Paralysée.

Ce sont mes jambes toutes entière,
Qui dans la pénombre de la nuit,
Se détachent de mon corps meurtri,
Comme si la vie n'était que poussière.

Ce sont mes bras tout au complet,
Qui dans une émotion si dense,
Se defussent dans une cadence,
Comme si la vie n'est que couplet.

Mon âme si désoltante,
Que la vie à renfermée,
Ainsi paralysée,
Entre ces barreau grisonant.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top