Chapitre 52: Ce n'est pas moi, c'est mes hormones!
Chapitre 52 : Ce n’est pas moi, c’est mes hormones!
Le chalet que nous avions devant nos yeux était absolument magnifique. Évidemment construit en bois, il était assez grand pour y accueillir dix personnes. Un grand et large balcon faisant le devant de cette maison au complet. En plus, il était vraiment à côté d’une tonne d’arbres… En d’autres mots, une forêt. Au loin, nous pouvions parfaitement voir le lac, dont je mourrais d’envie d’aller me baigner dedans. Oui, je me disais que cette semaine allait être relaxante, agréable et fantastique. Qu’avec mon cousin, mon amoureux et mes meilleurs amis qui étaient totalement ma famille, j’allais profiter de cet endroit en pleine nature au maximum… Dans le bonheur, l’amour et l’amitié. Tout ce qu’il a de plus doux et de plus simple. Par contre, que je le veuille ou non, une petite nervosité dansait en moi. Malgré mon esprit présent, j’avais un drôle de mauvais pressentiment qu’une chose ou que plutôt DES choses allaient venir bousculer nos petites vacances tranquilles. Quoi…? Je ne le savais pas, mais ça m’inquiétait.
C’est alors que Liam stationna la voiture dans l’entrée rocailleuse du chalet, ainsi que Louis à nos côtés. Nous descendîmes tous de notre voiture en contemplant le magnifique paysage.
-Eleanor *en sautillant partout* : AAAAAAHHHHH! Que c’est…BEAU! AAAAAHHHH!
Ouais, tout le monde était émerveillé, la bouche grande ouverte, les yeux brillants.
-Moi : L’endroit est…wow! Magnifique!
-Zayn : Ouais, ça sent vraiment la nature, hein…?
-Tout le monde sauf lui : Ouais!
-Louis : Hey, tout le monde…! C’est ici qu’on va habiter pour une semaine! Est-ce que votre magnifique et il faut l’avouer…votre PARFAIT Loulou a fait le bon choix de réserver pour nous tous!?
-Tout le monde sauf lui : Hahahaha! Oui!
Eleanor se rua sur lui comme une petite folle et lui sauta au cou.
C’est à cet instant que nous aperçûmes deux personnes sortir d’une jolie petite maison à côté du chalet. Sûrement les propriétaires du chalet qui venaient nous accueillir…
Point de vue de Zayn Malik
Une madame et un monsieur d’à peu près dans la cinquantaine s’avançaient vers nous, sourire au visage. Ils arrivèrent enfin près de nous tous.
-Monsieur : Oh, bonjour tout le monde! Vous êtes enfin arrivés au chalet St-Claire! Je me nomme Sergio et elle, c’est ma femme Louise… Bienvenue!
-Tout le monde sauf Louise et Sergio : Bonjour. Merci...
-Louise : Alors, la route n’était pas trop longue?
-Liam : Oh eh bien, on a eu un peu de difficulté dans la forêt, car on ne savait pas où on s’en allait, mais bon…
-Sergio : Oh, ne vous inquiétez pas. C’est normal! TOUT le monde qui vient ici sont un peu déboussolé la première fois… Nous rassura-t-elle en souriant.
-Louise : Oh! Et euh…nous avons un fils d’à peu près votre âge. Il se nomme Sébastian. Vous allez peut-être l’apercevoir pendant votre séjour. Il est souvent parti chez des amis le soir, mais dans la journée, il est là.
-Tout le monde sauf Louise et Sergio: D’accord…
-Louise : Bon eh bien, voulez-vous visiter le chalet avant de débarquer vos bagages de vos voitures!?
-Tout le monde sauf Louise et Sergio: Oh oui!
-Eleanor *en tapant des mains come une gamine* : Oh ouiiiiiiiiiii! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
Tout le monde éclata de rire, ainsi que Louise et Sergio, qui sincèrement, avaient l’air gentils. Nous entrâmes alors dans le chalet tous ensemble, l’un à la suite de l’autre. Honnêtement, c’était un des plus beaux chalets que j’avais vus de ma vie. Même LE plus beau!
