Colocs

Bokuto se réveilla en grognant contre le réveil. Il avait cours à 9 heures aujourd'hui. Il devait donc partir à 8 heures et quart. Akaashi, lui, avait cours à 8 heures. Il pourrait donc le déposer. Il regarda le réveil et vit qu'il était 6 heures 40. Ils devaient partir à 7 heures 35.

Contre son gré, il se tourna vers Akaashi et caressa ses boucles noires, sans pouvoir se contrôler. Il l'avait énormément manqué.

- Keiji. Chuchota Bokuto.

- ...

- Keiji.

Akaashi passa ses bras autour de Bokuto et sa jambe droite par dessus le bassin du plus grand qui rigola.

- Keiji, debout mon cœur.

- Mmh jbrhmgh...

- J'ai tout compris. Rigola Bokuto, craquant encore et encore pour son petit ami.

- Dormfgh...

- On doit se préparer. Allez, debout.

- Ça me dérange pas de rester comme ça.

- Les profs ne seront pas vraiment d'accord.

Akaashi soupira et décida finalement d'ouvrir lentement ses yeux, relevant sa tête.

Bokuto lui sourit amoureusement.

- Bonjour mon cœur.

- Bonjour mon amour.

Le cœur de Bokuto explosa dans sa poitrine. Certes Akaashi était encore endormi pour savoir ce qu'il disait mais c'était la première fois que le noiraud lui donnait un surnom de ce genre.

Le plus grand plaqua ses lèvres sur le front de son petit ami.

Ils se levèrent et après s'être préparés, Bokuto déposa Akaashi avant de se rendre à l'université, prenant au passage, Kuroo.

.

La journée du jeudi se termina rapidement pour les deux amoureux, qui se retrouvèrent le soir. Ils dînèrent chez le noiraud avec le frère de ce dernier et Bokuto allait dormir là, avec Akaashi. Ils se rendirent tous les trois à l'étage et se dirent bonne nuit devant la porte de la chambre d'Akaashi.

- Pas de bêtises les mioches, je vous ai à l'œil.

- Tu ne contrôles pas ma vie à ce que je saches.

- C'est vrai. Mais je pense que je devrai mettre en lieu sûr mes menottes pour ne pas les perdre, on ne sait jamais.

Akaashi rougit jusqu'à la racine de ses cheveux.

- Je t'emmerde.

- Moi aussi je t'aime frérot.

- Je ne risque pas de te les prendre, j'en ai déjà. Dit Bokuto.

Akaashi lui assena un coup sur l'arrière de sa tête et se dirigea vers sa chambre.

- Oh par les dieux... ne me dis pas que vous les avez déjà utilisé? Fais gaffe à ta réponse.

- Si. C'était assez intense aussi. Dit Bokuto rigolant juste pour provoquer le frère du noiraud et le principal concerné.

- ...

Akaashi réapparut à l'embrasure de la porte.

- KŌ!

- Quoi? Firent les deux autres garçons.

Ils se regardèrent un moment avant qu'Akaashi ne brise le silence fermement.

- Je parlais à Kōtarō. Tais-toi! Je te parles plus.

- Je ne suis plus Kō maintenant moi?

- Non désolé.

- Ah bah d'accord.

- Bonne nuit.

Et Akaashi retourna dans son lit où Bokuto le rejoignit quelques secondes plus tard.

Akaashi faisait face au mur. Bokuto éteignit la lumière et s'allongea, entourant Akaashi par son bras gauche, le mettant dans la position de cuillère.

- Keiji?

- Ne me parles plus.

- Mais c'était juste pour provoquer ton frère. Et t'embêter.

- ...

Akaashi se retourna et embrassa Bokuto.

- Tu tiens vraiment à mourir. Le jour où il va te plaquer au sol tu vas rien comprendre.

.

Le vendredi arriva et Akaashi trouva son frère et son idiot de petit ami, bizarres.

Bokuto finissait les cours à midi et Akaashi à midi trente.

Le capitaine de Fukurōdani se rendit au gymnase pour leur entraînement de deux heures, où ils travaillaient leurs services et les passes, surtout pour Akaashi, afin de mieux se coordonner avec les nouveaux joueurs.

