>> chapitre 17


PDV Cormac (Cole)

-T'a trois secondes pour me dire où t'as planquer le fric, à trois sa cervelle explose, dis-je en pointant le canon en direction de la tempe de la jeune fille. Un.

Hashton, du sang coulant de son nez, des bleus partout et deux gros cocards tourne difficilement les yeux vers sa fille tremblante, attacher pieds et poings lié à une chaise. Le quarantenaire est recouvert de son propre sang a les ongles arracher et les tendons coupés, l'empêchant de bouger. Docteur Glaun a soigner ses blessures les plus importantes, le maintenant en vie, éveiller pour qu'il puisse ressentire toute la souffrance de ses blessurs et, accessoirement, voir la cervelle de sa filles exploser. Celle-ci gémie.

-Je vous en pris, ne lui faîtes pas de mal.. souffle-t-il difficilement. Je ne sais pas...

-Mais vous savez qui le sait, dis-je.

-Non !

-Deux.

Je retire la sécurité, et si j'appuie sur la détente, la fille seras morte. Une jeune fille de quatorze ans, fraîche et enjouée. Ce matin elle ne se doutais pas que sa journée finirait ainsi.

-D'accords, d'accords, lâche l'homme de toute ses forces. Je dirais tous, mais relâchez la!

Je m'approche de lui, liberant la tempe de cette jeune fille du canon mortelle, et m'accroupie pour être à sa hauteur.

-Bien. Alors, où est l'argent?

-C'est Marco qui l'a, dit-il crachant quelques goûtes de sang.

-Et il est où "Marco" ?

Il me donne une adresse, une banlieu mal famée si je me situt bien. J'envois Svétislave et quelques autres hommes repérer les lieux, et accessoirement voir qui est ce "Marco". Le silence planne dans la pièce, seul les sanglots de la jeune fille brise cette ambiance presque paisible. Dr. Glaun appuyer contre un mur dans sa blouse blanche pas-très-propre habituel pianote sur son téléphone en patientant. Un de mes hommes, Lorace, lorgne sur l'entre cuisse de la jeune fille pendant que son compagnon lustre une pince. Je soupire et vais m'asseoir sur une chaise qui traîne près de la jeune fille, la faisant sursauter. Je prends mon visage entre mes mains, crever. Une seul personne hante mon esprit, inlassablement.

Je revoie chaque détails de son visage, de son corps, me rappellant l'emplacement de chacun de ses grains de beauté. Je me rappelle de ses positions sogronu lorsqu'elle dort, de son rire un peu étrange, de sa passion pour les gâteaux, et surtout les cookies. Je me rappelle de ses yeux dans les miens, de ses lèvres sceller au miennes. Elle est tout ou rien, toujours dans l'extrème. Une véritable tornade.

La porte s'ouvre précipitament et je vois Andros débarquer comme une fleur. Je m'apprête à lui sortire la première vanne qui me vient à l'esprit mais son visage fermer m'incite à me taire. Il ce penche vers moi.

-Cormac, je crois que Ness à un gros problème, chuchotte-t-il.

J'ouvre de grands yeux. Les pires scénarios défilent dans ma tête ; kidnapping, accident, chantage. En danger. Je détruirais tous ceux qui la touche. Et si mon père l'avait appris? Et si elle devait quitter la ville, le pays? Je la suivrais, je ne resterais pas loin d'elle. Et si elle avait une maladie incurable? Et si elle allait... mourir? Elle quitterait ce monde et je ne serais pas auprès d'elle. Elle doit me détester de toute façon, mais je ne veux pas la laisser partir comme ça. Je ne supporterais pas. J'ai besoin d'elle. 

Je fais signe à Andros de sortire pour parler, mais à ce moment mon téléphone sonne. Je décroche.

-Allô?

-On a retrouver le fric et Marco, dans la même maison, tu veux qu'on te l'ammène?

-Vérifie si il y a bien le compte.

-Il y a tout, ils étaient en train de ce partager le butin lui et ses hommes.

-Parfait, ammènent les dans l'entrepôt près de la zone industriel. J'arrive.

Je raccroche et m'apprête à sortir, mais un corps me barre le passage. Rick me regarde avec ce sourire pédophile scotché au visage. Son bras est poser dans une écharpe et bandé. Je grogne lorsqu'il rentre en refermant la porte derrière lui. Il contemple la scène, et s'approche de la jeune fille qui le regarde pétrifier, le suppliant du regard. Si ça ne tenais qu'à moi, j'aurais écraser sa face de con contre le mur pour lui retirer ce sourir pervers.

-Coucou toi, dit-il en ce penchant vers elle.

-Qu'est-ce que tu fou la Rick? demandais-je férocement.

Il ce retourne vers moi, et ce remet droit. Il ce balade dans la pièce, souriant au Dr. Glaun qui lève à peine les yeux vers lui et souriant à mes deux sbires dans leurs coin.

-Je viens prendre de tes nouvelles, puisque tu ne prends pas des miennes, dit-il en ce tournant enfin vers moi.

-Si tu savais comme je regrette de ne pas t'avoir tirer droit entre les deux yeux.

