>> Chapitre 23

 jbluiyv

Et ça vous dit on passe l'éponge sur mon ENORME retard ? ^^ jvous aimes lovu lovu

Quand je me suis réveillé, mon premier réflexe a été de chercher la présence de Cormac. Mais il n'était pas là. J'ai immédiatement voulue replonger dans le sommeil le plus profond au monde. Mais maintenant que j'étais réveiller je n'y arriverais plus. J'étais dans la même chambre, enfermer, comme depuis le début. Je ne supporte plus cette situation. Je sais qu'il pense bien faire, qu'il veut me protéger, mais je dis non. Ici, je ne fais que réfléchir. Et j'en ai marre. J'ai besoin de me changer les idées.

Mais comme j'y suis, je vais au toilette nue comme un vers pour faire pipi et repense à la soirée d'hier. Je me souviens de l'actrice porno, '' Tania ''. Pourquoi Cormac l'avait à son bras. Et les images d'hier... Je me souviens vaguement de ce dont je me suis rappeler. Tout est si flou. Mais le sentiment de haine, de souffrance était bien là. J'avais l'impression de tout perdre, de me sacrifié corps et âme pour me briser en mille morceau sans personne sur qui compter... sans plus aucune raison de vivre hormis le malêtre. J'ai brusquement arrêter d'essayer d'y repenser en sentant que j'étais à deux doigts de pleurer. J'ai repris mon souffle et enfermer ces sentiments au fond de moi. J'ai soupirer en me demandant qu'est-ce qu'il avait bien pus ce passer pendant tout ce temps.

Je suis retourner au lit et me suis laisser tomber sur celui-ci. J'ai continuer à repenser au reste de la soirée jusqu'à ce que Cormac m'entraîne dans l'ascenseur. Rien que de repenser à cette partie de la soirée je suis excité. Chaque détail me fait mouillé un peu plus. Mes mains deviennent baladeuse pendant que je me remord chaque détails. Le corps de Cormac, ses mains, ses caresses...

- Ness, tu es réveiller ?

Je lâche un petit cri de surprise, ouvre brusquement les yeux et attrape la couverture. Essouflé, un peu en sueur, je lève les yeux sur Andy qui, comprenant ce que j'étais en train de faire, me regarde sournoisement.

- La nuit avec Cormac ne t'a pas suffit ?

Je le fusille du regard, ne sachant que dire. J'étais embarrassé pour la première fois depuis longtemps. Vraiment embarrassé.

- Putain mais tais toi, criais-je rouge de honte. Pourquoi il y a pas une putain de sonnette ?!

- Te met pas en colère, je suis désolé de t'avoir interrompu ok ? Mais évite d'en parler à Cormac il risque de pas super bien le prendre...

- Il est où lui ?

- Il est partit faire ses affaires, et je dois te surveiller, ça ne change pas. Je suis venu voir si tu avais besoin de quelques chose.

Je ferme les yeux et me laisse tomber sur le matelas. Les draps ont notre odeur, légère. Celle de Cormac est moins prononcer. Je me souviens que chaque fois que nous nous voyions j'adorais me lover contre lui et sentir son odeur.

C'est de lui dont j'avais besoin. De Cormac. Il a toujours été là, alors pourquoi aujourd'hui il ne l'est plus ? Pourquoi c'est devenu si dure de l'aimer ?

- Je suis pas bien Andy, dis-je dans un murmure.

Je pensais pas qu'il m'avait entendu, pourtant je l'ai sentie s'asseoir à côté de moi. J'ai garder les yeux fermer et sentie sa main prendre la mienne.

- Je sais que c'est dure de rester à ses côté. Surtout quand on ne devrait pas.

J'ai retenue un sanglot. Mes yeux me brûlait et ma gorge ce serrait. J'ai serrer la main d'Andy aussi fort que j'ai pus. Savoir que lui comprenait me rassurait. Je n'étais pas seule finalement.

Je me suis soudainement redresser, lâcher la main d'Andy et lever en prenant soin de me cacher avec la couverture.

- J'ai besoin d'un rasoir.

Je me pose devant lui, mains sur les hanches.

- Je suis pas sûre que ce soit une bonne idée.

- Je suis un putain de yéti, Andy, dois-je te décrire l'état bestiale de mon pubis ?

Il ce lève, foutant en l'aire ma tentative de le dominer. Il lève les yeux au ciel, et fixe son regard dans le miens, comme un défis. J'aime faire l'effronter, mais je suis déçu que ça n'est pas beaucoup d'emprise sur Andy. Comme si il en avait vue pire. Le fait que je parles de ma partie intime un poile trop poilue ne semblait pas le perturber outre mesure.

- Mon nom c'est Andros, et tu auras des bandes de cire et une tondeuse.

Ah oui, Andros. Je le savait, mais c'est plus simple de l'appeller Andy. Je fronce les sourcils.

- Je n'aime pas les bandes de cires.

- Tant pis. Garde tes poiles de yétis.

- Cormac me préfère rasé...

- Cormac préfère éviter de te mettre n'importe quel objet coupant entre les mains.

- Je ne vais pas me suicider.

- Oui mais je tiens à ma vie.

Toucher. Même si je n'y ai pas penser, un rasoir dans les mains, j'aurais très vite eu l'idée de l'utiliser pour m'échapper. Je soupire et nie en bloc mais Andros ne me crois pas et finit au bout d'un moment par me demander d'enfiler quelque chose pour clore le débat. Comme si j'allais le laisser s'en tirer si facilement. Dès que j'aurais enfiler quelque chose, je reviendrais à la charge et le ferais plié, je suis décider à avoir mon rasoir. En entrainant la couverture derrière moi un petit papier en est tomber. C'était un coin de feuille déchiré. « Tu es magnifique endormie, Ness, je t'aime » je n'avais jamais vue l'écriture de Cormac. Il écrivait très mal et pourtant j'adorais sa mannière d'écrire mon prénom, juste à côté des mots ''je t'aime''. Mon cœur à fait un bond avant de s'emballer. J'ai sourie comme une idiote. En plus il mentait forcement puisqu'il m'arrivait de baver en dormant et ce n'est pas du tout jolie.

A l'autre bout du loft circulaire, loin du regard d'Andros, j'ai retiré la couverture et l'ai secouée vivement pour voir si il n'y avait pas un autre de ce fabuleux petit bout de papier. Quelque chose à briller et voler avant de tomber au sol dans un bruit sec. Je me suis précipité pour le récupéré. Il s'agissait de ma chaîne.

Je l'avait briser.

Là, elle était intacte.

J'ai frotter l'arrière de ma nuque. J'ai fixer la chaîne en argent, j'étais maintenant persuader que je l'avais briser. C'était une certitude. J'étais heureuse qu'il l'ai réparer, qu'il me l'ai donner, et puis le mot... Mais j'étais partager. Un autre sentiments. Plusieurs autres. La vague que j'avais endigué tout à l'heure m'a brusquement submergé.

La blonde. Cormac. Une arme.

Je me noie. Je n'arrive plus à respirer je pleure mes larmes sale mes lèvres me donnant encore plus l'impression de me noyée. Je ne vois plus rien que des formes et toutes ces images qui assaillent mon esprit. Je me sentais faible je m'en voulais de paniquée mais j'étais persuader que j'allais mourir ou tuer Cormac avec l'arme entre mes mains. J'ai sentie des mains m'agripper, ça a accroissé ma panique, je devais fuir mais tout à sombrer dans le noir. J'étais vraiment en train de mourir.

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