>> chapitre 18

-Ness, éloigne toi de la lumière, je t'en pris, quitte à tomber dans les ténèbres avec moi.

J'ouvre les yeux, aspirant une grande gouler d'air. Une douleur me vrille le cranne. En essayant de me lever, je me rend compte que c'est tout mon corps qui me fais souffrir. J'ai la tête bander, plusieurs pensements un peu partout. Mon ventre est découvert, et recouvert de griffures. Je regarde autour de moi, je suis dans une chambre. Assise dans un lit double, sur la table de nuit ce trouve un verre d'eau, du désinfectant et des crèmes pour douleurs musculaire. Il me faut quelques secondes pour me rendre compte que mon pied est enchaîner au pied du lit.

Mais que c'est-il passer?

Je fouille dans ma mémoir, mais tout est sombre, flou, noir, et la douleur ce fais plus horrible. Un douleur indescriptible, comme si on m'avait ouvert le crâne. J'attends quelques minutes, de longues minutes interminable. Je n'ose pas toucher au verre d'eau. Finalement, la porte s'ouvre sur un garçon. En me voyant, il ce stop. Il est brun, avec une légère barbe. Assez musclé, et les bras recouvert de tatouage, il paraît plus vieu que moi. De quelques années, mais plus vieu. Je le dévisage, et lui ma fixe stupéfait. Je remarque des cernes violettes entourant son regard brun, et ses lèvres sèche.

-Ness...

Il s'avance lentement, mais je doit lui faire peur parce qu'il s'arrête brusquement.

-Ness, tu me reconnais?

Je le regarde attentivement, et oui, ses traits me sont familier. En le voyant ce décomposer, je ferme les yeux et cherche de toute mes forces, mais rien. Pourtant je me sens proche de lui... Presque intime.

-Je ne sais pas, répondis-je, mais je contemple mon pieds enchaîner et fronce les sourcils. Par contre je veux qu'on m'explique pour quoi je suis enchaîner à ce lit.

-Ness, quel est ton derniers souvenir? me demande-t-il en s'approchant.

-OK j'ai répondus à ta question alors tu réponds à la mienne, capiche? dis-je d'un ton irrité.

Il soupire en levant les yeux au ciel, mais sourie malgré tout. Soudain, une colère monstre monte en moi envers lui, mélanger à tout un tas de sentiments contradictoire.

-Pour ne pas que tu te aille te balader, maintenant à toi de répondre.

Je repousse ma colère qui me semble injustifier, tout comme mon désire de lui bondire dessus pour le déshabiller. Bon, toute les filles doivent vouloir lui bondire dessus. Ma colère triple, et je respire profondément pour la calmer. Je fouille dans ma mémoir, mais rien. Vide. La douleur me fait affreusement mal, pourtant je me concentre. J'essais de me souvenir de quelques chose, même quelque chose d'infime. Je soupire, frustré.

-Nan, je ne me souviens de rien, c'est le vide ! criais-je.

Il s'approche et me prend dans ses bras. Je suis surprise. C'est très confortable, mais mon corps me rapelle à la raison : je couine de douleur. Il me relâche et me contemple en écartant une mèche de mon visage et pose sa paume contre ma joue.

-Pourquoi tu te comporte comme ça avec moi?

Je le dévisage en faisant une grimace. Est-ce que c'est mon petit copain? Ca m'étonne. Même si il est beau, il m'a l'air un peu rustre. Le genre qui casse le couille a vouloir pailler le McDo juste par virilité.

-Parce que tu m'appartiens, Ness.

Ces simples paroles me débloque. Comme si on ouvrait un robinet, tout mes souvenirs reviennent d'un coup, presque comme si ils ne m'avaient jamais quitter. Je mets quelques secondes à les digérer, puis les derniers me frappent de plein fouet. Je tourne les yeux vers lui, et le prend par les épaules.

-Les flics ! Ils nous ont...

-Ne t'en fait pas, mes hommes s'en sont occupés Ness. Mais il faut que tu me raconte ceux qu'il c'est passer Ness, avec Mathilde.

Je le dévisage un long moment, puis doucement enlève mes mains de ses épaules pour l'étudier.

-Attends, quoi? Mais on étaient tous seul dans la chambre, et ils sont entré, ils étaient super nombreux, et... Mais c'est quoi le rapport avec Mathilde? De quoi tu me parle?

Ses yeux s'agrandissent.

-Ness, quel mois somme-nous?

-Février, répondis-je sans hésitation. Pourquoi?

-Non, Ness. Nous somme en Juillet.

Il me faut un petit moment pour réaliser.

-Quoi? demandais-je d'une voix étrangler.

Il ne réponds rien, et me regarde. Je regarde autour de moi, perdue. Mais nan, c'est impossible. Nous somme en Février, j'en suis sûre. Pourtant une petite voix au fond de moi me dis que non, que je me trompe. Un grand vide, plus grand que d'habitude m'envahis. Mais alors, ce qu'il a dit...

-Qu'est ce qu'y c'est passer? demandais-je brutalement. Tu as dit que t'es hommes ce sont occuper des flics, et qu'il s'était passer quelque chose avec Mathilde, quoi?

