaashi resserra l'oreiller de ses mains, posant uniquement son front sur son oreiller, rentrant le menton, afin de ne pas étouffer.

Sans même savoir comment, Akaashi était maintenant allongé sur le dos, avec Bokuto au-dessus de lui, sans le haut de ce dernier, ce qui donnait une belle vue de ses abdos à Akaashi.

À peine eut-il le temps de le regarder qu'il fut obligé de fermer les yeux, laissant échapper un gémissement plus fort, la langue de Bokuto s'enroulant sur son téton gauche. Il porta ses mains instinctivement sur les cheveux de Bokuto.

Bokuto s'arrêta pour enlever le haut d'Akaashi et posa son front sur celui de son petit ami.

- Tu préfères quoi? Chuchota Bokuto. Sur stimulation ou déni?

- C-comment ça déni?

- Je ne te toucherai pas jusqu'à ton orgasme.

Bokuto insista sur le mot « toucher » faisant comprendre à Akaashi de quel endroit il s'agissait.

Le cœur du noiraud s'emballa dans sa poitrine. Avait-il assez d'énergie pour essayer un truc qu'ils n'avaient pas encore essayé?

- S- sur... stimulation...

Akaashi se demanda s'il avait fait le bon choix voyant le regard de Bokuto.

- Okay.

Bokuto descendit et ouvrant sa valise, en sortit deux bandeaux et deux sortes de balles douces. Il remonta sur le lit et posa son butin sur le lit, du côté du mur avant d'embrasser Akaashi. Tout en l'embrassant, il appuya son érection contre celle d'Akaashi qui laissa échapper un son entre le gémissement et le grognement dans le baiser.

- Eh les g- oups.

Le couple se retourna vers la porte et vit Ryuga dans l'embrasure de la porte, les yeux fermés.

- Ah donc vous ne redescendrez pas. Et moi je vais aller me laver les yeux. Et me percer les tympans.

Puis, il sortit en claquant la porte. Bokuto se dépêcha de se lever et verrouilla cette fois la porte.

- Je le déteste. Grommela Akaashi.

Bokuto rigola et embrassa Akaashi sur son tatouage, qui était son point le plus sensible. Akaashi gémit en appelant Bokuto.

- Maintenant, relaxe. Dit Bokuto en prenant le plus long bandeau pour attacher les mains d'Akaashi sur la tête du lit.

Ensuite, il prit ses deux boules et les montra à Akaashi avant de les lui donner une à une.

- Rouge, main droite. Si tu ne peux vraiment plus tenir, et que tu veux que je te détache le noeud sur la tête du lit, tu la laisses glisser. Jaune, main gauche. Tu la laisses glisser si tu veux que je t'enlève le bandeau sur les yeux. Et si tu veux qu'on arrête tout, tu laisses glisser les deux en même temps. Okay?

Akaashi hocha la tête, les mots refusant de sortir. Akaashi vit le bandeau rester là où son petit ami l'avait posé. Bokuto descendit le long du cou d'Akaashi, s'arrêtant sur son torse pour y faire des suçons. Akaashi laissa échapper un gémissement bien plus fort lorsque Bokuto fit frotter leurs érections.

Bokuto ne s'arrêta pas et continua, tout en caressant le creux des reins d'Akaashi d'une main, massant l'un de ses tétons de l'autre et marquant sa peau au niveau de sa clavicule.

La respiration d'Akaashi était saccadée, rapide, interrompue par des gémissements. Akaashi sentit l'erection de Bokuto grossir contre le côté gauche de son aine et lui-même commençait à être étroit dans son short. Mais sentir la partie intime de Bokuto contre lui l'excitait encore plus, d'une manière qu'il ne pourrait expliquer.

Akaashi bougea ses hanches, tentative vaine afin d'être moins à l'étroit. Bokuto remarqua sa gêne et se redressant légèrement, il enleva le short d'Akaashi. Un soupir d'aise échappa au noiraud.

Bokuto commençant également à ressentir de plus en plus de gêne, enleva également son short.

Akaashi le regarda et rougit jusqu'à la racine des cheveux, puis, déglutit.

- K- Kōtarō... Dit Akaashi dans un souffle.

- Mmh?

- ... Ça... n'entrera jamais... Continua le noiraud sur le même ton.

- Hey, ça va aller mon ange. Je te préparerai comme il faut. Et souviens toi de ce que je t'ai dit. Il faut que tu relâches la pression. Murmura Bokuto à l'oreille d'Akaashi.