-Mouais, sans Andros je serais sûrement mort et toi en train de fuir papa. C'est bizarre, c'est le moins légitime de nous et pourtant c'est ton frère préférer !

-Me donne pas envie de terminer le travail, grinçais-je le doigt sur la détente de mon arme.

-Remarque, tu as toujours détester ta famille, alors ça ce comprends, dit-il en haussant les épaules et perdant son sourir pour un air plus "naturel". Il s'approche de l'homme qui s'est à moitier évanouïs par terre. Tu as récuperer ce dont tu avais besoin? Il ne te sert plus à rien j'imagine?

-Oui, répondis-je sur la deffensive.

Il hoche la tête et va s'asseoir sur la chaise ou je me trouvais une minute plus tôt. Les sanglots de la jeune fille résonne entre les murs. Andros est rester silencieux, les poings serrer, à côter de la porte. Je meurt d'envie de savoir ce qu'il a à me dire, mais je ne suis pas rassurer de laisser Rick ici. Il me fixe, semblant attendre quelque chose.

-Hé bien? Qu'est ce que tu attends? dit-il. Ils ne servent plus à rien, non?

Il désigne d'un mouvement de tête les deux captifs. Je met un moment à comprendre, et la fille aussi. Lorsqu'elle comprend ce qu'insinue Rick, elle gigote sur sa chaise criant de plus belle en sanglotant, me suppliant du regard. Je ne bouge pas. J'ai tuer des gens, c'est vrai. Et indirectement, j'en ai sûrement tuer encore plus. Mais de mes propre mains, je n'ai tuer que des crapules, je serais incapable de tuer cette gamine sans raison. Rick comprend que je n'ai pas l'intention de bouger, il ce lève et il sort une arme de sa ceinture.

-On fini toujours le travaille qu'on a comencer, Cormac, souvint tant.

Il pointe le cannon sur le front de la jeune fille qui me lance des regards appeuré. Moi et Rick nous regardons dans les yeux. Rick tire.



PDV Happiness.

Mon père émerge lentement, j'attends qu'il ai repris ses esprits. Quand j'ai commencer à l'attacher il s'est réveiller et j'ai dus lui mettre un nouveau coup de taser, plus trois autres parce que je n'étais pas prête à lui parler. Il est ligoter à une chaise avec trois cordes différente, j'ai jouer sur la sécurité. Assise sur le réfrigérateur industriel devant, je le carresse d'une geste mécanique depuis plus d'une heure. Je ne sais pas quel heure il est, si il fait jour ou nuit. J'ai son pistolet de service dans la main, et j'attend. Il gémis et secoue la tête, puis lève les yeux vers moi. Je le laisse essayer de comprendre ce qu'il ce passe.

-tue moi tout de suite, dit-il d'une voix anormalement rauque. Je ne dirais rien.

-Mathilde est morte, elle est là, dans ce frigo, dis-je en baissant le regard vers celui-ci, continuant de le carresser comme si c'était un animal appeuré. C'est moi qui l'ais tuer.

Je me denonce, vous devez me prendre pour une folle. Mais je sais que les morts ne parle pas, et à la fin de cette conversation mon père le seras.

-Parle moi de ta vraie famille, dis-je en me tournant de nouveaux vers lui.

Il me regard bizarrement.

-Quand tu étais petite, tu ressemblais à Lucie, ma cadette, dit-il simplement.

-Et elle est morte. Comme ta femme, et ton autre enfant, dis-je avec mon sourire le plus sadique.

-Mais vous n'aviez pas le même caractère, rétorque-t-il avec un rictus de dégoût. Lucie n'aurait jamais fais ce genre de choses.

Je croise les jambes, ignorant sa remarque. Au fond, j'en ai rien à faire de sa famille d'avant.

-Tu sais, je t'en veux beaucoup. Quand Christian m'a dit que moi et maman étions tes couvertures, je me suis sentie mal alors que je te détestais et étais persuader que tu ne nous avais jamais aimé. Mais me prendre en pleine face que c'était vrai et qu'en plus tu te servais de nous... C'était... horrible. J'ai souffert pour le compte d'un connard.

Je soupire et descend du frigo. Je m'approche de mon père et le regarde. Au même moment, ma mère apparait et ce pétrifie devant ce spectacle. Je ne fais attention à elle, et regarde mon père avec dégoût.

-J'avais des questions à te poser, je voulais des réponses parce que tout le monde me ment. Mais finallement je crois que j'ai tout compris. J'espère que tu boufferas des tampons en enfer.

Je pointe mon arme sur sa poitrine et tire. Il ne bouge plus, et au bout de quelques secondes une tache rouge apparait, grossissant sur sa chemise, dévorant le tissue bleu ciel. Je me tourne vers ma mère, elle me fixe et je la regarde impassible. Elle déglutie.

-La police arrive chérie, il faut que tu parte.

Elle me fais signe de remonter, mais avant qu'elle ne bouge je me jette sur elle. Je la prend dans mes bras et la sert de toute mes forces en sanglotant.