Seuls Onaga, un central, et Anahori qui était le passeur remplaçant, sont en deuxième année, donc les seuls connaissances d'Akaashi. Les deux soutenaient énormément Akaashi après le départ de tous les troisièmes années.

Ils s'entraînaient aux attaques lorsque la porte du gymnase s'ouvrît.

- Hey hey hey!

Akaashi se tourna vers Bokuto et, à sa grande surprise, vit les autres troisièmes années de l'année dernière.

Bokuto se dirigea vers Akaashi et l'embrassa, mettant dans l'incompréhension totale les premières années.

- Eh les oisillons amoureux, évitez aux jeunes ce spectacle. Dit Konoha riant.

(N.D.A : Ça m'a saoulé quand il a dit à Akaashi de ne pas dire à Bokuto qu'il adorait le voir jouer quand il est au mieux de sa forme. Il nous a empêché le Bokuaka T-T)

Onaga et Anahori éclatèrent de rire.

- Ça y est, Akaashi-san va enfin arrêter de faire la tête. Dit Onaga.

- Je t'ai manqué à ce point là? Demanda Bokuto en faisant un clin d'œil, connaissant parfaitement la réponse.

- Non, c'est tes attaques qui me manquaient.

- Hey c'était méchant. Tu me fais des passes?

- Kōtarō, tu déranges l'entraînement.

Bokuto fit une tête d'enterrement, sous les rires moqueurs de ces anciens coéquipiers.

- Mais le fait que vous soyez tous là est plutôt cool. Coach?

- Je t'écoute Akaashi.

- On peut faire une sorte de match d'entraînement? Comme ça on peut mieux évaluer le niveau des nouveaux.

- Ça me parait une bonne idée. Au moins on voit bien que tu es un bien meilleur capitaine que notre cher Bokuto ici présent.

- Vous rigolez? Akaashi est mille fois meilleur. Il était vice capitaine mais c'était clair qu'il endossait le rôle de Bo parfaitement. Dit Konoha.

- Ouais bon ça va! Si j'étais pas là vous n'auriez pas gagné.

Akaashi leva les yeux au ciel avec un petit sourire.

- Franchement Akaashi, qu'est-ce que tu lui trouves à cet abruti? Demanda Konoha.

- Il se trouve qu'il est complètement différent quand on est que tous les deux.

- Hein hein. Mon pauvre t'as été aveuglé par ses biceps ou...?

- Non absolument pas. On est pas là pour parler de ça alors allez vous changer et rejoignez-nous.

- Purée il est autoritaire. Siffla Washio avec un petit sourire.

- Ouais, ça se voit que sortir avec Bokuto lui a facilité le fait de parler avec autorité à ses aînés. Rigola Komi.

- Naaan c'est juste parce qu'il vient d'avoir le rôle du capitaine. Moi aussi ça m'a fait un effet. Dit Bokuto.

Il n'évita malheureusement pas le coup qu'Akaashi assena sur sa tête.

- Keijiii!

Les premières années étaient toujours sous le choc de voir le Champion de Fukurōdani en personne. Mais ils s'habituèrent vite à l'atmosphère et commencèrent à apprécier de plus en plus leur capitaine.

- Croyez-moi il n'a rien de spécial les jeunes. Dit Komi.

- Hey, je vous permet pas.

Akaashi rigola.

- Anahori, tu seras le passeur.

- Ça marche!

L'équipe ancienne gagna sans grande surprise, avec un écart de point assez grand.

- Akaashi et Bokuto vous êtes encore plus en osmose depuis que vous ne jouez plus autant! Dit Sarukui.

- Tu vas leur baisser le moral imbécile. Dit Konoha.

.

Akaashi et Bokuto restèrent encore un peu plus longtemps pour se faire des passes. Les autres rentrèrent chez eux.

Une fois terminé, ils se changèrent et se dirigèrent vers leur voiture.

- Eh Keiji?

- Mmh?

- Tu te rappelles quand j'ai dit lundi que j'avais une surprise pour toi?

- Ah oui quand Kōji et toi vous avez parlé bizarrement.

- Ouaip.

- Alors c'est quoi?

- Tu verras!

Bokuto emprunta une route qu'ils n'avaient encore jamais emprunté.

- Ça prendra une bonne demi-heure alors si t'as envie de faire une petite sieste, tu peux.

