TROIS : quand arthur retrouve solal étendue au milieu de leur salon
Arthur était enfin libre, il quitta le centre de Maranello pour retrouver sa compagne et leur petit appartement. Les deux ne venaient pas d'Italie, mais avec le travail du brun, il avait été convenu qu'un appartement où loger était préférable. Le pilote prit son téléphone et se rendit compte des nombreux appels en absence, Solal devait avoir un problème. Arthur se hâta, il monta dans sa voiture et démarra en trombe, il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Se mordant la lèvre jusqu'au sang, le feu rouge face à lui l'énerva. Le monégasque tapa rageusement sur le volant et jura en français avant de passer la première.
En arrivant devant l'appartement, il remarqua que toutes les lumières étaient allumées. Un doute le prit, peut-être qu'il s'était inquiété pour rien, que Solal était juste inquiète de ne pas le voir rentrer. Mais le jeune homme savait très bien que ce n'était pas ça, il avait un mauvais pressentiment. En entrant dans l'appartement, Arthur appela sa compagne d'une voix claire et forte, mais aucune réponse ne lui parvint. Il se hâta de poser ses chaussures ainsi que sa veste et couru dans le salon. Ses yeux tombèrent sur Solal, allongée sur le sol, gémissante et en proie aux sueurs froides.
Il la prit dans ses bras, la déposant sur le sofa, surélevant le haut de son corps avec des coussins. Arthur se rendit dans la salle de bain pour remplir une bouillotte d'eau chaude, il fit également un thé dans la cuisine avant de revenir avec le tout dans le salon. Le jeune homme ne savait pas vraiment comment gérer les crises de sa compagne, il avait retenu que la chaleur pouvait apaiser la douleur. Il déposa la bouillotte sur le bas ventre de Solal avant de lui embrasser chastement le haut du crâne.
« Respire mon ange, ça va passer.
— Merci d'être venu.
— J'ai vu ton appel, et je savais que c'était une urgence. »
Le sourire que lui offrit Solal fit louper un battement à Arthur, elle lui prit la main avant de l'embrasser tendrement. Le jeune homme lui sourit davantage avant de se pencher vers elle et de lui embrasser les lèvres. Les deux purent se reposer, Arthur restant tout de même alerté par rapport à l'état de santé de sa petite amie. Il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter comme à chaque fois qu'elle faisait une crise d'endométriose. Et Arthur ne put s'empêcher de penser à quel point elle était forte, que c'était une combattante.
[c'est le même déroulé que la partie un mais du pdv de arthur + maranello c'est pas pour la f2 en général mais juste par rapport à la ferrari driver academy (ça faisait mieux que le siège social de dams C'est vers le mans mdrrr)]
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top