Chapitre 7 : Course poursuite
La femme, Solana, n'avait pu trouver le sommeil. Elle avait appelé la police et dit ce qu'elle avait vu. Les policiers ne l'avait pas totalement cru pour le passage avec le feu et le reste, mais ils s'étaient déplacés pour en avoir le coeur net. En arrivant sur les lieux, ils virent que Solana les attendait de pied ferme et qu'elle n'avait pas tort.
Jamais on aurait pu dire qu'il y avait eu un magasin à cet endroit
Ils examinèrent un peu le terrainet virent des morceaux de verre avec des tâches bleus dessu. Ils les mirent précautionneusement dans un sac en plastique avec zip, afin de les envoyer à un laboratoire pour savoir ce que c'était.
Il y avait des traces de feu, Solana n'avait pas menti.
Mais ils devaient quand même procéder à des analyses.
Pendant ce temps l'homme se livrait à un véritable carnage. Il n'en pouvait de ces souvenir qui le torturait, le dévorait, le rendait fou. Il voulait s'en débarasser. Et cette colère qui l'empoisonait le coeur et le tuait à petit feu. Quand cesserait-il de souffrir ?
La vielle compagne murmura ces mots doux à son oreille.
Il commençait à devenir dingue.
Alors il détruisit tout ce que lui tombait sous la main. Il devait exterioriser sa rage.
Il devait calmer sa souffrance.
Puis son ami de toujours, Illéro, arriva et tenta de le calmer. En vain.
Mais l'homme, fou de rage, lui planta son épée dans la cuisse. Il sourit. Il allait recommençer, mais Illéro esquiva.
-Putain mais t'es complètement cinglé.
L'homme eu un sourire sadique et sauta sur son meilleur ami, aveuglé par la haine.
Illéro le repoussa et tenta de le raisoner une dernière fois.
-Mais arrête putain de merde. Calme toi.
L'homme lui donna un coup de pied qui aurait du lui défoncer le cou, mais son ami l'esquiva lestement et lui rendit son coup. Il était en colère lui aussi.
Alors ils se battirent avec une violence bestiale.
L'homme, souple comme un serpent, esquiva son attaque et essaya d'enfonçer son épée dans le coeur d'Illéro. Celui qui l'avait toujours soutenu, qui était là dès qu'il avait besoin de lui. Son ami d'enfance. Celui qui l'avait la vie un nombre incalculable de fois. Mais l'épée tomba en miette. Il lui donna un puissant coup de poing dans la poitrine, qui fit voler l'homme dans l'appartement. Il se rattrapa sur une porte qui se décrocha de ses gonds et les flammes se mirent à danser autour de lui.
Il s'approcha d'Illéro et les épées s'entrecroisèrent dans un magnifique ballet. Des flammes verdâtres s'élevèrent du sol et vinrent enlaçer le corps de l'homme. Les meubles volèrent en éclat et le feu se fit maître des lieux. Les deux combatants s'envoyait des décharges de flammes immense. Quand soudain, Illéro donna un coup d'épée au genoux gauche de l'homme. Celui-ci tomba à la renverse, déstabiliser. Il se releva et Illéro le fit tomber, puis il donna une dizaine de coups de poing à l'homme.
Il éclata de rire, submergé par la folie et la colère.
- Tu veux quoi ? Me tuer ? Vas y. Te gêne pas. dit l'homme d'une voix pleine de d'amertume
-Bon écoute moi bien mon vieux, tu vas te calmer là immédiatement parce que tu commences à sérieusement m'énnerver. Compris.
-Fou moi la paix. Ok ? Je me calmerais pas et puis qu'en sais tu toi ? T'es qui pour me dire ça ? Tu sais rien de ce qui se passe. Y a ces fichus voix qui me rendent dingue. Et....
- Et c'est pour ça que tu t'en prends à des innocentes ? Que tu bois commme un trou ?
-Ça te regarde pas.
L'homme se releva et s'en alla.
2 mois plus tard
Les résultats du laboratoire étaient arriver. Les tâches bleu étaient du sang, mais composer différemment du nôtres. L'ADN était plus petit, il n'y avait pas de globules rouge, mais d'autres molécules bien plus complexe, que les scientifiques n'arrivait pas à déchiffrer. Il aurait fallu d'autres échantillon ou alors trouver carrément quelqu'un avec le même sang.
Alors les policiers retournèrent à la boutique dévasté et c'est alors qu'ils virent ces tâches de sang et ils décidèrent de les suivres. Solana les rejoignit au cas ils auraient besoin d'elle. C'était plus par curiosité. Ils suivirent les tâches bleus jusqu'à un immeuble.
L'homme n'était vraiment pas bien. Il avait encore bu toute la nuit et ces fichus souvenirs l'hantait encore. Alors il était descendu pour prendre un peu d'air frais et acheter du pain. C'est pourquoi il n'entendit qu'au dernier moment cette femme crier :
-C'est lui.
-Vous en êtes sûre ? demanda un polocier
-À cents pourcents.
Mais l'homme était parfaitement réveiller et avait déjà commencé à courir quand les trois policiers s'élancèrent à sa poursuite.
Ils étaient trois: Cédric, Bruno et Sylvain. L'homme se mit à courir en se glissant souplement parmi les gens qui étaient sur le trotoire, tandis que les anciens athlètes le suivant en faisant bien plus de dommage collatéraux.