- Je vais pas te laisser en plan.

.

Bokuto gara la voiture dans le garage et réveilla Akaashi qui s'était effectivement endormi. Bokuto avait acheté deux plats en chemin.

Akaashi se réveilla et fut surpris par l'absence de lumière.

- On est où?

- Viens.

Ils prirent leurs affaires et Bokuto prit la main gauche d'Akaashi dans la sienne avant de se diriger vers l'extérieur et fermer le garage. Ils s'avancèrent vers la porte d'entrée et une fois sur le perron, Bokuto sortit une clé.

- Tiens.

- Quoi?

Bokuto lui sourit et l'embrassa.

- Ouvres.

Akaashi obéit et une fois entrés, Bokuto referma la porte derrière eux. Il posa son sac et celui d'Akaashi ainsi que le sac avec les plats sur le placard à chaussures à côté du porte manteau et enleva ses chaussures. Akaashi l'imita sans piper un mot.

Bokuto posa ensuite ses chaussures dans le placard, imité par Akaashi qui remarqua d'autres chaussures qu'il ne connaissait que parfaitement bien.

Toujours sans un mot, Bokuto enleva sa veste et prit l'un des deux cintres accroché sur le mur. Le noiraud prit l'autre et fit de même.

Enfin, Bokuto se tourna vers Akaashi et posa ses mains sur la taille du plus jeune qui passa les siennes autour du cou du gris blanc.

- Bienvenue à la maison chéri.

- Mais...?

Bokuto lui sourit.

- Pendant les vacances, j'avais dit mes préférences à ton frère et il a cherché une maison avec nos deux préférences. Il connaissait déjà ce que t'aimais. Et... nos parents nous l'ont acheté. Ils ont payé moitié moitié. Je leur avais demandé s'ils pouvaient nous offrir ça comme cadeau d'anniversaire à tous les deux. Alors je pense qu'on aura pas grand chose pour nos anniversaires...

- Alors si j'ai pas de cadeaux pour mon anniv' c'est à cause de toi?

- Euh... ouais.

- Tu sais quoi?

- Mmh? Ça te plaît pas?

- Je m'en fous des cadeaux d'anniversaire. Je t'aime Kō. Merci.

- Je ferai tout pour toi.

- Pourquoi tu ne m'as rien dit?

- Surprise.

Akaashi rigola et ils débutèrent un baiser sensuel.

Bientôt, ils n'avaient plus leurs chemise, ni débardeur.

Ils rompirent le baiser.

- Et si on mangeait? Chuchota Bokuto.

- ... Je te hais définitivement.

- Quoi?

Akaashi rougit.

- À cause de toi mon ami plus bas s'est réveillé. Grogna Akaashi, faisant rire Bokuto.

- C'est direct. Alors on va s'occuper de lui et après on va manger. Proposa Bokuto faisant un clin d'œil.

Il n'y gagna qu'un coup pitoyable sur le torse.

Bokuto souleva Akaashi et le posa sur la table, disposée du côté droit du hall d'entrée.

Il plongea ensuite son visage sur le cou d'Akaashi, commençant à lui faire des suçons.

Le plus grand se délectait des gémissements d'Akaashi qu'il n'avait pas entendu depuis un bon moment.

⚠️

Bokuto défit la ceinture d'Akaashi et après avoir enlevé son pantalon, le lança sur le sol. Il enleva ensuite le caleçon de son petit ami et le posa à côté, sur la table.

Akaashi passa instinctivement ses mains sur les cheveux de Bokuto, les joues en feu.

Sans crier garde, Bokuto prit le membre dressé d'Akaashi en bouche.

- Aaaanh...! Kō...!

Bokuto creusa les joues allant de plus en plus profondément, retournant complètement le cerveau d'Akaashi qui n'était que gémissements. Le plaisir lui brûlait les reins et il dut s'adosser au mur pour se soutenir. Il tirait sur les cheveux du plus grand, gémissant et criant de plaisir.

- Aaah... Kōtarō... aaaanh...! Ngh...!

Bokuto remonta jusqu'au gland et passa ses coups de langues rapides, faisant trembler de plaisir le noiraud qui s'accrochait vainement aux cheveux du plus grand, l'esprit embué.

