>> Chapitre 20

Comme on pouvait s'y attendre, à mon réveil Cormac n'était plus là. En même temps, c'est un connard.

Même pas un petit mot, rien. Je vous jure, aimer un salopard c'est prendre beaucoup sur soit pour ne pas lui arracher les dents. Seulement j'avais un plus gros soucie que Cormac pour l'instant : je n'avais rien à faire, et j'avais monstrueusement chaud. Normale, puisque d'après Cormac nous somme au début de l'été et que cette saleté de chambre n'a pas de fenêtre. Donc même si j'ai promis à Cormac que je n'essaierais pas, je vais essayer de m'échapper. Au moins pour m'occuper. Alors en regardant l'heure - 18h28 - j'ai établie un plan d'évasion : Attendre qu'un gars vienne me donner ma bouffe ; Le tabasser pour sortire ; me démerder au possible.

Bien, quel plan de génie, je vous dit ! mais attendre une heure que le repas me soit apporter... C'est long. Alors je me suis mise à tembourriner de toute mes forces à la portes.

-Hey ! J'ai faim! criais-je. J'ai soif ! je crève de chaud ! vous pouvez m'apporter un ventilo s'il vous plais? Et mon repas en avance !

J'ai entendue des bruit de chuchotement derrière la porte, j'ai compris qu'ils hésitaient. Puis c'est redevenus silencieux. Au bout de dix minutes, rien n'avais bouger. Je crois que mon plan n'a pas fonctionner... Alors je me suis remise à tembourriner à la porte, mais cette fois juste pour les faire chier.

En à peine cinq minutes, je les avaient tellement gonflé qu'un grand coup à la porte m'avais répondu.

-Tu vas arrêter de frapper cette putain de porte ! entendis-je et j'ai vue rouge.

-Alors apporte moi un ventilo fils de chienne !

-T'aurais pas si chaud si tu la fermais un peu !

J'était tellement tendue que ma colère était multiplier par trois. C'était complètement ridicule, pourtant j'était folle de rage et je m'inventais des raisons. "Il m'a insulter" , "il fait chier", "il me donne pas ce que je veux", "il me laisse mourir de chaud", ou encore "il a une voix très moche". Mais bon, ces raisons stupide me donner la force de continuer à frapper la porte. Ils vont bien finir par ouvrir pour que j'arrête, et là je les frappes... Un plan bencale, j'admet, mais qui a sa chance. Pourtant je finis par fatiguer et me laisse tomber au sol, le dos contre la porte.

-T'as finis ?

Mais bordel il en veut ! il me provoque ce con ! Son ton était tous simplement excécrable. J'ai regarder la chambre autour de moi, et j'ai eu une illumination. Depuis quand étais-je aussi conne ? J'ai attraper ma table basse, et la balance à l'autre bout de la chambre en mimant un cri mi-douleur, mi-horreur légèrement étouffer. J'attrape mon oreiller et me cache derrière la porte. Si celle-ci s'ouvrait en grand, la poigner me rentrerais dans le ventre. Je retiens mon souffle quelque secondes, immobile.

-Hey ? demande l'autre type. Ca va ? Il t'arrive quoi ?

-Nan elle a rien, j'te parie c'est pour qu'on ouvre la porte, rétorque le fils de chienne.

-Mais si elle a fait un truc pour l'ouvrir et qu'elle s'est blesser ou cogner ? Si on fait rien et qu'il lui ai arriver quelque chose, Cormac va...

Il y eu un silence, puis finallement j'ai entendue la clé tourner dans la cerrure. Il faut attendre le bon moment. La porte s'est ouverte, d'abord doucement, craignant sûrement une attaque surprise, puis l'homme l'a ouvert en grand en faisant un pas dans la pièce en même temps. Maintenant ! Mon oreiller en avant, je lui ai foncer deçu et par un effet domino je les ais tout les deux plaquer sur le mur violement, étouffant presque je premiers avec l'oreiller. Tu t'y attendait pas, hein, du con ! en moins d'une seconde j'avais identifier l'endroit : un couloir avec plusieurs portes.

Pourquoi c'est toujours des couloirs ? Au moins je ne suis pas au bout cette fois : juste au centre. Je peux voir le bout du couloir. Je me suis mise à courrir comme une folle. Arriver au bout, avant même de voir où j'avais attérie, j'ai bifurquer. Les deux monguoles ce sont remis du choc et me poursuivent à vive allure. Sauf qu'en tournant, je me prend littéralement une plante dans la face. Je tombe, l'emportant avec moi. Mon visage plonger d'en son feuillage, je me dis que mon plan d'évasion à lamantablement échouer.