Point de vue de Samantha Horan
Le chalet était absolument…magnifique! Tout comme l’endroit… Le rez-de-chaussée était très vaste et ouvert. On pouvait sentir le bois frais. Un énorme feu de foyer décorait le salon splendide dans une grande cheminée en briques. Les sofas étaient d’une couleur crème apaisante et au milieu du salon se trouvait une petite table, ayant dessus un bol de fausses pommes vertes, donnant ainsi un goût de nature à la pièce. Une énorme porte-patio dans la cuisine adonnait sur une magnifique véranda. Nous allâmes à l’intérieur. La vue était vraiment époustouflante! Nous voyions parfaitement le lac qui était qu’à quelques mètres du chalet ainsi que des montagnes au loin.
-Moi : C’est…tellement magnifique!
Je sentis les mains d’Harry se déposer subtilement sur ma taille et me rapprocher vers lui.
-Harry : C’est vrai…
Je lui fis un sourire et je lui rendis, heureuse d’être ici.
Ensuite, ce fut autour de l’étage à se faire visiter. Les escaliers étaient un peu en colimaçon et rendu en haut, nous pouvions voir parfaitement le salon au rez-de-chaussée grâce à un espace libre entre le mur et le sol, avec une rampe. Comme l’avait dit Louis, il y avait bel et bien cinq chambres. Une pour chaque couple. Le lit, ayant la couverture blanche aussi, était assez grand. Une jolie fenêtre donnait sur la cour et des rideaux verts transparents ornaient le tout. L’étage possédait aussi deux salles de bains. Une pour les gars et une pour les filles. Ouais, nous allions vraiment être bien ici…
-Louis : Oh mon dieu! C’est vraiment beau!
-Zayn : Hey, la gang? Venez un peu par ici!
Nous nous dirigeâmes tout le monde vers la voix de Zayn. Nous nous arrêtâmes à une pièce contenant une table de billard. Wow!
-Liam : On pourra jouer! S’exclama-t-il, enjoué.
Sergio et Louise arrivèrent dans la pièce, le sourire aux lèvres.
-Louise : Alors, ça vous plaît?
-Louis : Vous parlez!? Bien sûr que ça nous plaît!
-Sergio : Haha! Dans ce cas, on va y aller, nous! Je vous souhaite un beau séjour, les jeunes et s’il y a quoi que ce soit, n’oubliez pas que nous sommes justes à côté de vous. Et si quelqu’un se blesse ou quelque chose, Louise est infermière.
-Tout le monde sauf Sergio et Louise : D’accord, merci!
Toujours en souriant, ils sortirent de la pièce.
-Sophia : Bon, eh bien, on va vraiment passer des vacances incroyables, hein?
-Tout le monde sauf elle : Ouais!
-Eleanor : Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
Nous éclatâmes tous de rire suite à son élan de folie. Nous sortîmes alors tous de la pièce à notre tour pour sortir du chalet et aller chercher nos bagages.
L’après-midi se passa très rapidement. En fait, nous l’avions passé à défaire nos bagages et à placer nos choses. Rendu le soir, vers 20h00, nous étions dans le salon, en train de parler de tout et de rien, comme d’habitude…
-Louis : Zayn Malik! Ne dis pas le contraire! Tu es une vraie princesse!
-Zayn : Moi? Pff…
-Louis : pas princesse, hein? Alors, explique-moi pourquoi tu prends sautant de temps dans la salle de bain le matin!?
-Zayn : Pff… Je…je…je soigne mon apparence!
-Tout le monde sauf Zayn : Hahahahahaha!
-Niall : Je suis d’accord avec toi, Louis…
-Sophia : Moi aussi!
-Andréanne ET Eleanor : Hahahahaha! Ouais! Moi aussi!
Sur cet instant de surprise, elles se regardèrent toutes les deux en souriant avant de se taper dans la main pour montrer leur complicité.
-Zayn : Mais…!? Qu’est-ce que vous avez tous contre moi!?
-Perrie *en lui flattant la joue, en riant* : On n’est pas tous contre toi, Zaynou…
-Zayn *en fronçant les sourcils* : ZAYNOU!?
-Tout le monde sauf lui et Perrie : Hahahahahaha!