-Je t'aime maman, dis-je le visage enfoui dans sa chevelure brune.

-Moi aussi je t'aime Happyness.

Nous restont ainsi quelques secondes, avant que ce foutue Temps nous rattrape. Elle m'entraîne dans le salon et me sortire par le jardin. On rejoint la voiture garer deux maison plus loin que la notre. Je pensais qu'elle viendrais avec moi, mais elle m'embrasse et ferme la portière. J'inspire, expire. Je n'ai pas le temps de réfléchire. Je vérifie les rétros et remarque tout au bout de la rue, derrière moi, assez loin, une voiture approcher.Même à cette distance, j'arrive à distingué le blanc et le bleu, et les girophare éteint. Je demare et quand je quitte le trottoire, la voiture derrière moi accélère. J'en fais de même et appuis sur le champignon. La voiture ce rapproche, l'une d'entre elle ce gare devant chez moi alors que deux autres me suivent.

J'ai deux voitures de polices à mes trousses.

Il faut que je trouve un moyen de les semés, et la première chose qui me vienne à l'esprit est les usines. J'écartes toutes mes pensés perturbatrices et les range dans une boîte au fond de mon esprit. J'agrippe le volant, et accélère. Ce n'est pas aujourd'hui que je me ferais prendre.

Je fais un dérapage et saute de la voiture qui va s'encastrer dans un mur. J'attérie comme une merde sur le béton, soulevant un nuage de poussière. Oubliant la douleur de la chute et la poussière qui entre dans mes poumons, je me précipite vers la première porte que je voie. A peine franchit que j'enttend la voiture des flics entrer à leurs tour dans le hangar. J'entre dans le bâtiment juste à côter et cour jusque la porte à gauche. J'attérie dans couloir avec plein de portes. J'entends des pas de là où je viens. Au pif, je prends la troisième porte. Je cours toujours, traversant un labyrinthe de portes et de couloirs, toujours avec cette sensation d'être suivit et ces bruits de pas qui résone toujours plus fort dans ma tête, comme si ils ce raprochait. Je fini par entrer dans une grande pièce au plafond très haut avec un escalier en férail qui mène à une medzanine. Je le prend, et au milieu j'entends le bruit d'une poignée qu'on tourne. Je me pétrifie et m'acroche à la rampe, mon cerveau épuiser réfléchit le plus rapidement possible. Si je reste sans bouger trop longtemps je serais incapable de m'enfuire, je suis exténuer. Mais si je continue de courire partout, je vais m'effondrer. Il faut que je me trouve une cachette, mais surtout que je sorte de là maintenant.

Ma tête ce tourne. Je suis arriver au niveau des fenêtre et il y en a une belle juste là. Ni une ni deux, je l'ouvre et saute alors que j'entends derrière moi la porte s'ouvrire.

Deuxième chute importante de la journée, je ne suis pas sûre de m'en remettre.Je m'écrase sur un lit de sacs poubelles. J'ai chaud, le soleil tape fort et je n'arrive plus à bouger, enfin je crois. J'ai mal, et malgré toute l'adrénaline de mon corps je ressens cette douleur de plein fouet. Si je reste ici ils vont me trouver.

Mais ça fait quoi si ils me trouvent? Je n'ai plus rien. La seul chose que me restait m'a tromper.

Sauf que j'ai oublier un détail : je suis tout sauf une loque. Je refuse de me laisser abattre et de me faire prendre comme une débutante. Ma vie n'est pas fini, et je compte pas la passer en prison.

Diificilement, très difficilement, je me relève. Mes côtes, mes pieds, mes genoux, mon dos, mes hanches, tout mon corps me fais soufrir, mais je réussi à grimper une grille en fer, me griffant le ventre lorsque je passe par-dessus, et à me traîner jusqu'à une porte en fer rouiller donnant accés à ce nouveau batiment identique au suivant. Je monte immédiatement les escaliers en fer, moins haut que le précédent, mais qui semble me torurer encore plus. Au bout, une porte que je franchit quand j'entends celle d'en bas souvrire : heureusement que je me suis décider à partire à temps. Je puise dans mes dernières force pour courire dans ce couloir qui semble ce rétrécire. J'entends des pas.

Plus vite!

J'entends des pas partout. J'accélère tant bien que mal. J'ai l'impression qu'il est là, juste derrière moi. Dans un reflexe paranoïaque, je tourne régulièrement la tête pour regarder derrière moi. Je percute quelque chose, et tombe en arrière sous le choque. Je suis surprise et ma tête cogne le sol. Ca y est, je suis complètement sonner.

-Ness!

---------------Hello !

Woaw... Le 17ème chapitre, déjà ! et toute ces vues et ces votes.. ont dirait un rêve. Jamais j'aurais penser que mon histoire en aurait autant X) je suis tellement contente, et j'espère que cette suite mouvementé vous plairas ! dîtes moi ce que vous en pensé et voter, ça fait super plaisir !

(désoler pour les fautes d'orthographes et de frappe, n'hésiter pas à me corriger si vous remarquer des fautes ou si vous en avez juste envie !^^ )

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