Faut croire que non, puisque les deux zozos bifurque eux aussi, mais sans me voir. Il me passe à coter sans un regard et fonce comme des flêches. Il me faut quelques secondes pour me rendre compte de la chance que j'ai eu. Je me retiens d'éclater de rire, et regarde plutôt où je me suis retrouver. C'était carrément le hall doit d'un bulding soit d'un immeuble. Je me suis lever et ai épouster la terre de mes affaires, ni vue ni connue. J'ai remis la plante et son pots droit. Les murs sont blanc, et nous devons être au rez-de-chaussé, puisqu'il y a des portes automatique. Des gens très diversifier allais et venais. Il y avais un espaces avec des fauteilles où des hommes en costumes lisaient, regardaient sur leurs portable ou tablette, piannotaient sur leur ordinnateur...

Pendant quelques secondes, j'ai crus rêver. Pourtant non. L'avantage c'est que je me trouvais derrière l'accueil, donc j'avais le choix entre explorer cette immeuble où sortire. Mais vue que les zozos sont partis vers la sortie, mieux vallait eviter ce coter et aller à l'intérieur. Je me suis dépêcher de rejoindre l'ascenseur, mais finallement j'ai pris l'escalier. J'avais moins de chances de tomber sur quelqu'un qui me connaissait.

Ok, ce fut le pire choix de ma vie. J'étais essoufler et mes mollets étaient dure comme du bétons. A peine arriver au cinquième étage que mes jambes commençaient à me lâcher. Pour le moment, je n'ai vue que des bureaux, encore et encore. J'ai vue tellements de bureau que j'ai bien faillie faire une dépression. A l'étage suivant je suis sortie des escaliers et ai rejoins l'ascenseur le plus discrètement possible. Je me suis glisser entre les deux portes, me retrouvant avec une femme qui piannotait sur sa tablette et deux hommes. Les deux hommes m'ont regarder avec un sourcil lever, alors que la femme n'a pas bouger d'un pouce. Dans l'ascensseur, en regardant les boutons, j'ai remercier le ciel d'être sortie des escaliers. Il y as cinquante étages. Et nous n'étions qu'au douzième.

-Quel étage ? demande l'un des hommes, le plus jeune.

Au-cu-ne i-dée. J'ai réfléchie rapidement : je ne connaissais rien des buidings, de cette endroit, et il y a de forte chance pour que Cormac ou ses copains soit à ma recherche. Il y avais exactement quatre ascensseurs (j'ai pris le premiers qui partait). J'avais donc une chance sur quatre qu'il tombe sur le mien. A mon avis, il vont tous descendre donc je dois monter. Bien.

-Le dernier. répondis-je avec un grand sourire.

Ce débile à appuyer sur le 44ème, mais j'ai remarquer que les cinq derniers boutons étaient noir. Donc, pour les employers, le derniers étage c'est le 44.

Il fallait vraiment que j'ai une chance monstre, aujourd'hui, puisque j'ai réussis à monter jusq'au 22ème étage sans problèmes. Bien sûr, à chaque fois que quelqu'un montais il me dévisageait. J'avais encore mon bandage au crâne, et mes vêtements n'était pas vraiment fait pour l'endroit. C'est au 23ème étage que je n'ai pas eu de chance : Ce gars, Andy je crois, était là. Et il m'a vue. Dans la même secondes, lui courait vers moi, et moi j'écrasais tout les boutons de l'ascensseurs pour que les porte ce referme. Le soulagement et la jouissance de voir les portes de l'asceusseur ce fermer sous son nez son indescriptible.

La frustration que j'ai éprouver en voyant les porte s'ouvrir sur lui l'étage plus haut était, elle, bien moins agréable. Il lui a suffit de dire "sortez" et toute les personnes présentes dans l'ascensseur on détalé. Il est entré et ma pris le bras. J'ai soupirer bruillament.

-Tu vas me remmener dans ma petite chambre ? dis-je d'un ton acerbe. Je te préviens dès que je peux je t'écrase les testicules.

-Du calme tigresse, je t'emmène voir ton Roméo.

Je l'ai vue appuyer sur le bouton 49 -mais merde alors, c'est quoi ce putain de bouton 50 alors ?- et taper un code sur le clavier juste à coter, que je n'avais même pas remarquer. Dans ma tête, j'ai soudain pris conscience de Roméo, c'était Cormac.

-Génial, je vais recevoir ma fessée.



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