-Perrie : C’est un petit mot d’amour! Dit-elle avant de l’embrasser.
Moi, j’étais aux côtés d’Harry, son bras autour de mes épaules, ma tête accotée sur son torse. De temps en temps, il me donnait des baisers sur le front. Il fallait avouer que…oui, en effet, j’étais quand même épuisée de la journée. Mes yeux se fermaient tout seul…
À un moment où mes paupières manquaient de force, Harry me secoua un peu.
-Harry : Hey, ma belle… Va te coucher si tu es fatiguée. Me dit-il gentiment.
J’ouvris mes yeux à nouveau.
-Moi : Oh non…c’est bon. Je veux rester avec vous…
-Louis : Sam? Bon, je sais que tu vas extrêmement nous manquer, mais…tu sais, on peut se passer de toi!
Je pouffai de rire. Eleanor, elle, lui donna le frappa gentiment.
-Eleanor : Franchement, Loulou!
-Louis : Mais quoi…!? C’est vrai!
-Niall : Princesse…vas te reposer, d’accord? Tu as besoin de repos…En plus, tu es enceinte. Il ne faut pas que tu joues avec la fatigue quand elle vient de ton bébé, tu sais…? Me dit-il doucement.
Je soupirai et puis, je sentis une grande et douce main se poser sur mon ventre avec une telle délicatesse. Je baissai le regard vers celui-ci et aperçu la main d’Harry. Je remontai mes yeux vers les siens.
-Harry : Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour moi, d’accord? Ou pour le bébé… Me murmura-t-il avant de me donner un baiser sur la joue.
Je lu souris faiblement avant de me lever, malgré moi.
-Moi : D’accord, j’y vais…
-Harry : Je viens avec toi… Dit-il en se levant.
-Moi : Non, c’est bon…
-Harry : J’insiste…
Je le coupai.
-Moi *en haussant le ton* : Harry, bon sang! Je ne suis pas handicapée! JE SUIS ENCEINTE! JE N’AI PAS BESION D’AIDE POUR QUOI QUE CE SOIT!
Mon amoureux me regarda, vexé, en continuant de me fixer. J’avais installé dans la pièce…un PETIT malaise. Oups…
-Moi : Je…je suis désolée, mon chaton…
Sur ces mots, je l’embrassai sur les lèvres tendrement.
-Louis : Harry subit les symptômes des hormones d’une femme enceinte! Hahahahahahahahahahahahahaha!
Je tournai mon regard vers lui et en effet, il ne se pouvait plus de rire. Eleanor semblait complètement exaspérée à ses côtés. Pauvre elle…
-Perrie : Mais… Ferme-là, Louis!
Aussitôt, je partis dans un fou rire incontrôlable. Tellement que je riais, je me pliais en deux. Ouais, je devais VRAIMENT avoir l’air folle, mais que voulez-vous!? Ce n’était pas de ma faute! C’était mes hormones, comme disait Louis! Harry et les autres me regardaient sans comprendre.
-Moi : Hahahahahahaha! *soupir* Ça fait du bien…
Puis, je repris mon sérieux. D’accord, là. Malaise à la mille! Tout le monde me regardait, la bouche grande ouverte, bouche bée devant ma réaction… Ils devaient sûrement se demander : "Est-ce que cette folle est bipolaire et on ne le sait pas!?".
-Moi : Ben quoi…!?
-Andréanne : Là, c’est sûr! Tes hormones sont vraiment déréglées!
Point de vue de Sophia Smith
En plein milieu de la nuit, j’ouvris mes yeux peu à peu. Je remarquai alors que Liam n’était plus dans le lit avec moi… Mais où pouvait-il bien être? Je me levai un peu pour pouvoir regarder dans la chambre au cas où je ne le trouverais pas assis quelque part, mais rien. Je commençais à m’inquiéter. Oui, vous allez me dire que je suis vraiment paranoïaque, mais j’avoue que ces temps-ci, Liam n’était pas au sommet de sa forme et j’avais en quelques sortes pour lui.
-Moi : Liam…? Demandai-je, m’attendant à une réponse de la part de mon amoureux.
Absolument rien.