-Ness...

La porte s'ouvre brutalement et un garçon entre. Bronzé, une cicatrice rose barre son oeil gauche. Il ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais quelqu'un le bouscule et entre. Je contemple la scène, troublé. La personne est un homme qui ressemble incroyablement à Cormac, en plus vieu encore. Son bras est bander. Il me fait un sourir qui me met pas bien du tout.

-Cormac, c'est qui eux? demandais-je en m'accrochant à lui.

Le sourire de l'homme s'agrandit et Cormac est soudain très tendue. Ils ce dévisagent méchament, Cormac ce lève et s'approche de lui menacent.

-Dégage Rick, aboit-il.

-Recule Cormac, dit mieleusement l'homme, puis tourne son regard vers moi. Ravie de te revoir Ness.

-Quelqu'un peux m'expliquer ce qu'il ce passe ici? Cormac ! m'exclamais-je.

Ils ce soutiennent du regard, semblant ne pas avoir entendue ma requette. Ils me semblent familier, je suis sûr de les avoirs déjà vue quelque part. Mais j'ai oublier, j'ai oublier tout ce qu'il c'est passer ont dirait. Et on dirait surtout qu'il c'est passer pas mal de choses.

L'homme fini par lever les mains, dans un signe d'abandon, et après un derniers regard pour moi, sort suivis de l'autre garçon. La pièce vide, Cormac soupire et bouge ses épaule pour faire retomber la tension. Il s'assoit à côter de moi et pose sa main sur la mienne.

-Quand la police est entrer dans la chambre, tu les as retenus et j'ai pus m'enfuir. Il ont passer l'affaire sous silence, et j'ai envoyer Andros, mon demi-frère, celui en qui j'ai le plus confiance, pour te surveiller le temps que ça ce calme.

Il marque une pause pour me laisser digérer.

-Rick, celui avec l'écharpe, a découvert ce qu'il ce passe entre nous, et essaie de nous séparer.

-Pourquoi?

-Parce que c'est un connard.

Je hoche la tête, en me disant que lui aussi c'est un peu un connard. Vue qu'ils ce ressemblent, j'imagine qu'ils sont frère.

-Et pour Mathilde et les flics? demandais-je.

Il hésite un long moment, et je crains le pire.

-Ton père sortait avec Mathilde pour récuperer des infos, tu l'as découvert et tu as... Tu t'es disputer avec Mathilde. Elle est porter disparut et les flics te soupçonnent, ils t'ont poursuivis et tu t'es réfugier dans les entrepôts abandonner, sans savoir qu'on y était aussi. Tu nous ais tomber dessus et tu t'es évannouis. On t'a fais sortire pendant que mes hommes les repoussais.

Je prends quelques minutes à digérer les infos, mais j'ai mal au coeur. J'ai envie de vomir. Mon père et Mathilde? C'est quoi ce délire? Je me refuse d'y penser. Ma tête est sur le point d'exploser, je ne veux pas y penser. Parce que ça fais mal. Le dégoût, la colère et même le remort monte en moi. Mais il y a autre chose. Une amertume.

-Pourquoi je suis en colère envers toi? demandais-je, en fronçant les sourcils.

Il baisse les yeux, sur nos deux mains enlacé.

-Parce que je t'ai abandonner, dis-t-il d'un voix neutre.

Quelque chose au fond de moi me met en alerte, une lumière rouge clignote dans mon crâne. Je voix la pluie, je voix les cris et les pleures. Mais j'ai aussi l'impression de sentire une étreinte douce, rassurante, protectrice, elle aussi suivis d'un goût amer. Je ne comprend plus rien.

-C'est tout ? demandais-je. Vraiment tout?

-Oui. Je suis désoler Ness.

Il ce penche vers moi et m'embrasse. Ses lèvres sont douce, et bouge lentement contre les miennes. Je m'attendais à un véritable braisier, comme toujours. Mais non. Il y quelque chose qui cloche, quelque chose qui me bloque. Comme si ce n'était plus comme avant. Comme si je ne l'aimais plus comme avant. Si seulement je pouvais me souvenir.


Salut les amis !

Je sais, je sais, ce chapitre est court en plus il est nul... Bon, je dois vous dois la vérité : J'ai un gros, GROS problème. En faîte j'en ai deux.

En ce moment, j'ai carrément la flemme. J'ai pas mal de temps libre, mais j'ai trop la flemme d'écrire. Pour toute mes histoires, mais ça va finir par passer ;)

Et puis un autre gros problème qui là conscerne principalement Je t'appartiens, tu m'appartiens : LA PAGE BLANCHE ! ça aussi c'est qu'une passe, mais je vous jure que c'est vraiment, mais alors vraiment frustrant. Je suis désoler, parce que la suite va sûrement mettre du temps à venir (plus que d'habitude quoi) mais je n'abandonne pas mon livre ! pour compenser, j' essais de relire les autres chapitres pour les corriger comme je peux.

En tout cas, vraiment désoler :c

Vote et commente si tu as aimer (même si ce chapitre est nul, sorry -.-') ! ^^ ça fais super plaisir !

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