Bokuto prit le bandeau et cette fois, le mit sur les yeux d'Akaashi. Ensuite, il prit le lubrifiant pour en mettre sur sa main gauche et fit frotter ses doigts entre eux. Puis, il prit la partie intime d'Akaashi dans sa main droite et fit des va et des viens de haut en bas, faisant gémir de plaisir Akaashi.

Bokuto fit entrer un doigt en Akaashi et alla directement le stimuler sur la prostate, lui faisant échapper un sanglot de plaisir.

Bientôt, Bokuto avait entré trois doigts et fit des mouvements de ciseaux pour étirer au mieux le plus jeune, tout en appuyant à chaque mouvement la prostate de ce dernier.

Akaashi essayait de prendre de grandes inspirations mais les coups sur sa prostate l'empêchait de penser à des mots cohérents et seuls des gémissements et le prénom de Bokuto sortaient.

Bokuto accéléra les mouvements de sa main droite et Akaashi ne tarda pas à venir, couvrant la main et les doigts de Bokuto de sa semence. Bokuto n'arrêta pourtant pas et retira ses doigts de la main gauche et se positionna au-dessus d'Akaashi.

Akaashi respira de plus en plus vite, sentant l'erection de Bokuto contre son entrée.

- Relaxe babe. Comme on a dit. Relâches la pression à cet endroit. Murmura Bokuto.

Akaashi s'efforça au maximum et Bokuto entra petit à petit. Le noiraud prit une grande inspiration se préparant et se cambra en arrière, gémissant de plaisir.

Par rapport à avant, Bokuto appuyait déjà sur la prostate. Il commença de lents vas et viens pour habituer Akaashi puis, lorsque ce dernier bougea ses hanches, il accéléra.

La pièce fut emplie de gémissements, cris de plaisir, de grognements ainsi que le bruit de peau contre peau. Bokuto continua de stimuler Akaashi en appuyant sur le gland de ce dernier.

N'en pouvant plus Akaashi laissa échapper la boule qui était dans sa main gauche, ne savant plus ce que c'était. Bokuto enleva rapidement le bandeau qui était sur les yeux d'Akaashi et embrassa les yeux de ce dernier pour sécher les larmes de plaisir.

Bokuto frappait de plein fouet la prostate d'Akaashi et resserrait de plus en plus sa prise sur l'intimité du noiraud. De la bave coulait du coin de la bouche d'Akaashi et sa semence recouvrait son bas ventre, torse et la main droite de Bokuto.

Le plus grand effectua une pression plus grande sur le gland d'Akaashi qui ne put retenir le cri de plaisir qui s'échappa de la barrière de ses lèvres et qui éjacula de nouveau, cette fois, des gouttes de sperme vinrent se déposer sur son menton.

Le bicolore embrassa le menton d'Akaashi, aux endroits où les gouttes s'étaient déposées.

Akaashi laissa glisser l'autre balle et Bokuto détacha le noeud qui attaché à la tête du lit. Puis, il arrêta ses mouvements avant de s'assoir sur ses talons et passant ses mains sur le dos d'Akaashi, il le fit se redresser pour le faire assoir sur lui, toujours étant en lui, et le rapprocha encore plus de son corps.

Bokuto passa ses mains sur les cuisses arrières d'Akaashi et entreprit de soulever le noiraud lorsqu'il se retirait légèrement, puis reposa ce dernier lorsqu'il donnait un coup bassin vers le haut.

Akaashi mit ses mains autour du cou de Bokuto et posant son front sur la clavicule du plus grand, griffa inconsciemment son dos.

N'y tenant vraiment plus, Akaashi mordit la clavicule de Bokuto en respirant fort.

Bokuto donna un coup de rein particulièrement fort et Akaashi vint de nouveau, se cambrant et hurlant de plaisir.

Le noiraud tremblait et des larmes de plaisir dévalaient ses joues. Le voyant dans cet état, Bokuto ne tarda pas non plus à venir. Ensuite, il fit allonger le passeur sur le lit, détacha finalement ses mains et continua ses coups de hanches.

Akaashi tremblait, surtout au niveau de l'aine. Le surplus de plaisir le faisait agripper les draps et ses pieds donnaient des coups dans le vide et s'abattaient sur le lit. Son dos se cambrait, sa tête s'appuyant sur l'oreiller.

Bokuto commença à aller de plus en plus doucement, puis prenant le membre d'Akaashi, accéléra les mouvements avec sa main. Akaashi éjacula en laissant échapper le prénom de Bokuto dans un sanglot et s'accrocha aux biceps de Bokuto.