D'un coup, Bokuto creusa ses joues au maximum, faisant Akaashi laisser échapper un sanglot de plaisir et le faisant venir. Le gris blanc avala toute la semence jusqu'à la dernière goutte et embrassa le bas ventre d'Akaashi. Puis, il déposa d'autres baisers, remontant.

Il l'embrassa sur le torse, puis sur l'épaule pour remonter sur sa clavicule, passant sur le cou. Enfin, il embrassa la mâchoire d'Akaashi, puis sa joue pour finalement l'embrasser sur les lèvres.

Il le garda contre lui un moment, le temps que le numéro un de Fukurōdani reprenne ses esprits.

Bokuto prit le caleçon d'Akaashi et le lui enfila jusqu'aux cuisses. Le noiraud avait encore le souffle court. Il essaya de se redresser avec ses mains mais la tentative échoua lamentablement.

Bokuto l'attrapa par la taille avec sa main gauche, et le relevant, lui enfila entièrement le sous-vêtement.

Akaashi descendit et chancelant, ramassa l'une des chemises et l'enfila.

- Même quand j'suis avec toi je te manque? Se moqua gentiment Bokuto.

- J'ai pas la tête pour penser à ça alors laisse moi. Grogna Akaashi.

- C'est comme ça que tu me remercies de m'être occupé de ton petit problème? Bouda Bokuto malicieusement.

- Et à qui la faute hein?

- Booon. Et sinon je te rappelle que je n'entre pas dans tes chemises.

- T'as qu'à rester sans. Dit Akaashi se rapprochant de Bokuto pour se tenir à lui afin de ne pas tomber.

- ...?

- Ça me dérange pas.

- Oh bah ça, c'est sûr que ça ne risque pas de te déranger. Je te fais visiter? Enfin satisfait?

- Crétin. Bouda Akaashi rougissant et giflant, aussi doucement qu'une mouche, Bokuto.

- Aaaaïe! Ça fait mal! Fit Bokuto, puis éclata de rire.

Akaashi lui lança un regard noir et cette fois, donna un coup sur la tête Bokuto.

- Aïeeuh! Keiji! Fit Bokuto mais le sourire était toujours présent sur ses lèvres.

- Bien fait.

Bokuto prit Akaashi dans ses bras et lui fit visiter la maison.

Ils prirent finalement le sac de repas et s'installèrent à la table à manger. Bokuto servit les plats dans deux assiettes et s'assit en face d'Akaashi après avoir jeté les emballages.

Ils prirent leurs baguettes. Akaashi gardait ses yeux baissés sur son assiette tandis que sa main tremblait encore. Bokuto lui avait complètement retourné le cerveau. Le coupable poussa son assiette à la droite d'Akaashi et changea de place.

Bokuto fit manger le repas d'Akaashi en alternant les bouchées, gardant une main sur le dos de son petit ami, faisant des petits mouvements circulaires.

Une fois finis de manger, chacun alla dans une salle de bains pour se laver.

Lorsque Bokuto entra dans la chambre, il vit Akaashi vautré sur le lit. Il s'allongea à côté et resta allongé.

Akaashi sentit son cœur accélérer et une tension se mettre en place. Il se tourna vers Bokuto qui avait l'air d'être dans le même état que lui. Ce dernier se tourna vers le noiraud et le prit dans ses bras.

Un baiser qui en disait long débuta entre le couple. Bokuto se retira et se leva du lit.

- Je reviens.

Puis, il se dirigea vers l'armoire et en sortit un préservatif et le lubrifiant.

La poitrine d'Akaashi le compressait. Il resserra l'oreiller tout en regardant Bokuto refermer l'armoire et revenir.

Akaashi observait sans rien dire son petit ami poser son butin sur la table de chevet et se ré allonger sur le lit.

Il passa sa main gauche sur le visage d'Akaashi.

- Stressé? Demanda t-il avec un petit sourire rassurant.

- Surtout que je ne sais jamais à l'avance ce que tu vas encore inventer. Murmura Akaashi.

Bokuto rigola légèrement et embrassa Akaashi. Puis, il se mit au-dessus du noiraud et descendit vers son cou.  

La respiration d'Akaashi commença à être de plus en plus saccadée.