D’accord, là, ça suffisait à me ficher vraiment la trouille. Je bondis hors du lit en un seul saut (ouais, je pouvais être très athlétique quand je le voulais) pour sortir de la chambre en faisant le moins de bruit possible. Je descendis lentement les escaliers auxquels je n’étais pas totalement habituée et me dirigeai à la cuisine. Je fis le tour de celle-ci avec un œil de lynx, mais rien. Je passai alors au salon et…ah! Le voilà!
Liam était assis sur le sofa et fixait le vide, ignorant ma présence. Il semblait perdu. Oui, perdu dans ses pensées…et avec lui-même. Ça me faisait mal de le voir comme ça.
Je m’approchai de lui et lorsqu’il me vit, son visage s’illumina. Je vins m’assoir à ses côtés pour lui tenir compagnie et essayer de savoir ses états d’âmes…ce qui allait être une chose ardue, car Liam cachait toujours ses sentiments.
-Liam : Que…que fais-tu là?
-Moi : Ça ne serait pas à moi de te poser cette question, non…?
Il ne me répondit pas. Il contenta seulement de me regarder de ses yeux devenus presque marrons à cause de la noirceur.
-Moi : Alors, mon amour… Que fais-tu là, assis dans le salon?
Il haussa les épaules.
-Liam : Je n’arrivais juste pas à dormir…
Je profitai de ce moment pour l’embrasser sur les lèvres. Ce baiser dura de longues secondes, mais à un moment, je le sentais résistant. Je décidai de me retirer pour le regarder attentivement. Il ne semblait vraiment pas bien aller…
-Moi : Liam…qu’y a-t-il, mon amour?
Sa respiration se fit de plus en plus rapide et je vis ses yeux s’embuer peu à peu, sous les miens encore humides. Je plaçai mes mains sur ses joues pour aller essuyer ses larmes qui commençaient à couler sur celles-ci.
-Moi : Dis-moi que tu ne penses plus à ce que je pense…
Il détourna son regard pour le poser je ne sais pas où.
-Liam : C’est…c’est dur, Sophia.
-Moi : Je sais, mais tu dois arrêter de te culpabiliser, mon amour… Tu nous as TOUS sauvé, bon sang!? Rentre-toi ça dans la tête!
Il me regarda, décomposé par les larmes.
-Liam : Je sais, je sais… Je sais que je dois arrêter, mais je n’y arrive pas! Tout le monde me dit ça. Que j’ai sauvé tout le monde…
Je le coupai.
-Moi : Oui, parce que c’est la vérité!
-Liam : On dirait…
Je plaçai mes mains sur sa nuque.
-Moi : On dirait que quoi?
-Liam : *soupir* On dirait… On dirait que mon cerveau ne veut pas approuver ce que j’ai fait. Ça ne me ressemble pas. Chaque nuit, ça me hante…Comme un film qui repasse sans arrêt. La scène où je suis dans la cuisine et lui, avec le fusil. Où je fais semblant de perdre connaissance et qu’après je me relève pour le poignarder... Où je réussis à détourner le fusil vers lui… Je me demande sans cesse ce que j’aurais pu faire pour éviter sa mort. Peut-être que…
Il prit une grande respiration en laissant tomber quelques perles d’eau de plus.
-Liam : Peut-être que si…si je l’avais laissé me tirer, je…
Je n’arrivais pas à croire ce qu’il me disait. J’avais les larmes aux yeux, moi aussi, à force de l’écouter.
-Moi *sur le bord de craquer* : Non! Ne dis pas ça, Liam… Non, surtout pas ça. Tu n’avais pas à mourir à sa place! Enlève-toi ça de la tête immédiatement!
Il me regardait avec tellement de tristesse que ça me déchirait littéralement en deux.
-Liam *en éclatant en sanglots* : Je…je ne voulais pas le tuer, Sophia… Je ne voulais pas!
Là, c’était la goutte qui avait fait déborder le vase. Je pleurais maintenant, mais à la place de pleurer AVEC lui, je pleurai POUR lui. Voir mon amoureux, ma raison de vivre, ma vie pleurer me tuait de l’intérieur. Si seulement j’avais pu lui faire éviter cet enfer… Je passai mes bras autour de son cou pour lui faire un gigantesque câlin. Il se laissa aller dans mes bras encore une fois.