Bokuto se retira et de la semence sortit d'Akaashi dans un bruit plutôt obscène à quelques reprises. Puis, en enlevant sa main de l'intimité d'Akaashi, il le prit en bouche.

La sur stimulation laissait Akaashi sans aucune force. Il n'était que gémissements et sanglots. Bokuto accompagna Akaashi à travers son orgasme, puis, après avoir tout avalé, s'allongeant à côté du noiraud, il prit ce dernier sur lui.

Les deux étaient essoufflés. Bokuto caressa les boucles noires d'Akaashi et celui-ci réussit à se calmer quinze bonnes minutes après.

Bokuto le refit allonger du côté du mur et se tournant vers lui, enleva les mèches noires qui tombaient sur les yeux d'Akaashi. Ensuite, il s'approcha pour l'embrasser sur le front.

- Ça va mon ange? Murmura Bokuto.

Akaashi le regarda et s'approchant de Bokuto, plongea son visage sur le torse de ce dernier.

- Mmh.

- On va se laver? Demanda Bokuto, toujours sur le même ton.

- Mngh. Pas encore. Dit Akaashi d'une voix éraillée.

Ils restèrent encore vingt minutes, le temps qu'Akaashi se calme, Bokuto passant ses doigts distraitement sur les cheveux d'Akaashi et chantonnant une mélodie.

Akaashi prit une grande inspiration et se redressa légèrement.

- On y va? Proposa Bokuto.

Akaashi hocha la tête. Bokuto se redressa et prit le plus jeune dans ses bras avant d'aller dans la salle de bains. Bokuto le fit tourner vers le mur une fois dans la douche et prenant la douche manuelle, fit sortir la semence qui restait en Akaashi.

Ensuite ils prirent une douche et Bokuto mit Akaashi dans la baignoire et ouvrit l'eau après avoir vérifié la température. Ensuite il alla changer les draps qui étaient recouverts de leur sperme. Il les mit dans la machine à laver puis, rejoignit Akaashi dans la baignoire, se mettant derrière le noiraud qui posa sa tête sur le torse de Bokuto.

Les cheveux mouillés d'Akaashi chatouillèrent le torse de Bokuto. Plus d'une trentaine de minutes après, ils se décidèrent à sortir de la baignoire. Ils mirent un jogging et Bokuto mit son t-shirt et Akaashi piqua un pull de Bokuto qui laissait ses clavicules a découvert.

Akaashi s'allongea sur le lit et regarda l'heure. Il était 1 heure 12.

Bokuto l'embrassa.

- Elles sont où les bouillottes?

- Je n'en ai pas besoin. Ça va. Mais je veux bien un café.

- Je reviens.

Bokuto descendit et vit tout le reste encore dans le salon.

- Eh bah! Vous êtes encore debout? Demanda Ryuga.

- Ryuga, tais-toi.

- D'accord mamie.

- Bah les garçons venez avec nous. On a fini de jouer aux cartes. On pensait regarder une vidéo ou deux de Keiji quand il était petit et après on ira dormir.

- Je vais aller le chercher alors. Mais je vais d'abord préparer un café au lait.

- Vas-y, vas le chercher. Je vais vous en préparer. Dit Akihiro, le père d'Akaashi.

- Merci.

Bokuto alla le chercher et ils descendirent.

- Joli tes épaules. Se moqua Sophie.

- Imbécile, ça s'appelle des clavicules. Corrigea Sakusa.

- Ouais bah ça va.

- Il est où papa?

- Me voilà. Tenez les garçons.

- Merci Akihiro.

Akaashi prit également sa tasse et regarda son père.

- Quoi? Fit Akihiro.

- Euh merci.

- Mais de rien.

- Mdr j'suis mort. Il a tellement prit l'habitude que papa l'embête que quand c'est pas le cas il est paumé. Rit Kōji.

Ils parlèrent encore quelques minutes et ils mirent deux vidéos d'Akaashi lorsqu'il était petit. L'une était lorsqu'il venait à la villa pour la première fois. Il n'était qu'un bambin d'un an. Il s'était très vite entendu avec Jun qui avait à l'époque 13 ans, suite à l'invention du fameux hibou qui vole.

L'autre était une vidéo d'Akaashi qui montait pour la première fois sur un poney, dans leur ferme. Il avait deux ans.

Une fois fini, ils partirent se coucher.

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