Le lendemain je me lève comme si rien ne s'est passé. Je dois oublier l'accident d'hier. Mais pour être sincère, j'ai aimé la manière dont il me parlait. Il était gentil ...et fort...doux et pervers. Bon il me plaît. Je décide d'aller prendre un café. Je m'y dirige. Je passe du parc lorsque j'entends quelqu'un me crier:
- attends..
Je me retourne. Waouh! Nom du diable! Un très beau mec. Arrrrgh! Kim qu'est ce que tu racontes? Il était brun avec des yeux tellement vifs et brillants. Il me dit :
- pouvez vous surveiller mon projet jusqu'à ce que j'aille en toilette?
Je regarde à côté et je vis sur une table un projet scientifique.
- ok, dis-je tout simplement.
- merci, me dit il avec un grand sourire charmeur.
Je l'attends et il n'était pas lent. Il me remercie encore une fois. Je regarde un peu son projet. Et je le regarde lui aussi. Il était clair qu'il a senti que je l'observe.
- dis mademoiselle, tu comptes me regarder longtemps?
- c'est que je vous ai vu mais je ne sais pas où.
- peut être.
- ça te dérange que je sois là?
Pourquoi suis-je aussi gentille? Mais c'est pas mal en fait.
- non pas du tout.
- en tout cas. Je vais aller mais juste pour te dire : il y a des fautes dans ton projet. Cio
- vraiment?
- quoi?
- tu comptes me dire qu'il a une faute et tu pars sans me la dire?
Je ne réponds pas et je la lui montre. Il me répond :
- ça aurait été si nul sans ton aide.
- pas de quoi.
- j'ai vraiment besoin de ton aide.
- et?
- ça te dit de m'aider? T'a l'air d'une génie toi .
- merci.
- tu ne m'as pas toujours répondu.
Comme je la déteste cette phrase. Surtout après la rencontre que j'ai fait avec le petit stupide pervers gentil agresseur.
- ouais, dis-je nerveusement.
Il me sourit et se remet au boulot. Il n'a pas l'air ni d'aimer ce qu'il fait, ni de le contrôler. Pffff! C'est trop bien d'être surdouée.
Bon, je reprends mon chemin vers le café dans lequel j'avais une habitude de prendre un express. Il jaillit finalement et j'y entre. Je massois à une table. Après cinq minutes, un serviteur m'a apporté un express. Il en était tellement habitué qu'il ne me demandait plus ce que je veux boire. il me l'apportait directement.
- salut.
. c'est ce que j'ai entendu derrière moi eg je me retourne pour voir c'est qui. ...