-Moi *en pleurs également* : Chuuut… Je sais que tu ne voulais pas le tuer, mon ange. Je sais…
Je lui flattais les cheveux et le dos avec tendresse pour réussir à le consoler…
Point de vue de Louis Tomlinson
Assis en haut des escaliers, j’avais tout entendu la conversation entre Liam et Sophia. Ma tête accotée sur une des rampes, je fermais mes yeux en laissant quelques larmes s’écouler de ceux-ci. Voir mon ami dans cet état me chamboulait. Il ne méritait pas ça, vraiment pas. L’entendre pleurer me faisait pleurer également. Vous savez la phrase qui dit qu’une émotion d’une autre personne peut te faire sentir de la même façon…? Eh bien, cette phrase me convient parfaitement. Oui, j’étais peut-être un clown quand je le voulais, mais au fond de moi, j’étais un sensible…qui voulait que le bonheur des gens que j’aimais. Je décidai que c’était assez. Je me levai en silence et me redirigeai vers la chambre. Je refermai la porte derrière moi et me remis sous les couvertures en espérant qu’Eleanor ne m’entende pas. Par contre, elle se réveilla après un petit bout de temps et…j’avais encore les larmes aux yeux. Carotte!
Je sentis sa main se glisser autour de ma taille et enlacer ma main. Elle s’accota sur sa main et me regarda, l’air inquiet.
-Eleanor : Mon lapin…!? Tu…tu pleures?
« Oh non, trouve quelque chose, trouve quelque chose! » Dit ma conscience.
-Moi : Euh…ou…ouais. *essuie mes joues* J’ai…j’ai juste fait un…un cauchemar.
Elle flatta ma joue avec sa main et commença à me caresser le torse sensuellement.
-Eleanor : Tu as l’air dans tous tes états, mon chéri… C’était quoi ton cauchemar?
-Moi : Je…j’ai rêvé que…que tous mes amis étaient malheureux, y compris toi…
Je savais, je ne lui disais pas la vérité, mais je ne voulais pas tout lui raconter ce que j’avais entendu sortir de la bouche de Liam… Pour ne pas éclater en sanglots comme lui…
Eleanor me regarda d’un air piteux et se logea dans mes bras. Puis, elle m’embrassa dans le cou.
-Eleanor : Tu le dis toi-même… C’est juste un cauchemar. On est heureux, mon lapin…
Je souris faiblement. Évidement, elle ne se doutait absolument de rien. J’aimais sa naïveté, malgré moi.
« La vie est une drôle de chose. La minute où vous avez compris, quelque chose arrive et transforme tout à l’envers. »
___________________________________________________
Salut, salut, salut!! Voici mon chapitre 52!! J'espère qu'il vous a plu!! :)
Bon, je suis extrêmement désolée du retard. Cette semaine, j'ai manqué d'inspiration, voilà tout. En plus, j'avais une tonne d'examens où il fallait que j'étudie, donc...ouais. Par contre, ce chapitre, je l'a énormément travaillé pour ne pas vous décevoir. Peut-être qu'il manque un peu d'actions, mais je vais me reprendre au prochain chapitre, promis!! :)
-Donc, comment trouvez-vous Sergio et Louise? Pensez-vous qu'ils ont l'air louches?
-Comment trouvez-vous les hormones de Samantha?? ;)
-Comment trouvez-vous Sophia qui console Liam encore une fois?
-Finelement, comment trouvez-vous le petit moment entre Louis et Eleanor à la fin?
Je sais que je n'ai pas vraiment beaucoup de questions comme d'habitude, mais je trouve que ce chapitre n'est pas le meilleur, car il ne s'y passe pas grand chose. Mais...il faut bien qu'il y en est des chapitres comme ça dans la fiction pour qu'elle suive son chemin... ;)
Bref, merci beaucoup pour votre soutien et encore désolée du retard et pour ce chapitre merdique. :/ Je vous adore!!
Bisous, Xox
PS: Ah! Et...la photo à côté, c'est Samantha!! :)
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top