Il fit un suçon sur le cou du noiraud et descendit sa langue sur les boutons de chair d'Akaashi qui gémit en s'accrochant aux cheveux du gris blanc. Ce dernier commença à lécher puis mordiller.

- Ngh... aaah... Haaa... Kōtarō...

- Je t'aime Keiji.

- M... moi a... aaAANH!

Bokuto avait pressé sa main sur l'intimité dur d'Akaashi à travers le pantalon.

Les bas partirent sur le sol après un certain moment et les rôles s'échangèrent. Bokuto se retrouva sous le capitaine de Fukurōdani qui le fit gémir de plaisir.

L'attaquant, d'un mouvement fluide, ré inversa les positions et retourna Akaashi sur le ventre.

Akaashi entendit Bokuto ouvrir le lubrifiant et gémit tout en resserrant sa prise sur l'oreiller, sentant un doigt de Bokuto entrer en lui.

- Mmgnh...!

Ce dernier se raidit et Bokuto, le sentant vint l'embrasser doucement sur la nuque. Akaashi se détendit un peu et arqua son dos sentant les deux autres doigts de Bokuto entrer d'un coup en lui.

- Gnh... aaah... Kō...

Le souffle court, Akaashi essayait de reprendre le maximum d'oxygène. Quand Bokuto commença des mouvements de ciseaux, il ne put s'empêcher de gémir de douleur, même s'il avait détendu son corps.

- Shhh... détends toi mon ange.

- Je... suis... d-dét... entdu...

Le gris blanc lui fit des baisers un peu partout pour le détendre encore plus.

Bientôt, seuls les gémissements de plaisir s'entendaient et Bokuto retira ses doigts pour placer son membre dur près de l'entrée de son petit ami après avoir mit le préservatif.

Bokuto posa ses mains sur les hanches du noir corbeau.

J'ai l'air ridicule le cul en l'air...

Akaashi resserra ses mains sur l'oreiller.

- AAAAH! NGH...! Aagh!...

Quelques larmes roulèrent sur ses joues rougies.

- Shhh... res... respires... Souffla Bokuto.

Akaashi abandonna l'idée de tenir sur ses mains. Il s'allongea sur le ventre, gémissant de plaisir et de douleur.

Bokuto colla son torse sur son dos et mit son visage par dessus l'épaule gauche d'Akaashi.

Le visage rougit d'Akaashi eut pour effet d'accélérer son cœur plus qu'il ne l'était.

Bientôt, Bokuto accéléra ses mouvements voyant que son petit ami prenait plus en plus de plaisir.

Après quelques vas et viens, Bokuto alla de plus en plus vite et trouva rapidement la prostate d'Akaashi qui hurla de plaisir, se cambrant.

- AAAH! Aaaaah...! Nghi... aaah! Haaaa... Kōtarō...!

- K... Kei... ji...!

Leurs gémissements remplissaient la chambre. Dans un dernier coup de rein, puissant, Bokuto dans le préservatif en Akaashi qui vint sur le lit.

Bokuto se retira faisant gémir une dernière fois son petit ami et s'écroula à ses côtés, essoufflé.

- Keiji...?

- Hmm?

- Ça va?

Akaashi se redressa difficilement avant de se coller dans les bras de Bokuto qui passa ses mains sur ses boucles noires.

- Mmmh.

Ils s'embrassèrent longuement. Ce fut un baiser doux, amoureux.

Ils laissèrent la lumière allumée et restèrent encore un moment avant de se laver.

- Keiji?

- ...

- Keiji?

Bokuto vit qu'Akaashi dormait. Il décida de le laisser se reposer un peu avant de se laver.

Le gris blanc ouvrit les yeux. Une alarme retentit dans sa tête. Il avait laissé la lumière allumée. Il se releva et regarda l'heure sur le réveil.

Il était 1 heure 23.

Il se tourna vers Akaashi.

- Keiji? Keiji? Reveille-toi mon cœur.

Akaashi grogna et se tourna de l'autre côté.

- Keiji, il faudrait peut-être se laver non?

Bokuto sentit ses yeux se fermer lentement. Il abandonna l'idée de réveiller Akaashi et se recoucha, emmenant la couette sur eux et passant un bras protecteur autour de son petit ami, le ramenant contre lui.

Il éteignit cette fois la lumière et rejoignit Akaashi dans les limbes du sommeil.

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