Un banc se dressait sur le chemin de l'homme, un couple était assis dessus en dégustant un délicieux smoothie. Il sauta par dessus eux et retomba avec souplesse par terre. Le couple lui cria d'être un peu plus respectueux, mais il était déjà loin. L'homme courait vite, mais ses poursuivants étaient des athlètes aguerris. Il le faisait exprès parce qu'il savait pertinement que la femme qui était avec eux l'avait vu. Il se glissa dans une ruelle dans une ruelle assez étroite où il s'y déplaçait très aisément, au contraire des trois autres hommes. Il était un contorsioniste très talentueux, même son père avait mal au yeux en le voyant éxécuté ses figures.
Quand soudain ils arrivèrent aux bout de cette ruelle.
L'homme sauta sur une poubelle puis sur le haut du mur , Cédric, Bruno et Sylvain en firent de même. L'homme s'élança à toute vitesse sur le toit d'un l'immeuble. Il ne fallait pas qu'on le rattrape. Ils coururent à sa suite.
L'homme ne cessait de zigzaguer entre les antennes de télé qui étaient sur les toits, afin de fatiguer ses poursuivants. Les policiers couraient tout droit, en zigzaguant trè peu.
Puis ils virent l'homme prendre de l'élan pour sauter. Il y avait un écart de 5 mètres entre les deux toits.
Ce fut comme si le temps s'était suspendu et ses yeux furent capturés par la beauté d'une jeune fille qui se trouvait en contrebas. Elle avait de long cheveux châtain clair, des yeux d'un doux marron et elle portait un jean bleu et un pull en colle roulé blanc.
Il lui fit un grand sourire avant de se réceptionner en une roulade.
Il n'eut pas le temps de se relever que Sylvain tombait déjà sur lui. L'homme le repoussa et Sylvain lui décocha une puissante droite dans la machoire, que l'homme esquiva en roulant sur le côté. Il se releva en un magnifique saut du chat. Bruno tira sur lui.
Il se baissa juste à temps. Puis il tourna sur lui-même et donna un grand coup de pied à Cédric qui s'apprêtait à l'assommer avec la cross de son fusil. L'homme se baissa à nouveau pour esquiver l'upercut de Sylvain.
Neora le regarda de ses beaux yeux grenat. Elle souriait. Cela ne dura qu'une seconde. Dans ses yeux l'homme vit tout ce qu'il au dú voir dans les yeux d'une autre femme.
Et tous se passa au ralenti.
Bruno était à un centimètre de lui quand il se retourna brusquement, s'avançant imperceptiblement pour esquiver le coup de pied de Cédric. Il rattrapa le poing de Sylvain et du faire un effort pour ne pas le briser.
Il avait fait tout ça sans quitter le regard de Neora.
L'homme fit un salto arrière afin d'éviter les assauts des trois flic puis il continua sa course.
Néora ne cessait de le suivre des yeux, hyptoniser par les mouvements gracieux de cet inconnu.
Illéro, de son côté, s'était négligemment adossé à un mur en face d'un restaurant. Il sirotait tranquillement un jus. Il observait une jeune fille de l'autre côté du trotoire. Elle était assise à une table du restaurant, seule. Elle était très belle avec ses longues boucles blonde qui encadrait son visage d'un ovale parfait et elle avait des yeux ambre aussi beau qu'un clair de lune. Elle avait un sourire qui illuminait son visage d'une resplendissante lumière.
Depuis un moment maintenant elle matait sans gêne Illéro.
Il était d'une beauté sombre et sauvage. Il avait de long cheveux noir et des yeux d'un vert émeraude. Il y avait cette lueur sombre dans ses yeux, mais aussi une lointaine douleur. Il avait un corp très musclé.
Alors il se détaillait l'un et l'autre. La jeune fille souriait d'un air charmeur.
L'homme ne cessait de courir, évitant les obstacles qui se dressait devant lui.
Illéro et la blonde continuait leur jeu de séduction.
L'homme sauta et retomba lestement sur le sommet d'un énième immeuble.
Illéro s'avança vers la jolie blonde, tout en sirotant son jus.
L'homme arriva au bout de la toiture et il dévala les marches.
Illéro fit un second pas.
Bruno tira sur l'homme.
Illéro se planta devant la blonde et les émeraudes plongèrent dans les ambres.
La balle traversa le genoux de l'homme.
Illéro sourit puis il s'assit devant la charmeuse.
-Bonjour mademoiselle.
-Bonjour monsieur. Comment vous appellez vous ?
-Illéro et vous jolie damoiselle ? fit-il avec un sourir malicieux.
-Lissandra.
- Puis-je vous offrir quelque chose à boire ?
- Oui vous pouvez.
L'homme stoppa sa glissade en se rattrapant à une barre avec une main et il mit l'autre sur son genoux pour bloquer l'hémoragie.
Les policiers couraient vers lui.
Illéro et Lissandra avaient appellé une serveuse pour passer commande.
Les trois athlètes arrivèrent devant l'homme.
L'homme fit semblant de peiner pour se relever.
Ils le menotèrent puis le conduirent à leurs voiture. Ils avaient appelé un collègue qui patroullait dans les alentours.
Ils l'emmenèrent dans leurs voiture au commisariat.
L'homme boîtait encore car il avait ralenti sa guérison.
Il lui firent les premiers soin.
Illéro souriait d'un air malicieux.
L'homme eut un sourir sinistre.
Ils avaient tout vu.
*****
Voici enfin le chapitre 7.
Il est vraiment long, mais j'espère qu'il vous plaira.
La suite ne tardera pas promis.
Tous ce que je peux vous dire c'est que l'homme a du culot
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